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dimanche, 18 février 2024

Les deux Brigitte (Simon)

6029395603213736406.jpg(Peinture Brigitte Simon)

Agnès intéressée depuis longtemps par les phénomènes inexpliqués était en train de lire une partie de l’interview d’un grand coureur automobile sur le sujet et tomba sur l’histoire avec son père. Ce coureur expliquait : 

« Après son décès, j’ai participé à une compétition en Argentine et j’étais alors en train de me bagarrer avec le champion du monde automobile dont la voiture était juste devant moi. Tout en regardant sa roue, je pensais à mon père et je lui ai dit «  Ça serait super qu’il lui arrive un petit problème. Non pas qu’il sorte de la route mais qu’il ait une crevaison dans la spéciale juste pour m’aider à remporter le rallye. Et ne voilà t-il pas qu’il crève!… Comment faire alors la part des choses entre l’inconscient et le réel?… « 

 

Agnès croyait beaucoup aux signes et aux coïncidences et d’ailleurs lorsqu’elle analysait son parcours, elle y voyait une suite logique dans les événements et non du hasard. Ainsi cette championne de tennis était tout à fait prédestinée à le devenir. En effet, lorsqu’elle avait 9 ans, elle habitait juste en face d’un club de tennis et allait faire du mur tous les soirs après l’école. Très vite elle se passionna pour ce sport, prit quelques cours collectifs, mais très vite eut envie d’avoir tout le court pour elle. Sollicitant le professeur du club, celui-ci après avoir repéré ses facultés proposa de l’entraîner gratuitement, et quand elle arriva à Paris à 14ans, elle battit tout de suite les meilleurs de sa catégorie. Et puis lorsque sa mère se remaria, elle passa ses vacances en Bretagne chez son beau-père dans une maison située là-aussi en face d’un club de tennis… 

Comme le disait si bien Einstein « Le hasard c’est Dieu qui se promène incognito. « Ou l’écrivain Murakami : «  Même les rencontres de hasard sont dues à des liens noués dans des vies antérieures. Tout est déterminé par le karma. Même pour des choses insignifiantes. »

Une fois sa carrière de tennis stoppée, ayant eu un flash à 14 ans en lisant un roman d’Anatole France, comme quoi elle serait écrivain plus tard, Agnès  se lança dans le journalisme commençant par rédiger des articles sur le tennis. Puis par l’intermédiaire de son père également journaliste écrivain, elle fut introduite dans un journal consistant à aller voir les rédacteurs en chef  pour évoquer les changements au sein de leurs journaux…  Après diverses collaborations toujours en indépendante, elle se spécialisa dans « l’art et le sport ». Travaillant dans une radio où elle réalisait une émission intitulée «  Jazz Ace », puis dans  une autre où elle rédigeait de petits portraits d’artistes sportifs, elle écrivait aussi des poèmes publiés dans des revues poétiques.

Or un jour, alors qu’elle lisait une de ces revues, ,elle remarqua sur la page à côté de ses propres écrits, les jolies illustrations d’une poète et peintre appelée Brigitte Simon. Il se trouve qu’une autre Brigitte Simon avait été n°1 française en tennis avec qui Agnès avait fait des tournois et contre qui elle avait même joué. 

Quelle coïncidence encore! Comme si le destin lui indiquait qu’ "Art et sport » était vraiment ce pour quoi elle était faite et que là aussi, après le tennis il était écrit qu’elle mélangerait tous les domaines de l’art avec le tennis…

Elle appela d’ailleurs la peintre, lui demanda d’illustrer son travail et une riche collaboration débuta entre elles. Elle présenta la poète à l’autre Brigitte devenue coach pour les athlètes de haut niveau et conseillère diététique. Un trio inédit se mit alors en place et Agnès fut confortée dans son idée que le destin était bien tracé d’avance… 

Agnès Figueras-Lenattier auteur de " Les stars et leur karma" un livre d'entretiens de personnalités de tous bords sur les phénomènes inexpliqués

 

Poème d'Agnès Figueras-Lenattier :

PEINTURE

Avoir comme ange gardien un peintre

Qui dans une armoire tel un cintre

Vous déploie avec grâce les habits

Que portaient les joyeux nabis

 

Qu’il devienne un valeureux valet

Messager de la technique de l’aquarelle

Et des ritournelles du pastel

Dans un univers tout sauf laid

 

La peinture s’  agglutine à moi

Comme une spirale infernale

Elle se fait l’écho de mes émois

Et j’aime lire ses annales

 

Delacroix, Goya, Renoir

Me servent d’entonnoir

Pour filtrer l’artistique pureté

Et laisser passer le souffle de l’éternité

 

Ah peinture beauté sulfureuse

Dans mon âme graveleuse

Succube merveilleuse

Et intemporelle travailleuse

 

 

La peinture art de la munificence

Déploie ses ailes, avide

D’apporter aux hommes la jouissance

Et aux femmes l’orgasme intrépide

 

C’est l’empire des sens dévoyé

Où la population émerveillée

Oublie les affres de la guerre

Et goûte la sensualité de la mer

 

Peinture mêlée à la sculpture

Où trône le beau Praxitèle

Qui nous jette en pâture

Toute sa belle clientèle

 

 

Ah Praxitèle sculpteur pionnier

Du nu féminin dans son intégralité

Tu résonnes comme le chansonnier

De ce que l’on nomme la sacralité

 

Lui écrire à biche.af1996@gmail.com

 

                                                             

                                                               Brigitte Simon :

 

Diplômée des Beaux-Arts Brigitte Simon installée à Brest sait bien faire régner l'harmonie entre les couleurs et parle joliment avec son pinceau notamment du corps et des musiciens .  Grâce  à  un joli rouge et au bleu qu'elle affectionne, elle exprime une certaine joie et chaleur et fait chanter les coeurs. Brigitte Simon est également poète. Détentrice de plusieurs prix, aussi bien en peinture qu'en poésie, elle aime travailler plutôt le matin quand l'inspiration survient.  Aussi bien à 5h du matin qu'en fin de matinée. Plutôt rapide dans l'élaboration de sa production littéraire et picturale, et contrairement à ses années antérieures, elle corrige davantage ses oeuvres. Son premier tableau, elle l'a vendu le lendemain de son mariage et son premier poème édité le fut environ 10 ans plus tard. Elle se dit intermittente de l'écriture et de la poésie. " Parfois explique t-elle, je me réfugie dans le dessin, d'autre fois je suis complètement bloquée et à ce moment là j'arrive très bien à écrire. Ça m'arrive de dessiner n'importe où puisque j'ai fait quelques croquis avec des associations pour des carnets de voyage. Mais en ce qui concerne l'écriture j'aime écrire dans ma chambre, retirée de tout... "

Ses vers tout en étant faciles à lire expriment la profondeur et l'élan créatif. Elle ne manque ni de talent ni d'imagination et aime évoquer sa prof de français qui lui a fait découvrir notamment Rimbaud. Ce fut le déclic. Quant à la peinture, sa mère ne voulait pas qu'elle fasse les Beaux-Arts. Mais on l'a tellement encouragée dans cette voie, plus son futur professeur qui a travaillé au corps sa génitrice,  qu'elle ne pouvait finalement qu'en franchir les portes... 

