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lundi, 19 décembre 2005

Traverse bièvre-montsouris : le plan de la ligne

Nous l'avons trouvé ! Il nous aura fallu quelques coups de fil mais nous l'avons trouvé ! Voici le plan détaillé de notre tout nouveau bus de proximité : la traverse Bièvre - Montsouris. Pour le découvrir en détail, cliquez sur l'image pour télécharger ce plan au format .pdf...

medium_trajet_traverse_montsouris2.jpg

Alors, après quelques jours de fonctionnement, des suggestions ?

Pierre

Plus d'info :
+ Notre fil d'actu Traverse Bièvre - Montsouris.

Commentaires

A-t-on déjà des indications sur la fréquentation de ce bus? Les rares fois ou je l'ai apercu il m'avait l'air bien vide...malgré sa petite taille.

Écrit par : Olivier | jeudi, 22 décembre 2005

La traverse, microbus de quartier, n'a en effet que 9 places assises et dès qu'un landau y monte cela devient périlleux pour les usagers qui veulent en descendre ou y accéder. On remarque dès que l'on est debout un manque criant de barres verticales auxquelles se tenir.
Cinq à six usagers dans la journée, une dizaine en soirée. Un creu en effet, parfois, le matin entre 9h et 9h20 sur une toute petite portion du trajet (entre deux arrêts), avec seulement une à deux personnes. Très appréciée en soirée après 19h30 et le week-end, périodes où la fréquence des bus s'allonge, celle de la Traverse reste identique à 15 minutes, et elle ne coince pas, elle, dans les embouteillages.
Des conversations engagées entre voyageurs, on apprend que les habitudes se sont déjà agréablement modifiées.
Tel couple de retraités de la rue Henri Regnault allant faire son marché, en voiture, le samedi matin à Glacière, stressant une vingtaine de minutes à tourner pour trouver une introuvable place où stationner, y va désormais avec la Traverse.
Telle habitante de la rue Barrault (13e) cliente de la Serap rue Père Corentin devait attendre le samedi que son mari l'y emmène en voiture. Elle y vient désormait quand elle veut en semaine (arrêt Paul Fort et Barrault).
Plusieurs résidents du haut de l'avenue Reille côté réservoir de la Vanne), particulièrement éloignée des commerces, qui prenaient automatiquement leur voiture, même pour la boulangerie le dimanche matin, viennent maintenant tranquillement faire leurs achats alimentaires soit sur Père Corentin, soit sur Alésia.
Du terminus, place de l'Abbé Henocque, on vient prendre aussi les bus de l'avenue Général Leclerc ou le métro, ou faire des achats.
Sans parler du plaisir des retraités des résidences Alésia et Beaunier qui sont descendus par les grands froids de la dernière semaine de décembre jusqu'au parc Montsouris et en revenaient ravis (arrêts Tombe Issoire et Paul Fort).
Même chose pour des résidents de la Zac Montsouris. Qui ont aussi repéré qu'ils sont plus vite rendu à Alésia, pour rattraper le métro ou un autre bus, en prenant la Traverse qu'avec le 62. Des personnes travaillant dans la Zac ont commencé par tester sa régularité et l'utilisent maintenant en soirée pour rentrer. (arrêt parc Montsouris)
Des mamans de la rue du Moulin de la Pointe viennent à plusieurs depuis le premier jour de sa mise en service, le 10 décembre,avec leurs enfants profiter de la beauté du parc Montsouris.
Tel gérant d'immeuble rue de la Tombe Issoire qui n'utilise plus que la Traverse pour se rendre "en 10 minutes" sur les copropriétés du secteur Maison Blanche et en revenir.
On remarque que le 13e a été plus prompt à installer des bancs à proximité des arrêts que le 14e, hormis rue du Douanier Rousseau. Et que là où il n'y a pas d'abribus, on s'abrite où l'on peut lorsqu'il pleut, ou qu'il neige.
Lorsque les horaires de desserte seront fixés et affichés à chaque arrêt, comme c'est le cas pour le Montmartrobus ou la traverse Charonne, les usagers sauront avec précision à quelle heure ils peuvent la prendre.

