lundi, 14 février 2005
Hôpital Saint-Vincent de Paul : un excellent article...
...sur Yanous.com, le premier hebdomadaire francophone du handicap (plus de 120 000 lecteurs). Extrait :
Raffarin contre le polyhandicap ?
Le Premier Ministre annonce le transfert du ministère des affaires étrangères sur des terrains destinés à créer un pôle médico- social pour enfants, jeunes et adultes polyhandicapés. Flop !
Intégralité de l'article à découvrir en cliquant ici...
Julie
Plus d'info :
+ ...Notre fil d'actu Hôpital Saint-Vincent de Paul.
Commentaires
On se demande à quoi riment les déplacements à l'étranger des décideurs et gouvernants divers.
Pour ma part j'ai suffisamment voyagé de par le monde pour réaliser que la France - en dépit des difficultés actuelles qui sont communes à tous les pays développés - à savoir une prospérité moindre que par le passé, fait preuve d'un presbytisme aigu qui n'a d'égal que le cynisme d'une puissance d'autant plus arrogante qu'elle est sur le déclin.
Les leçons de ce déclin ne servent pas puisqu'on adopte passivement quelques décennies plus tard les mêmes solutions vouées à l'échec et qui bannissent toutes les valeurs d'humanité et de solidarité.
On pourrait intituler la politique actuelle de "l'art savant de couler un navire gardant tant bien que mal le cap en dépit de la houle déferlante".
Il est temps d'affreter des charters pour tous ces dirigeants et de les propulser non dans les ambassades mais dans les foules de certaines nations qui luttent pour le mieux-être du plus grand nombre de ses ressortissants, et d'observer ce qui s'y passe. Ils ont plus à gagner à observer là qu'ailleurs, sur les efforts couronnés de succès de certaines initiatives d'envergure entreprises par ces pays.
Ras le bol de la grogne des français nantis et des choix élitistes à tout cran du gouvernement actuel qui a mieux à faire que de s'occuper du mieux-être des occupants du Quai d'Orsay. Les nécessités sont d'ailleurs et ce sont celles qui sont délibérement sapées !
Écrit par : MOREL Christine | mardi, 01 mars 2005
Les commentaires sont fermés.