               

Texte de Brigitte Simon :

«  La poésie se lit entre les lignes à la lumière des sentiments et pourtant elle vous échappe, comme pour garder son entrée. Une entrée des artistes entre rêve et réalité, à la limite de la prise de conscience. La mise en examen de cette prise de conscience réalise la marge la plus convaincante de l’action créatrice et de sa transposition visuelle, mystérieusement visible par tous. Elle apparaît évidente, au détriment de toute analyse objective. Et c’est la que la poésie rejoint la peinture… «

 

Brigitte-simon@gmx.fr

02 98 44 40 90

0621044177

 

lundi, 22 janvier 2024

Café littéraire de l'association Le CEL à Locquirec : Conférence sur le corps

Tous les mois a lieu ce café littéraire organisé par Michel Priziac écrivain spécialiste de la Bretagne et président de l'Association des écrivains bretons 

Le 19 janvier 2024 c'est Agnès Figueras-Lenattier qui a parlé. La voici ici à Locquirec, un endroit plein de charme où les amoureux sont les bienvenus... Sa conférence est résumée ici :

IMG_20240119_152718.jpgAgnès Figueras-Lenattier ex-joueuse de tennis professionnelle (n°8 française et championne d’Europe des moins de 21 ans), journaliste pigiste dans le domaine du sport, de la culture et du médical, et auteure, a tout d’abord rappelé les bienfaits du sport sur la santé de chacun(e), quel que soit l’âge. La sédentarité étant source de nombreuses maladies comme les maladies cardio- vasculaires, le diabète, l’obésité... il suffit d’adapter l’exercice sportif à ses capacités personnelles. Mais bon nombre d’activités sportives sont favorables au bien-être de tous, tels la marche, la marche nordique, le yoga, le taï-chi-chuan, le qi gong... la marche nordique et la marche dans l’eau étant largement conseillées pour lesproblèmes d’arthrose.
La pratique régulière d’un sport participe également à l’équilibre mental, elle diminue le stress et permet de chasser les pensées négatives qui peuvent mener à la dépression.
Il est aussi prouvé que le sport atténue les effets secondaires d’une chimiothérapie.

Quant à la grossesse, elle ne constitue pas une contre-indication et notre invitée le confirme en nous confiant sa propre expérience.

Individuel ou collectif, le sport contribue à une meilleure sociabilisation, à mieux vivre les rivalités tant au niveau du succès que de l’échec.

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Certains médecins commencent à prescrire le sport sur ordonnance, nous relatant l’exemple du Dr Alexandre Feltz, médecin généraliste et adjoint à la mairie de Strasbourg, considéré comme le pionnier du sport santé sur ordonnance. Il a publié un ouvrage « Le sport santé sur ordonnance. Manifeste pour le mouvement ».
Le sport un véritable médicament, mais attention à l’overdose, ce qui peut se produire dans le cadre du sport de haut niveau, sur lequel Agnès Figueras-Lenattier lève le voile.

Si elle commence à jouer au tennis toute jeune, suivant les traces de sa mère qui le pratiquait en amateur, c’est à 19 ans qu’elle abandonne ses études de philo, alors qu’un entraîneur la remarque et l’invite à entrer dans le monde de la compétition. S’ouvre alors une voie qu’elle n’envisageait pas d’emblée, mais qui la hisse à un haut niveau, où elle remportera de belles victoires.

Elle découvre alors tout un univers singulier avec les rencontres en équipe, les joies du partage, la solidarité, les victoires... mais aussi les dérapages (harcèlement sexuel, maltraitance, privation de nourriture...), le dopage (parfois à l’insu du joueur), et le fait de ne pas vivre une adolescence comme les jeunes de son âge. Elle se plie à un entraînement intensif de tous les jours, où la relation avec l’entraîneur est importante, évitant le sentiment de solitude qu’un joueur professionnel peut ressentir.

Des horaires de lever et coucher rigoureux empêchent toutes soirées entre amis et une hygiène alimentaire scrupuleuse, bref une discipline des plus strictes s’impose. Dans ce monde de compétition, il est extrêmement difficile de nouer des relations amicales, les rivalités planent en permanence.

Il faut faire constamment preuve d’extrême volonté pour résister dans ce milieu, la notion de dépassement de soi est présente en permanence, le découragement menace parfois.

Avant un tournoi, il faut se préparer physiquement mais aussi mentalement pour visualiser le triomphe, ce qui demande une importante concentration avec nécessité de s’isoler, au risque de paraître désagréable aux yeux des autres.
Certains joueurs ont des rituels, comme commencer un match avec la balle qui leur a permis de gagner ou bien embrasser son petit ours en peluche, ce que Julie Halard faisait avant d’entrer sur le court.

Sur le terrain, il faut savoir user de stratégie selon l’adversaire. Ne jamais jouer de la même façon, tel le grand improvisateur qu’est Roger Federer.

Agnès aborde également les relations avec la presse qui ne sont pas toujours simples, et peuvent parfois heurter la sensibilité des joueurs, surtout en cas d’échec. Il est particulièrement difficile d’être Numéro 1 et de le rester.

Ce fut pour elle une sacrée école de la vie ! Même s’il s’agit là d’un monde hors des réalités...

Abandonnant la raquette à 25 ans, elle entame une carrière de journaliste-pigiste, collaborant notamment avec L’Équipe magazine, Tennis magazine, la revue Géo, Écrire magazine, Le quotidien du médecin...
En parallèle, elle s’adonne à l’écriture et publie plusieurs livres, dont Tennis People (Ed. Philippe Randa), Acteur et comédien, d’une passion à l’autre (Ed. L’Harmattan), Les stars et leur karma, De la raquette à l’encrier, Obsession, Textes et nouvelles sportifs, Duo littéraire (Ed. Thierry Saja).

Patricia Guillemain

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Le public attentif a apprécié d’entrer les coulisses d’un sport qui a tendance à se démocratiser pour qui souhaite fouler les courts de tennis et manier la raquette en dilettante.

