Paris14.info

C'est vrai c'est intolérable !

Voilà une des seules avenues de Paris où on a pas encore claqué des millions d'euros pour créer des bouchons la nuit, la journée, le dimanche, etc.

Vivement que la mairie fasse quelque chose !

Regardez le boulevard Saint-Marcel : voilà la solution !

Écrit par : Nico | vendredi, 10 novembre 2006

...Les avenues du Général Leclerc et du Maine ainsi que la rue d'Alésia ont toujours été des lieux totalement asphyxiés. Ce n'est pas pour rien que la place Victor et Hélène Basch a la réputation d'être la place la plus polluée de France.

Le fiasco de Magenta doit-il nous interdire de réfléchir à de nouvelles solutions ? Tu aimerais vivre avec 5 fenêtres avenue du Général Leclerc ou René Coty ?

Je connais assez peu d'habitants - y compris des quartiers verts - qui aimeraient revenir en arrière et redonner à l'automobile (dans son état actuel de véhicule bruyant et polluant) la place qu'elle avait avant.

Le problème des quartiers verts est qu'ils ont donné de la tranquillité à certains et créé un enfer pour d'autres sans apporter de solutions en matière de lutte contre la pollution atmosphérique. Il faut donc réfléchir à de nouvelles mesures qui permettront de répondre à la question que tout le monde se pose (mais à laquelle la Mairie de Paris comme la région IDF n'ont pas pas répondu) : comment concilier enjeux économiques et écologiques en matière de déplacements en IDF.

En dehors des "pousse-pousse" - sérieusement - Nico, tu proposes quoi ? :-)

Écrit par : Pierre Vallet | vendredi, 10 novembre 2006

"Le fiasco de Magenta " ! Voire, ça dépend de quel point de vue on se place. Idem pour les "espaces civilisés" des boulevards de Clichy et Rochechouart.
1er point de vue : piétons et utilisateurs de bus - amélioration indiscutable. Je vais par le bus 30 à la gare de l'Est en partant de Pigalle en moitié moins de temps qu'avant ! Je me promène l'été sur le terre plein central des "espaces civilisés" sous les grands arbres. je n'en dis pas plus
2ème point de vue : l'automobiliste a vu sa vie transformée en cauchemar sur les boulevards, Magenta compris.
On n'a pas su trouver comment offrir aux uns en retirant aux autres et la RATP n'a pas suivi car il faut attendre le 30 ou le 54 dix bonnes minutes. Voilà je crois les termes du débat.

Écrit par : Didier | vendredi, 10 novembre 2006

Une mauvaise réaction serait de penser qu'il y a encore trop de voiture dans la capitale et donc qu'il faut absolument encore tout faire pour réduire la circulation automobile !
Ce que ne dit pas cette video, c'est qu'au même moment, les métros (ex ligne 6) comme les bus (ex ligne 62) débordent et que le nombre de déplacements à Paris diminue (cf synthèse annuelle de la mairie) !
En fait, il faut re-irriguer Paris, redistribuer la circulation automobile, réouvrir par exemple la rue de la Tombe-Issoire ...
Nous arrivons aux limites de la politique actuelle, car certes moins de voitures mais plus de bouchons et moins d'activité économique.
Il faut placer le dilemme à la question ci-après : Souhaitons nous transformer la capitale en un parc naturel dédié au tourisme et aux plaisirs ?

Écrit par : Hervé | samedi, 11 novembre 2006

Ce que je propose ?

Je ne suis pas urbaniste, mais il me semble aberrant d'avoir prétendu régler le problème de déplacements à Paris sans considérer le problème d'un point de vue régional.

Vous me direz que Baupin est élu à Paris, et que de toutes façons les structures de décisions permettant une mise en cohérence des politiques à l'échelle de la région n'existe pas.

Soit.

Mais lorsqu'on interroge Delanoë sur sa politique anti-voiture, il se récrie en disant que c'est une politique de santé publique.

Re-soit.

Mon propos n'est pas de nier que l'émission de gaz à effet de serre est mortelle à plus ou moins long terme, ni que la circulation automobile est largement responsable de ces émissions en IdF.