Écrit par : Montserrat | vendredi, 20 janvier 2006

La traverse, microbus de quartier, n'a en effet que 9 places assises et dès qu'un landau y monte cela devient périlleux pour les usagers qui veulent en descendre ou y accéder. On remarque dès que l'on est debout un manque criant de barres verticales auxquelles se tenir.
Cinq à six usagers dans la journée, une dizaine en soirée. Un creu en effet, parfois, le matin entre 9h et 9h20 sur une toute petite portion du trajet (entre deux arrêts), avec seulement une à deux personnes. Très appréciée en soirée après 19h30 et le week-end, périodes où la fréquence des bus s'allonge, celle de la Traverse reste identique à 15 minutes, et elle ne coince pas, elle, dans les embouteillages.
Des conversations engagées entre voyageurs, on apprend que les habitudes se sont déjà agréablement modifiées.
Tel couple de retraités de la rue Henri Regnault allant faire son marché, en voiture, le samedi matin à Glacière, stressant une vingtaine de minutes à tourner pour trouver une introuvable place où stationner, y va désormais avec la Traverse.
Telle habitante de la rue Barrault (13e) cliente de la Serap rue Père Corentin devait attendre le samedi que son mari l'y emmène en voiture. Elle y vient désormait quand elle veut en semaine (arrêt Paul Fort et Barrault).
Plusieurs résidents du haut de l'avenue Reille côté réservoir de la Vanne), particulièrement éloignée des commerces, qui prenaient automatiquement leur voiture, même pour la boulangerie le dimanche matin, viennent maintenant tranquillement faire leurs achats alimentaires soit sur Père Corentin, soit sur Alésia.
Du terminus, place de l'Abbé Henocque, on vient prendre aussi les bus de l'avenue Général Leclerc ou le métro, ou faire des achats.
Sans parler du plaisir des retraités des résidences Alésia et Beaunier qui sont descendus par les grands froids de la dernière semaine de décembre jusqu'au parc Montsouris et en revenaient ravis (arrêts Tombe Issoire et Paul Fort).
Même chose pour des résidents de la Zac Montsouris. Qui ont aussi repéré qu'ils sont plus vite rendu à Alésia, pour rattraper le métro ou un autre bus, en prenant la Traverse qu'avec le 62. Des personnes travaillant dans la Zac ont commencé par tester sa régularité et l'utilisent maintenant en soirée pour rentrer. (arrêt parc Montsouris)
Des mamans de la rue du Moulin de la Pointe viennent à plusieurs depuis le premier jour de sa mise en service, le 10 décembre,avec leurs enfants profiter de la beauté du parc Montsouris.
Tel gérant d'immeuble rue de la Tombe Issoire qui n'utilise plus que la Traverse pour se rendre "en 10 minutes" sur les copropriétés du secteur Maison Blanche et en revenir.
On remarque que le 13e a été plus prompt à installer des bancs à proximité des arrêts que le 14e, hormis rue du Douanier Rousseau. Et que là où il n'y a pas d'abribus, on s'abrite où l'on peut lorsqu'il pleut, ou qu'il neige.
Lorsque les horaires de desserte seront fixés et affichés à chaque arrêt, comme c'est le cas pour le Montmartrobus ou la traverse Charonne, les usagers sauront avec précision à quelle heure ils peuvent la prendre.

Écrit par : Montserrat | vendredi, 20 janvier 2006

La traverse, microbus de quartier, n'a en effet que 9 places assises et dès qu'un landau y monte cela devient périlleux pour les usagers qui veulent en descendre ou y accéder. On remarque dès que l'on est debout un manque criant de barres verticales auxquelles se tenir.
Cinq à six usagers dans la journée, une dizaine en soirée. Un creu en effet, parfois, le matin entre 9h et 9h20 sur une toute petite portion du trajet (entre deux arrêts), avec seulement une à deux personnes. Très appréciée en soirée après 19h30 et le week-end, périodes où la fréquence des bus s'allonge, celle de la Traverse reste identique à 15 minutes, et elle ne coince pas, elle, dans les embouteillages.
Des conversations engagées entre voyageurs, on apprend que les habitudes se sont déjà agréablement modifiées.
Tel couple de retraités de la rue Henri Regnault allant faire son marché, en voiture, le samedi matin à Glacière, stressant une vingtaine de minutes à tourner pour trouver une introuvable place où stationner, y va désormais avec la Traverse.
Telle habitante de la rue Barrault (13e) cliente de la Serap rue Père Corentin devait attendre le samedi que son mari l'y emmène en voiture. Elle y vient désormait quand elle veut en semaine (arrêt Paul Fort et Barrault).
Plusieurs résidents du haut de l'avenue Reille côté réservoir de la Vanne), particulièrement éloignée des commerces, qui prenaient automatiquement leur voiture, même pour la boulangerie le dimanche matin, viennent maintenant tranquillement faire leurs achats alimentaires soit sur Père Corentin, soit sur Alésia.
Du terminus, place de l'Abbé Henocque, on vient prendre aussi les bus de l'avenue Général Leclerc ou le métro, ou faire des achats.
Sans parler du plaisir des retraités des résidences Alésia et Beaunier qui sont descendus par les grands froids de la dernière semaine de décembre jusqu'au parc Montsouris et en revenaient ravis (arrêts Tombe Issoire et Paul Fort).
Même chose pour des résidents de la Zac Montsouris. Qui ont aussi repéré qu'ils sont plus vite rendu à Alésia, pour rattraper le métro ou un autre bus, en prenant la Traverse qu'avec le 62. Des personnes travaillant dans la Zac ont commencé par tester sa régularité et l'utilisent maintenant en soirée pour rentrer. (arrêt parc Montsouris)
Des mamans de la rue du Moulin de la Pointe viennent à plusieurs depuis le premier jour de sa mise en service, le 10 décembre,avec leurs enfants profiter de la beauté du parc Montsouris.
Tel gérant d'immeuble rue de la Tombe Issoire qui n'utilise plus que la Traverse pour se rendre "en 10 minutes" sur les copropriétés du secteur Maison Blanche et en revenir.
On remarque que le 13e a été plus prompt à installer des bancs à proximité des arrêts que le 14e, hormis rue du Douanier Rousseau. Et que là où il n'y a pas d'abribus, on s'abrite où l'on peut lorsqu'il pleut, ou qu'il neige.
Lorsque les horaires de desserte seront fixés et affichés à chaque arrêt, comme c'est le cas pour le Montmartrobus ou la traverse Charonne, les usagers sauront avec précision à quelle heure ils peuvent la prendre.

Écrit par : Montserrat | vendredi, 20 janvier 2006

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