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vendredi, 14 octobre 2022

" Rêveries pernicieuses"

Voici quelques mots m'étant inspirés par mon livre " Rêveries pernicieuses"  et par là même une conférence que je compte présenter dans les cafés. Un ou une amie comédienne lira des extraits :

Un dresseur de tigres découvre lors d’un voyage professionnel à Florence une patineuse de haut niveau. Une véritable attirance va s’emparer de lui mais d’une manière peu classique. Ainsi va-t-il exercer sur elle tout son sadisme et la faire souffrir de plus en plus jusqu’à ce qu’elle soit réduite à l’état de larve. Quant à Stéphanie, elle va passer par des états émotionnels poussés à leur paroxysme et atteindra par le biais du masochisme une véritable jouissance intellectuelle et physique. L’histoire se passe dans un cirque.
Pierre deviendra comme le sommet d’une montagne dont elle s’efforcera de gravir les étapes jusqu’à atteindre le divin. Elle en ressortira grandi, et plus du tout attirée par l’autodestruction dont elle aura selon elle exploité toute la substance. Désormais, elle aura une autre vision de la vie et ne pensera qu’à se reconstruire en s’aidant de la pensée positive.

J’ai été championne de tennis mais n’ai pas voulu que l’héroïne soit une joueuse mais une patineuse de haut niveau. D’une part parce que j’aime beaucoup ce sport, et d’autre part parce que je suis pudique et que je n’ai pas voulu me mettre complètement à nu. De plus, c’était un défi qui me plaisait. Dans ce livre, on la voit évoluer en tant que patineuse de haut niveau et l’on peut constater l’influence de l’esthétique du corps sur le résultat. C’est ainsi et c’est valable pour les deux sexes, si un ou une juge trouve en son contraire un physique qui lui plaît, il ajoutera des points. C’est la différence avec le tennis où même si de manière générale les joueurs et joueurs possèdent un beau corps, il ne compte pas puisque le résultat dépend du jeu et de la manière dont on s’en sert sur un court.

Mais en revanche et c’est pareil quel que soit le sport, la carrière d’un sportif de haut niveau demande d’énormes sacrifices ainsi qu’un travail de longue haleine qui exige une très forte volonté et une discipline de fer. Le talent joue bien sûr un rôle, mais s’il n’est pas accompagné de persévérance et de régularité dans l’effort, il ne mènera pas à grand-chose.Selon moi, c’est la plus belle école de la vie qui existe, car les situations qu’il engendre seront toujours un atout et une aide pour lutter contre les difficultés de la vie. Il apprend à toujours rebondir quelles que soient les circonstances et à constamment évoluer…

Je voudrais dire qu’après des épreuves très difficiles, j’ai atteint aujourd’hui une grande sérénité et j’apprécie tous les plaisirs de la vie comme une enfant qui s’émerveille de tout. J’ai une fille de 26 ans dont je suis très fière et qui m’a beaucoup aidée aussi à remonter la pente. Elle a du faire preuve elle aussi de sang-froid car son enfance a été compliqué et pas toujours rose loin de là. Les rapports avec ma famille notamment ma mère n’ont pas toujours été simples mais même si elle a commis beaucoup d’erreurs en ce qui me concerne, elle a toujours voulu bien faire. Cela dit, j’ai une certaine admiration pour elle, car malgré ce qu’elle a elle aussi enduré, elle en est elle aussi sorti la tête haute ceci grâce à la respiration, la relaxation et sans aucun médicament. Avec son deuxième mari, les rapports ont été aussi compliqués, mais c’était un homme généreux qui nous a laissé un capital nous permettant de nous retourner en cas de problème. Reste ma sœur qui elle également a eu un parcours pas des plus faciles non plus. J’espère qu’elle va percer un jour car elle le mérite. Quant à mon père, être sa fille a été très difficile à vivre pour moi mais je n’en dis pas plus pour l’instant. J’ai l’intention de tout expliquer dans mon livre. Avant de parler de mon généraliste le docteur R’Bibo, je voudrais dire un petit mot sur mon kiné, Clément Galland qui me suit depuis des années et dont je ne me lasse pas. Il me masse le dos et les mollets assez souvent et me permet de ne pas être souvent blessé. Et puis, il m’a toujours soutenu moralement et encouragé en me donnant confiance en moi ce dont j’ai toujours manqué. Quant à mon généraliste, il représente pour moi l’exemple même de ce que j’appelle un médecin. C’est-à-dire quelqu’un qui s’adapte à la personnalité de son patient et qui n’hésite pas à perdre de l’argent pour l’aider du mieux qu’il peut. Parfois j’étais dans un état de détresse tel que j’allais le voir trois fois par jour. Il m’a toujours accueillie et m’a reçu sans être payé car la sécurité sociale ne rembourse qu’une seule consultation par jour. De plus, il a perdu un temps fou à lire mes mails qui ont été très nombreux car je me suis adonné à un véritable défoulement verbal qui m’a permis d’expurger tout ce qui me rongeait. Les médecines naturelles m’ont beaucoup aidée aussi. Les amis également même si j’en ai peu mais ceux qui font partie de ma vie sont des gens sur qui je peux compter et qui ont en eux un esprit solidaire. Restent mes compagnons qui eux aussi ont contribué à faire ce que je suis. On ne vit pas sans amour et comme le dit Michel Berger dans sa chanson « Que l’amour est bizarre ». Mais c’est ce qui fait son charme et sa singularité par rapport à l’amitié qui généralement est plus lisse. Je voudrais enfin dire que quand j’étais seule dans ma détresse juste une personne m’a aidée. Elle s’appelle Dorothée Guérin,  a été une bonne joueuse de tennis et exerce le métier de phlébologue. Son aide n’a malheureusement servi à rien car c’était trop lourd pour une seule personne mais je n’oublierai jamais sa gentillesse à mon égard…

Je voudrais pour finir saluer une maman et son fils dont j’ai lu récemment le témoignage. Et finir en lisant l’article que j’ai écrit à ce sujet :

Le livre s’appelle maman a dit « Bande de nuls », et est autoédité par Céline et Killian Leutellier. Ils ont un site bandesdenuls.com où l’on peut avoir les renseignements pour acheter le livre :

Une belle ode à l’amour maternel et à la solidarité familiale voilà ce qui ressort de ce livre au titre évocateur. Celui d’une révolte et d’un combat qui ont triomphé et conduit à une belle réussite : l’épanouissement d’un enfant Killian dont on a détecté très jeune des troubles autistiques et schizophréniques. Ceci sans aucun médicament auquel la mère a toujours refusé d’avoir recours malgré les dires du personnel d’un centre médico-psychologique. Elle raconte qu’elle n’a jamais trouvé aucun secours là-bas, aucune écoute, aucune compréhension, que l’état de son fils Killian était mère pire qu’avant. En outre, on la culpabilisait aussi en prétendant que c’était de sa faute…

Assez découragée, elle a eu la chance de rencontrer un psychologue Thierry Faivre d’Arcier qui a soigné son fils à domicile au moyen du défoulement par la parole, le rire, le jeu, et a appris à Killian à se dominer pour mieux appréhender les symptômes qui le taraudaient. Quant à la maman, elle a fait preuve d’une patience d’ange, a su trouver les mots pour réconforter son fils et a utilisé des méthodes naturelles qui toutes ont eu un bienfait sur son fils. Que ce soit le théâtre, les massages accompagnés d’une musique relaxante, l’apprentissage d’une autohypnose, le sport, les plantes de temps à autre.Et vu les symptômes dont souffrait Killian, notamment l’obsession du rangement, cela n’a pas du être facile tous les jours d’autant plus que la maman avait également une fille et deux autres fils. Et qu’elle a donc dû sacrifier quelque peu ses autres enfants pour se consacrer davantage à Killian. Et même si ceux-ci en ont forcément souffert quelque peu notamment la sœur, ils ont donné toute leur affection à Killian ce qui a également fortement contribué à sa belle évolution.