Mais franchement, le jour où quelqu'un me démontre que ce que Baupin met en place depuis 2001 va dans le sens d'une réduction des émissions polluantes, des émissions de bruit, d'une amélioration des déplacements, le tout au niveau régional, ce jour là, je prends tout les lecteurs du blog à témoin, je me plante au milieu du carrefour Alésia avec un panneau autour du cou : "Je suis un abruti, Baupin avait raison".

Pour répondre à la question, il me semble que le plus efficace serait de lutter contre le lobby pétrolier.

Bien sur c'est pas simple. Mais si les voitures polluaient moins, ça serait déjà bien.

On utilise bien la contrainte pour décourager les conducteurs de prendre leurs voitures, pourquoi n'imaginerait-on pas des système contraignant les constructeurs à revoir leur copie ?

Pour ce qui est de réduire la circulation à Paris, je crois qu'il est clair pour tout le monde que la seule solution est de proposer une offre de transport en commun concurrente et efficace.

Le solutions proposées par les Verts en matière d'écologie ne me conviennent pas car je trouve qu'elles reflètent l'abdication des politiques face aux puissances d'argent.

Quand je vois les enjeux, je suis scandalisé par la promotion des déplacements en vélo, l’apologie des « petits gestes qui ne sont pas si petits quand on est nombreux à les faire ».

Ok, faisons des petits gestes. Mais qui lutte contre les industriels de l'emballage, du recyclage, de l'automobile, des énergies fossiles ?

Vous allez dire que Baupin, adjoint aux transports à Paris, n'est certes pas au poste qu'il faudrait pour mener ces combats là.

Mais pourquoi s'il était ministre des transports serait-il meilleur, alors qu'il n'y a pas de preuve tangible de ses résultats à Paris ?

Prenez le 14ème. Expliquez moi ce qu'ont fait les riverains de la rue de la Santé pour mériter d'avoir des bouchons en permanence sous leurs fenêtres depuis la réduction à une voie et la création d'une voie de bus gigantesque, qui ne sert à rien, parce que les bus ne bouchonnait pas à cet endroit là.

Avenue René Coty, et rue d'Alésia. Quid du surcroît de trafic occasionné par la mise en sens unique de l'avenue Reille ?

Carrefour rue de la Santé / Bd Saint Jacques. Combien coûte le petit îlot, sous le métro, qui ne sert à rien ?

Qu'est ce que ça a à voir avec l'écologie au juste ? Quel est le but ? Rendre inéluctable l'installation d'un péage aux portes de Paris ? Faire des quartiers privilégiés et préservés au détriment de quelques grands axes ?

Le pire c'est quand on voit que Panafieu ne remet pas franchement en cause cette politique là. Forcément, c'est une politique de droite !

S'il y a un levier politique qui permet de lutter contre les inégalités sociales, c'est bien celui de l'urbanisme, parce qu'il permet de changer la distribution spatiale des inégalités.

Mais non. On fait des quartiers verts où les prix de l'immobilier sont comparables à ceux de Monaco. Rue Bezout, on dépense -combien ?- dans l'élargissement d'un trottoir, mais les marchands de biens se refilent des immeubles à des prix dérisoires sans qu'ils soient préemptés, ni qu'on envisage d'en faire des logements sociaux.

Ce que je propose, c'est que des gens de gauche fasse une politique de gauche. C'est que l'équipe municipale ouvre Paris vers sa banlieue. C'est qu'elle se donne les moyens de réduire la place de la voiture sans la remplacer par des forêts de piquets en ferraille, comme rue Raymond Losserand.

La voiture, c'est moche, ça pue, ça pollue, et ça tue. Mais au moins, place du Commandeur, quand il y a avait des bagnoles au milieu de la place, ça faisait vivant. Maintenant, tout est aseptisé, moche, propre, et riche.

Bon, c’est mon point de vue, mais ils sont en train de transformer ma ville en ghetto de riche. Ca me dégoûte. Mais en même temps, vu le prix que ça coûte de s'installer à Paris aujourd'hui, pouvait-on attendre autre chose du verdict des urnes ?

Non.

Y a plus qu'à aller voir ce qui se passe de l'autre coté du périph'...