Actuellement, Kiliian a 20 ans et s’exprime avec beaucoup d’aisance et de lucidité. Il a encore parfois des angoisses mais a appris à les gérer. Ce qui le déstabilise c’est l’inconnu et il a besoin d’avoir une vie bien réglée. Sa plus grande thérapie maintenant c’est le sport en particulier la course à pied. Il y trouve un tel bien-être qu’il a tendance à trop en abuser et à se diriger vers la bigorexie. Il s’est d’ailleurs blessé et a compris qu’il fallait être plus raisonnable. Il rêve de tenir une épicerie et même s’il n’a jamais été amoureux (il veut d’abord être stable au niveau du travail et travaille au sein du dispositif ULIS), cela lui donne envie et fonder une famille n’est pas exclu pour lui.

A la fin du livre, plusieurs témoignages sont présents, les frères, la sœur, les maîtresses et ce qu’il faut retenir c’est ce que dit la sœur : Heureusement qu’ il existe la « différence. » Et ces êtres que l’on a tendance à juger trop négativement sont souvent très intelligents et très attachants. Oserais-je dire comme me l’avait affirmé une fois un psychiatre que contrairement à ce que l’on prétend ils n’ont pas « une case au moins, mais « une case en plus ». Bref pour conclure, je fermerai les hôpitaux psychiatriques pour laisser les gens différents s’exprimer eux aussi et non pas bloquer leur côté créatif par une tonne de médicaments faisant d’eux de vrais légumes à qui l’on dit qu’ils ne s’en sortiront jamais. Un psychiatre un peu différent qui pratique l’hypnose le docteur Virot prétend parait-il que l’on se sort de tout. Il habite à Rennes et ce sont des gens rencontrés dans un café parisien qui me l’ont dit. Quoi qu’il en soit, j’en suis persuadée que c’est possible à condition d’avoir des médecins qui vous portent vers le haut et non pas vers le bas… Mais ce n’est pas demain la veille qu’un système établi depuis des années va changer. Il faudrait pour cela remettre totalement en cause les études de médecine. Le gouvernement est-il prêt à cela, je ne suis pas sûr. C’est un défi que je lui lance.  

 

Agnès Figueras-Lenattier

 

 

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dimanche, 26 décembre 2021

Vers le changement

Je tiens à signaler haut et fort avant de rédiger ce papier sur le COVID que le docteur Raoult et la généticienne Alexandra Caude Henrion ont refusé de répondre à mes questions. Pour moi, ce sont deux dégonflés!.. Finalement, tant mieux car cela me permet de mettre en valeur le docteur R' Bibo mon généraliste qui m'a été d'un grand secours quand je n'allais pas bien et qui pour moi représente bien l'image d'un médecin : désintéressé (il m'a reçu de nombreux fois sans me faire payer quand j'étais mal et a pris le temps de lire tous mes mails et il y en avait beaucoup  ) et sachant s'adapter à celui ou celle qu'il a en face. Merci à vous docteur R'Bibo. 

Je vais commencer par une citation de La Boétie découverte grâce à Alexandre Jardin. Elle illustre bien mon texte et terminerai par une autre citation qui l' illustre doublement . Voici celle de la Boétie : 

" Il est incroyable de voir comme le peuple, dès qu'il est assujetti, tombé soudain dans un si profond oubli de sa liberté qu'il lui est impossible de se réveiller pour la reconquérir : il sert si bien et si volontiers, qu'on dirait à le voir qu'il n'a ps seulement perdu sa liberté, mais bien gagné sa servitude.... "

 

Quoi qu'il en soit dans la mesure de mes petits moyens , car j'ignore combien de lecteurs a ce site, j'essaye d'une autre manière que celles déjà évoquées comme les manifestations qui visiblement ne servent à rien, c'est même le contraire de faire évoluer les choses pour que nous essayions de mieux vivre le COVID. D'après l'interview que j'ai faite de mon généraliste le docteur R'Bibo, ce qui prend du temps, je préviens déjà que le masque n'a rien de plus que l'écharpe en laine et que le masque n'est qu'une histoire de gros sous. En revanche comme je l'ai toujours pensé, il est indispensable de se protéger la bouche et aussi le nez car c'est par les voies nasales que se propage le virus. Et que les réunions en intérieur ou quelques-uns portent le masque, d'autres pas c'est n'importe quoi... En plus, se protéger permet aussi de lutter contre les autres maux de l'hiver. Trop de gel sur les mains peut créer des crevasses où se faufile le virus. à cause d'une peau extrêmement sèche.. Le fait de porter des gants ne sert à rien car s'ils sont infectés, cela revient au même. D'autant plus que certains en portent toute la journée.  Pour être infecté, il faut toucher tout de suite après une personne positive un vêtement, un légume, un objet,  ou autre chose. Mais le virus disparaît très vite. Attention aussi à ne pas se toucher les yeux qui peut nous infecter.  " Je rappelle déclare le docteur R'Bibo, que la personne qui a découvert le coronavirus est un ophtalmologiste qui est d'ailleurs décédé. Il l'a découvert car il y avait des gens qui avaient des conjonctivites peu habituelles... " Contrairement à ce que dit Jean Castex, il existe d'autres solutions que le vaccin. Comme de prendre régulièrement de la vitamine D, du zinc. Cela renforce les défenses immunitaires... Le docteur R'Bibo ne croit pas à cette solution : c'est un pis aller; ça ne marche et c'est surtout pour rassurer les gens et dire que l'on fait quelque chose. Mais c'est vrai que je n'ai aucune preuve scientifique de l'inefficacité, je ne peux pas dire le contraire...  C'est juste mon sentiment. " C'est comme votre scepticisme face à l'homéopathie lui fais-je remarquer"... oui dit-il en rigolant... 

Et puis toujours d'après mon généraliste quand deux personnes l'une en face de l'autre portent le masque  à une distance de 2 mètres, elles sont protégées à 95%. A priori donc c'est mieux que la vaccin qui en plus donne beaucoup d'effets secondaires.  D'après ma cousine qui suit tout cela avec beaucoup d'assiduité, il existe des paralysies semi-faciales avec des femmes qui ne peuvent plus fermer un oeil, des paralysies des jambes, des crises d'épilepsie, des saignements. Des zonas aussi. Il subsiste aussi des doutes sur la fertilité que pourrait engendrer le vaccin. C'est une amie pharmacienne qui me l'a dit. J'ai entendu parler aussi de fausses couches.  Reste à savoir aussi si le vaccin empêche réellement les cas graves et si les vaccinés sont davantage protégés que les non vaccinés. Je n'ai pas de preuves n'ayant pas les chiffres exacts mais je doute réellement de cette affirmation. Les auto-tests? " Cela peut être bien s'il est bien utilisé affirme R'Bibo , c'est à dire si la personne introduit bien le coton tige très profondément dans les fosses nasales. Mais c'est très difficile à faire soi-même car on a tendance à freiner son geste, à retirer sa main. Donc, il est moins fiable quand il est fait par soi-même."

Il faut signaler ce qui est très important que dans 99% des cas, le virus peut s'assimiler à une forte grippe. Trois médicaments sont employés pour les soins : le Doliprane et dans certains cas quand l'inflammation est importante de la cortisone.  Ca évite parfois les complications respiratoires. Et une troisième solution consiste pour les personnes à risque d'embolie, à utiliser les anti-coagulants. " Ca peut être très utile car le Corona peut déclencher des phlébites et de graves embolies pulmonaires souvent des micro embolies multiples".. Un ami médecin cancérologue donne pour sa part 2 bouteilles de vitamine D en début de traitement et une à la fin ce qu'approuve R'Bibo... Il est souhaitable si l'on est sportif de continuer le sport; cela aide à lutter contre la fatigue quitte à en faire très tôt le matin ou le soir tard quand personne ne traîne dans les rues. J'ai une amie artiste qui m'a dit être  infectée pour la deuxième fois  après un test en pharmacie. Or elle ne se sentait pas vraiment malade ce qui ne veut rien dire puisqu'à priori, on peut ne rien avoir comme symptômes, et pour plus de sûreté, elle a fait un deuxième test en laboratoire; elle est négative...Incroyable et  qui croire? Normalement,, le laboratoire est censé être plus fiable...  Mais il y a de quoi être déroutée et à sa place je le serais... La première fois, atteinte par le COVID, elle  n'a pas fait de sport. Or elle en fait tous les jours et elle n'en pouvait plus tellement elle avait envie de bouger du moins les premiers jours. Après, elle s'est habituée à l'inaction mais je suis persuadée que si elle avait bougé, elle s'en serait sortie plus vite. Et là elle m'avait  dit que cette fois-ci, elle en ferait le matin tôt et elle avait bien raison... 

L'hospitalisation? Il faut le faire quand il existe des difficultés respiratoires. Souvent les premiers jours, les personnes ont les symptômes habituels ( fièvre, mal à la tête, courbatures) et à un moment donné, en quelques heures, elles vont vraiment étouffer. C'est impressionnant , elles cherchent leur air, s'affolent.  On surveille alors la saturation (pourcentage d'oxygène dans le sang) qui normalement est de 98 à 99%. Si elle passe en-dessous de 92 ou 94 selon les médecins, cela veut dire que l'oxygène ne parvient pas jusqu'au sang. On met les personnes sous oxygène, et si malgré cela c'est inefficace; on met les personnes dans le coma. On les incube pour faire passer l'oxygène dans les voies respiratoires. Quand ça commence à reprendre forme, on réveille tout doucement les personnes et si elles sont bien oxygénées, elles peuvent rentrer chez elles. Elles sont fatiguées, mais rien à voir avec les personnes qui sortent de réanimation qui sont carrément éreintées. Il y a une fonte musculaire, et les patients sont extrêmement faibles.. " Faire faire du sport pour remuscler ? Indispensable. D'après le docteur R'Bibo c'est ce qui est fait, mais je n'en suis pas sûre. D'autre part important aussi les mots employés et là encore je doute que tous les médecins les utilisent à bon escient. " Comme le dit R'Bibo " il faut donner du courage, être optimiste car comme toute maladie et surtout les graves le côté psychosomatique est très important"... On peut aussi avoir recours à des médecines douces comme la méditation ou autre pour apaiser... La nourriture joue également un rôle d'autant plus que généralement à l'hôpital, on ne peut pas dire que celle-ci soit très élaboré...

 

En tout cas, si tout le monde faisait un effort et respectait les mesures barrières, il y aurait de grandes chances de beaucoup mieux lutter contre la pandémie. Surtout que là encore dans 99% des cas, cela se termine comme une bonne grippe.  En réponse à l'argument d'Alexandra Caude Henrion affirmant que les asymptotiques n'existent pas, le docteur R'Bibo affirme qu'il peut sortir de ses dossiers des dizaines de personnes positives n'ayant eu aucun symptôme. Lui-même a été contaminé à l'hôpital et n'a eu aucun symptôme.... Il a pourtant soigné sa femme atteinte d'un important Corona. 

Vouloir vacciner les enfants spécialement ceux âgés de 5 à 12 ans est absolument honteux. D'ailleurs un enfant de 8 ans est mort d'une crise cardiaque après avoir été vacciné. Voici à ce sujet les réflexions du docteur R'Bibo : Je suis pour le vaccin pour les enfants atteints de comorbidités comme les malformations génétiques, la mucovisicidose, l'asthme, les maladies rares, les myopathies, les chaises roulantes. Certains enfants sont en réanimation. En revanche, pour les enfants sains de 5 à 11 ans, je ne le ferai pas. Je ne voudrais faire prendre de risques à des enfants dont l'organisme n'est pas le même que celui de l'adulte et l'enfant peut réagir plus violemment au vaccin.  La deuxième raison c'est que dans la majorité des cas cela se termine chez les petits par une gripette. Certes, les enfants sont des sources de contamination, ce qui implique que le virus va continuer à circuler, mais est-ce judicieux de faire prendre des risques à un enfant pour freiner l'évolution? Je pense que l'on ferait mieux de vacciner les gens dans les pays sous-développés qui n'ont pas de vaccins car c'est de là que viennent les variants. Il faut arrêter d'être égoïste  et ne vouloir vacciner que nos compatriotes. Il faut vacciner plus largement les populations du tiers-monde sinon ça ne s'arrêtera jamais. J'entends que les Israéliens vont faire une 4ème dose; ça commence à bien faire. Qu'ils utilisent leur vaccin pour le Kenya, l'Ouganda. En France et dans les pays développés, on a atteint un niveau de vaccin presque suffisant et on n'a rien fait pour ces pays là. Ce n'est pas que les Africains vont mourir, c'est que le virus va revenir chaque année. " En plus, avec le développement de nouveaux variants les vaccins actuels seront de moins en moins efficaces Il faut savoir aussi que l'âge n'intervient pas dans le COVID : " L'âge explique le docteur R' Bibo a été mis en avant parce qu'on a vacciné les plus fragiles dans un premier temps. On a fait des séries, les plus de 65 ans, les plus de 50 mais en réalité l'âge n'a rien à voir là-dedans"... Le docteur R' Bibo m'affirme j'en doute là aussi même si je n'ai pas de preuve qu'il n'y a rien dans le test effectué par les voies nasales. Je pense aussi que plus le masque  est censé protéger davantage comme le FFP2, plus il doit contenir un produit encore plus toxique que le masque chirurgical. 