Écrit par : Nico | dimanche, 12 novembre 2006

La mairie, à mon avis, se satisfait de la tutelle de la préfecture sur cette avenue centrale pour le 14ème. Cela lui épargne toute réflexion d'ensemble sur la circulation dans l'arrondissement (et dans l'agglomération). Je ne sais pas si la solution est de créer des couloirs de bus.

En tous les cas, je ne comprends pas pourquoi, sur cet axe, les piétons doivent courir pour traverser l'avenue, pourquoi les voitures stationnent sur les passages piétions, pourquoi les trottoirs sont devenus des espaces de livraison....

Écrit par : solal | dimanche, 12 novembre 2006

Hervé, j'ai un peu de mal à comprendre votre point de vue : ne suffit il pas de regarder la vidéo proposée par Pierre pour voir qu'il y a trop de voitures dans Paris ? Redistribuer la circulation ne servira pas à grand chose dans la mesure où l'espace est une quantité fixe et que dans cet espace nous ne pourrons pas faire passer plus de voitures qu'il ne peut en supporter. Par contre, demander aux opérateurs de transports et à la RATP pour Paris des conditions de transport améliorées est une necéssité évidente. Pour être provocateur et sous prétexte de ne pas faire de Paris une ville musée, souhaitons nous en faire une ville comme Los Angeles ou Mexico traversée par des autoroutes urbaines ?

Écrit par : Didier | dimanche, 12 novembre 2006

Didier,
je pense que la mairie est allé trop loin dans sa "guerre" contre la voiture. La fermeture de la porte de Vanves, la fermeture de la tombe issoire, des quartiers verts et des quartiers tranquiles ... transforment la ville en effet en musée et a pour conséquence des concentrer les flux sur les quelques axes qui servent de rocades ou de pénétrantes. Il est facile de comprendre que si demain la voie G. Pompidou est fermée, le flux global va peut-être se réduire de 20 %, mais sur les quais la circulation va progresser et la fludité disparaitra donc des bouchons et encore plus de 2 roues motorisés et in fine de pollution ... Avoir mis l'accent sur le bus est une erreur car les usagers des bus ne sont pas ceux du métro ou de la voiture. Aujourd'hui il faut arrêter l'asphysie, et en priorité mettre le paquet sur le métro et autres moyens de transports rapides. Mais n'est-il pas trop tard ? en attendant, il faut certainement réouvrir des axes de circulation automobile recemment fermés, fluidifier des carrefours ...pour soulager par exemple l'av. du Gl Leclerc, mais faire ça, c'est reconnaitre ses erreurs, et il ne faut pas trop demander à l'amour propre de quelques uns.

Écrit par : Hervé | dimanche, 12 novembre 2006

Bah ça circulait pas trop mal pour le bus, non ? pour la voiture de police non plus... En revanche une vraie galère pour ceux étant en voiture.

Etant donné que la vidéo est du vendredi 10/11 je ne sais pas si elle a été tourné le mercredi ou le jeudi, toujours est il que jeudi fut une journée d'un noir profond, partout dans Paris et en particulier dans l'arrondissement. La grève de la SNCF n'y était pas pour rien (mardi 20h à jeudi 8h) . En revanche on peut encore se poser la question pourquoi il y avait grève....

Écrit par : Pascal I. | lundi, 13 novembre 2006

Nico, vous écrivez "Quand je vois les enjeux, je suis scandalisé par la promotion des déplacements en vélo, l’apologie des « petits gestes qui ne sont pas si petits quand on est nombreux à les faire »... En ajoutant "ok, faisons des petits gestes. Mais qui lutte contre les industriels de l'emballage, du recyclage, de l'automobile, des énergies fossiles ?"

Je vais vous répondre: VOUS et MOI, NOUS tous, lecteurs de ce blog et tous les autres citoyens...