Selon le docteur R'Bibo des espoirs de traitement se profilent à l'horizon. Avec notamment et cela devrait davantage rassurer les anti-vas des vaccins basés sur la technologie du virus de la grippe à base de protéines. " Peut-être que l'on va se rendre compte que c'est plus efficace. Deuxième possibilité : Deux médicaments celui de Pfizer et celui du laboratoire Merk qui vient d'être autorisés aux Etats-Unis avec de bons résultats et qui vont être autorisés très certainement en Europe. Il faudra les prendre dès les premiers symptômes pour éliminer le virus et cela évitera sûrement les vaccinations. Le médicament du laboratoire Merck est un produit qui se rapproche du médicament pour soigner le sida. Ce qui corroborait la déclaration du docteur Montagné qui dit qu'il y a le virus du Sida dans le vaccin. " Ah n'importe quoi trépigne R'Bibo. S'il a dit ça il est devenu sénile.La principale expérience des laboratoires c'est le virus du sida qui a été soigné après l'horrible épidémie des années 80,85. Ils ont réussi à sauver beaucoup de gens qui grâce à la trithérapie peuvent vivre normalement. Et ils ont repris des médicaments anti-viraux qu'on utilise pour le sida. Ils se sont dits qu'en les modifiant un peu cela allait peut-être être efficace sur le virus du Corona. C'est formidable, on a vacciné en attendant ce moment là et il semble arriver "... En tout cas, vouloir faire un rappel au bout de 4 mois est une aberration car que l'on soit vacciné ou que l'on ait été contaminé les anti corps subsistent en moyenne 6 mois avec quelques variations selon les cas...

Avant de terminer, je tiens à noter que  j'ai lu que l'on ne connaît pas de stratégie vaccinale jusqu'à présent qui ait marché pour un Corona... " Oui c'est vrai, on tâtonne et jusqu'à présent, on continue à tâtonner" confirme R'Bibo... 

Et je vais conclure par le jugement du docteur R' Bibo sur l'attitude des médias : " Les médias mettent de l'huile sur le feu. Leur attitude n'est pas éthique. Je suis assez outré par ce que font les journalistes . Ils en rajoutent, dramatisent la situation là où il ne faudrait peut-être pas dramatiser mais simplement  rendre les gens responsables et non pas les affoler comme ils le font actuellement. ce n'est d'ailleurs pas vrai uniquement en France; c'est valable dans le mondee entier en tout cas dans un monde dit évolué. Profiter ainsi de la situation n'est pas très joli... "

Quant à la situation des non vaccinés, je propose que tous les non vaccinés bravent l'interdiction et aillent tous dans les cafés en faisant preuve d'audace. Aucun bar man ne pourra contrôler la situation et le pass sanitaire qui va devenir le pass vaccinal, et c'est une façon à mon avis plus efficace que la manifestation. Quant à tout ceux qui sont réticents mais qui sont obligés de se faire vacciner pour s'occuper de leurs parents, il faudrait une dérogation pour ne pas tomber dans la non assistance à personne en danger...

" Cela me fait penser à la citation du mathématicien, philosophe  Bertrand Russel qui résume bien la situation : " La peur collective stimule l'instinct du troupeau et tend à produire de la férocité envers ceux qui ne sont pas considérés comme des membres du troupeau"... 

Agnès Figueras-Lenattier

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jeudi, 20 août 2020

Une rencontre magique

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Ah ces cystites à répétition, ras le bol! C'est ainsi que pensait Nadège parfois. Elle avait bien essayé plusieurs méthodes pour s'en sortir mais rien n'y faisait. Une fois pourtant un traitement à la canneberge l'avait soulagée pendant une bonne année mais avec le temps son corps s'était habitué à ce traitement qui finit par perdre son efficacité. Même la phytothérapie prescrite par une spécialiste des plantes fut vaine. Seuls les antibiotiques faisaient disparaître l'infection…
Un jour en compagnie de sa fille Barbara, elle se rendit dans une librairie. Barbara sans savoir le bien qu'elle allait faire à sa maman par la suite, se dirigea vers le rayon qu'elle cherchait, et Nadège aperçut alors le livre d'un magnétiseur reconnu et médiatisé. Intéressée par tout ce qui a trait à l'inexpliqué, elle s'empressa de l'acheter. Dès qu'elle put, elle commença la lecture, et pensant alors à ses cystites, elle se dit en for intérieur "Pourquoi pas essayer d'aller voir cet homme?" Elle avait eu l'occasion de discuter avec une amie qui adolescente était victime de la même chose qu'elle et qui avait vu ces symptômes disparaître à la suite d'une visite chez un magnétiseur. Cela la conforta dans son idée et elle prit rendez-vous. En outre, cet énergéticien était un ancien judoka de haut niveau, ce qui la séduisit d'autant plus qu'elle était elle-même une ancienne joueuse de tennis professionnelle. Lors de la première consultation, le courant passa tout de suite et l'amour du sport augmenta leur complicité. Elle lui expliqua son problème, ce à quoi il répondit qu'il aurait sûrement besoin de deux trois séances…
Très sûr de lui, il lui souleva les deux bras l'un après l'autre et lui montra la différence entre le gauche et le droit. Il posa ensuite les mains quelques minutes sur son corps, et Nadège sentit une forte chaleur envahir son être tout entier. Puis le magnétiseur lui prit de nouveau les deux bras l'un après l'autre, et elle put constater que plus aucune différence n'existait entre les deux. La raison venait du fait qu'elle était constipée. Elle n'en avait pas vraiment conscience allant à la selle tous les deux jours. " Normalement, il faut y aller au moins 2 fois par jour" lui expliqua t-il.
Le lendemain, Nadège alla à la selle trois fois et ceci pendant quelques jours. Puis après au moins 1 fois par jour. Les cystites étaient toujours là, mais il l'avait prévenu que cela ne se résoudrait pas en une seule fois.
Après la deuxième consultation, la cystite suivante survint trois mois après la précédente. Un progrès puisque d'habitude c'était tous les mois, tous les mois et ½. Et après la troisième visite tout s'arrangea petit à petit et à ce jour Nadège n'en a plus… Un vrai soulagement!...
Lors d'un déjeuner amical, il lui expliqua qu'il ne prétendait guérir personne. " J'ai l'honnêteté de bien expliquer que la seule chose sur laquelle j'agis, c'est le déclenchement du phénomène de l'auto-guérison. Le seul guérisseur que l'on peut aujourd'hui consulter, c'est celui que l'on a à l'intérieur de soi et qui est capable de nous remettre sur les rails si on en a la possibilité. Et puis le fait que le mal qui nous habite n'est pas un mal lésionnel qui va nous embarquer de l'autre côté… Les gens sont persuadés que parce que parfois les résultats sont surprenants que j'ai un don exceptionnel et que je guéris les gens. Non, je ne guéris personne, je n'ai jamais guéri qui que ce soit. Je me décarcasse et mouille ma chemise tous les jours pour aider les gens à recouvrer la santé. Je suis là pour booster; c'est tout. Une séance avec moi comporte deux aspects : rééquilibrer l'énergie mal répartie dans le corps, et recharger, regonfler le patient."
Nadège l'interrogea pour savoir si la prise de médicaments pouvait le gêner : "Non, cela ne gêne en rien mon action et je ne modifie aucun traitement. Lorsque j'agis, je suis plein de compassion, de gratitude, et je n'arrête pas de dire que ma main représente le prolongement de mon cœur. C'est rechargeant à la fois pour moi et pour le patient. Contrairement à ce que l'on croit, ce n'est pas mon énergie que je capte, mais celle du patient." Il confia à Nadège qu'il pouvait lui arriver lors d'une consultation de deviner chez un patient une perturbation cachée. " Je dis à un patient venu me voir pour telle pathologie " attention il y a autre chose. " Je ne sais pas le déterminer car ce n'est pas mon rôle, mais très souvent il y avait un début de perturbation confirmé par un docteur. Ce qui interpelle les médecins, c'est que parfois j'ai une information d'un désordre sur le plan énergétique alors que la personne n'a ni symptôme ni gêne." Et le sport tu en parles à tes patients?" demanda Nadège? "Pour moi, c'est vital et je le recommande vivement à tous les gens qui viennent me voir quelque soit leur âge. D'ailleurs si les personnes reviennent sans en avoir fait, je ne les accepte plus dans mon cabinet. " Avec le sport, le sang circule mieux, l'oxygénation est meilleure et un certain nombre de choses vont mieux. Le sport stocke des endorphines et c'est le meilleur antidépresseur qui soit." Quelles sont les maladies que tu ne peux soigner?" : " Il existe de nombreuses pathologies pour lesquelles on ne mettra jamais d'énergie. Par exemple toutes les pathologies psychiatriques. Les schizophrènes n'ont rien à faire dans mon cabinet. Les gens très déprimés avec des quantités énormes de médicaments non plus… "
`Nadège voulut savoir enfin s'il avait eu parfois des échecs qui l'avaient marqué : " Il ne règne pas de déception à partir du moment où ce que tu penses que tu fais est utile. Par contre de la tristesse oui, quand je me donne à fond pour améliorer l'état de quelqu'un et que cela échoue. Quand tu suis un enfant atteint d'un problème de santé important, que tu le prends en charge en complément de la médecine, que tu vois que la maladie se stabilise et puis que finalement elle prend le dessus et que le gamin décède, comme tout un chacun tu es triste, dévasté. Parfois ce n'est pas simple les consultations et les gens te demandent des choses pour lesquelles tu ne peux strictement rien faire. Là où je serais déçu de moi, ce serait si je n'étais pas honnête avec les gens, et si je leur faisais croire des choses pas vraies. Mais on ne peut pas en vouloir à quelqu'un de dire qu'il ne peut pas, qu'il ne sait pas faire."
Un an plus tard, Nadège fut victime d'une tendinite que rien n'arrivait à soigner et qui durait depuis 6 mois. Elle avait essayé les ultra-sons et la kiné avec des mouvements adaptés. Inefficace. Elle avait aussi vu un ostéopathe très réputé trois fois sans succès non plus. "On peut essayer de résoudre le problème" lui avait-il affirmé. Mais il lui avoua qu'elle était trop tendue pour qu'il puisse faire quoi que ce soit. C'est alors qu'elle pensa à ce judoka. Et là encore il la sortit d'affaire en une fois…
Il lui prit la main gauche côté tendinite, lui montra la différence avec la droite, lui indiqua d'où venait le traumatisme, puis lui demanda de se détendre. Il tourna alors délicatement la main gauche d'un côté, provoqua un léger craquement. Puis fit de même de l'autre côté. " Ca y est c'est fait " s'écria t-il. Ensuite, il lui donna un petit flacon contenant deux huiles essentielles mélangées et lui conseilla de masser sa main, son coude et son omoplate trois fois par jour. " C'est en ayant recours à ces huiles pendant deux mois que j'ai évité l'opération après m'être blessé lors d'un combat" lui affirma t-il. Les deux jours suivants, sa tendinite lui fit beaucoup plus mal que d'habitude. Or au bout d'une semaine tout avait disparu… Magnétiseur, oui mais aussi magicien n'est-ce pas!.. Ceux qui sont sceptiques ne peuvent que se taire et rétorquer " Chapeau bas Monsieur"!...

Agnès Figueras-Lenattier

 

dimanche, 24 mars 2013

Visite du 1er avril

Secrets de Paris organisera une visite drôle pour le 1er avril. Cette année, nous avons choisi le quartier de Montmartre :

 

Lundi 1er avril 2013 : Visite humoristique et évocation de l'histoire des meilleurs poissons d'avril.

 

Le 1er avril prochain, une étonnante visite guidée se déroulera dans Paris.

Un historien, chemin faisant, contera l'origine méconnue de la tradition du poisson d'avril et évoquera quelques canulars, parmi les plus extraordinaires.

Les passants qui, par hasard, croiseront ce groupe, apparemment sérieux, n'en reviendront pas des propos tenus.

La promenade, au coin d'une rue, au détour d'une place, mêlera l'histoire et la fiction la plus insolite, sous la houlette d'un guide qui ne se départira jamais de son sérieux.

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Thomas Dufresne, le guide, est l'auteur, aux Editions du Cherche Midi d'un ouvrage drôle sur l'histoire de Montparnasse (l'Abécédaire de La Coupole en Montparnasse). Lui-même sacrifie tous les ans à la tradition du 1er avril, une des rares traditions qu'il respecte...

 

Secrets de Paris propose toute l'année des visites historiques originales où l'humour est toujours présent.

 

 

Rendez-vous devant la pharmacie du 5, place Blanche (75009, M° Blanche), à 10h et à 14h.

Tarif 11 euros.

 

www.secrets-de-paris.fr

parisecrets@free.fr

samedi, 30 juin 2012

Soirée canulars

Secrets de Paris vous propose une soirée sur le thème des canulars. Au menu, des anecdotes et des histoires croquignolesques, des chansons drôles ou tendres et un buffet de produits du terroir, le tout accompagné d'un verre de vin...

Avec Thomas Dufresne et Maud Vivien.

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"La soirée est rythmée, sans fausse note. Un plaisir pour les oreilles, les papilles et l'esprit !" selon Télérama.
Rendez-vous chez Sacrés vins dieux (24, rue Montbrun, 75014, M° Alésia), à 20h15.
Tarif : 22 euros. Réservation obligatoire par courriel à parisecrets@free.fr

 

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mercredi, 22 juin 2011

L'île aux films ! Le festival d'été jeune public à l'entrepôt !

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L’entrepôt lance son festival d’été dédié au jeune public :

 

 

 

L’île aux films !

Du 13 au 19 juillet,l’entrepôt vivra au rythme des enfants, avec une sélection de films tout en musique, et un florilège de surprises entièrement consacré aux petits, de 2 à 8 ans !

o   La Nounou et les pirates, à partir de 2-3 ans

o   Les aventures de Sindbad, à partir de 2-3 ans

o   Le Criquet, à partir de 2-3 ans

o   Goshu le violoncelliste, à partir de 4 ans

o   Pierre et le loup, à partir de 7 ans

o   U, à partir de 5-6 ans

o   Chantons sous la pluie, à partir de 6 ans

 

Ces projections auront lieu chaque jour à 10h15, et le samedi et dimanche à 11h15 et s’accompagneront d’activités à la fois ludiques et pédagogiques, pour découvrir le cinéma et les secrets de la fabrication d’un film d’animation.

 

 

Au jour le jour :


Mercredi 13 juillet : à l’abordage !
10h15 : Venez déguisés pour la projection de La Nounou et les pirates ! Maquillage de pirate à l’issue de la séance pour tous les matelots en herbe!
à partir de 2-3 ans - Tarif: 4€


Jeudi 14 juillet : quizz surprise !
10h15: La séance de Pierre et le loup sera suivie d’un quizz pour découvrir la musique de Serge Prokofiev et les personnages du film.
à partir de 7 ans - Tarif: 4€


Vendredi 15 juillet : au coeur de la fabrique des images animées !
10h15: Après Goshu le violoncelliste les enfants réaliseront eux-mêmes leur film en 35 mm ! Après avoir peint sur la pellicule, nous projetterons le film et les enfants pourront ainsi voir leur dessin s’animer sur grand écran.
à partir de 4 ans - Tarif: 4€


Samedi 16 juillet : à la recherche du film perdu !
11h15: Les enfants devront retrouver la bobine manquante afin qu’il puisse être projeté... L’occasion de visiter le cinéma ! Ensuite... place au chef d’oeuvre : Chantons sous la pluie!
à partir de 6 ans - Tarif: 4€


Dimanche 17 juillet : voyage en musique, avec Sindbad !
11h15: Les aventures de Sindbad ! A la fin de la projection: place à la musique ! Les enfants pourront faire connaissance avec les instruments de l’orchestre et assister à un concert !
à partir de 2-3 ans - Tarif: 5€


Lundi 18 juillet : à la découverte des coulisses du cinéma !
10h15: La projection de U sera suivie d’un atelier : à partir d’extraits du film, les enfants seront amenés, comme dans un jeu de piste, à réfléchir sur des questions très simples de mise en scène : comment c’est fait ? Pourquoi ? Qu’est-ce que cela veut dire ? Tout en s’amusant avec Mona, Kulka, U et les autres créatures du film.
à partir de 5-6 ans - Tarif: 4€


Mardi 19 juillet : cérémonie de clôture
10h15: Après le film Le Criquet les tout-petits apporteront la touche finale à l’affiche, que tous les petits spectateurs, durant toute la semaine, auront patiemment confectionnée.
à partir de 2-3 ans - Tarif: 4€

 

 

à l'entrepôt,

7/9 rue Francis de Pressensé

75014 Paris
M° Pernety

 

informations, réservations: cinema@lentrepot.fr

ou 01 45 40 64 75



jeudi, 07 avril 2011

Ciné-dégustation à l'entrepôt

La Clef des Terroirs, de Guillaume Bodin

2 projections sont prévues :

Lundi 11 avril à 20h en présence du réalisateur 7.5 €/ personne

Mercredi 13 avril à 20h en présence du réalisateur + dégustation des vins du film sélectionnés 9€/personne


voici les vins sélectionnés pour la dégustation:
Bourgogne Aligoté de Sylvain Loichet
Bourgogne Nuit Saint georges 1er crus de Thibault Ligier Belair
Pouilly des Bret Brother

 

LA CLEF DES TERROIRS, un film documentaire sur le vin et la biodynamie :
Le monde du vin a rapidement compris l'enjeu de cette agriculture, la perte de la notion de terroir s'est fait ressentir plus tôt que dans les autres productions. Les vignerons sont des personnes très pointilleuses pour l'élaboration de leurs vins, dans les vignes comme à la cave, un métier où chaque détail a son importance. La biodynamie s'est énormément développée grâce à la précision de ces personnages charismatiques, intelligents qui vous scotchent littéralement lorsqu'ils transmettent leur savoir.

 

Au cinéma l'entrepôt, 7-9 rue Francis de Préssensé, 75014 Paris. Métro Pernety

http://www.lentrepot.fr/ent_evenement.asp?eid=1587

samedi, 13 novembre 2010

J'en crois pas mes yeux !

Quand faut-il guider une personne handicapée visuelle ? Y a-t-il des gestes à éviter ? Est-ce que les personnes aveugles vont au restaurant ?
Comment manger ce que l'on ne voit pas dans son assiette ?
Comment aider sans s'imposer ? C'est quoi une "gaffe" pour un déficient visuel ?
Dois-je aider une personne mal voyante à téléphoner ? 
Pourquoi les aveugles vont-ils au cinéma ?
Est-il possible d’apprécier un film quand on est privé de la vue ?
Quel rapport les déficients visuels entretiennent-ils avec la culture ? ...

...Toutes les réponses à vos questions sont sur "J'en crois pas mes yeux", un site qui a décidé de répondre à toutes ces questions au travers d'une série de brèves vidéos qui traitent avec humour de ces situations où l'on se sent parfois désemparé ou maladroit face à l'inconnue du handicap... 


Derrière
envoyé par JCPMY. - Plus de vidéos fun.

Plus d'info :
+ Toutes les vidéos de J'en crois pas mes yeux sont ici.
+ Pour découvrir les initiateurs et l'équipe, c'est