Parce qu'à de rares exceptions près, le citoyen a le contrôle quasi intégral de toutes les sources de consommation de pétrole et autres formes d'énergie: vos vêtements, votre nourriture, vos produits d'entretien, votre papier, les transports en commun, l'eau que vous buvez ou qui arrive à la poire de votre douche, votre matériel électronique... mais aussi toutes les sources de loisirs, de la piscine chlorée à la formule 1, des fitness club sur-climatisés et ventilés aux grands magasins illuminés (vive les périodes de fête, n'est ce pas?)... tout ceci dépend entièrement de :

1. Nos choix
2. Nos exigences de qualité et de quantité
3. Notre paresse (explosion du nombre de livraisons)
4. Notre impatience (des livraisons toujours plus rapides, des surstocks pour éviter la rupture de stock...)
5. Notre ennui (vive les fruits, les meubles et les bois exotiques histoire de changer un peu)
6. Notre indépendance (chacun doit avoir "le sien")
7. Notre amnésie (on vote pour celui qui a pollué notre rivière en toute connaissance de cause)
8. Et notre volonté, tiraillée entre notre éthique environnementale, sociales et économique face à des milliers de produits parfois bien tentants juste sous nos yeux...

Et oui, c'est trop facile d'accuser les autres, ces gros industriels qui s'en mettent plein les poches et ces politiciens corrompus... parce qu'au fond, ils ne font que tirer partie de nos choix...

Écrit par : Angelie (blog) | mercredi, 15 novembre 2006

A l'initiative des verts, le conseil de Paris vient de décider de supprimer la qualification "axe rouge", décision dont la seule conséquence concrète sera la suppression des petits bandeaux rouges sur les feux...
Un premier pas politique qui en amènera d'autres?

Écrit par : Solal | jeudi, 16 novembre 2006

Non non non non non non non et non !

Angélie !

Ce qui est trop facile c'est de faire des choix passéistes sous prétexte que le progrès nuit à l'environnement.

Et la locomotion non polluante, c'est un rève innaccessible ?

A part le vélo bien entendu !

Vouloir faire revenir les gens en arrière, c'est un voeux pieux, une lubie de parisienne qui voit midi à sa porte (d'Orléans !).

Par contre prendre ce qu'il y a de bien dans la voiture, et l'adapter pour que ça soit écolo, ça, amha, c'est l'avenir de l'humanité.

Vous croyez sérieusement que tout le monde habite dans le 14ème ou quoi ?

Vous croyez que Paris ne sert qu'aux pariso-parisiens, c'est ça ?

Allez habiter un an en banlieue, ou à la campagne, ou dans une autre ville, et on en reparle.

Écrit par : Nico | jeudi, 16 novembre 2006

Franchement Nico, je ne vous comprends pas. En matière d'environnement se cachent quasiment dans tous les domaines des technologies ultra modernes, des innovations, des nouveaux matériaux... une capacité de revisiter notre société sous un angle totalement nouveau, grâce au moteur qu'est l'environnement!!! Des bateaux solaires sur la Tamise en passant par la prius, des bétons ultra résistants aux fibres optiques pour limiter l'usage de lumière artificielle... des nouvelles technologies, je vous en cite à la pelleté.

C'est justement parce qu'elles sont encore trop modernes que les gens les boudent. Parce que, justement, ils refusent le progrès en s'enfermant dans leur petit cocon douillet, un petit musée des souvenirs où strictement rien ne doit être changé...

Quels sont donc ces choix que vous qualifiez de "passéistes"? Refuser d'acheter 36 bouteilles et opter pour des recharges? Préférer la conserve sans arôme artificiel ou colorant? Ne pas imprimer 3 lignes d'email? Là encore, ces petits gestes de rien représentent en fait des milliards d'euros... Rien que dans les entreprises françaises, il a été montré que plus de 400 millions d’euros par an étaient dépensés en impressions inutiles, correspondant à gâcher l’équivalent de près de 1,2 million d’arbres!!! Vous trouvez que ce n'est rien??? Et qui imprime, dites moi? Un robot? Ou bien des individus comme le citoyen lambda?

Et là encore, y'a que les parigos en ligne de mire, vous allez me sortir??? Les choix dans le magasin, dans la rue, au travail, c'est juste bon pour les citadins? Il est très loin le temps où l'amoureux de sa terre au fin fond de la campagne était l'exemple à suivre. Aujourd'hui, les agriculteurs sensés et intelligents dans l'usage qu'ils font des pesticides (par exemple) restent trop souvent minoritaires et doivent faire douloureusement front à leurs collègues.

Vous me prenez peut-être pour une petite citadine naïve qui ne met jamais les pieds en dehors de Paris mais il se pourrait que je connaisse mieux les problématiques rurales que vous... Je travaille aussi bien auprès de toutes petites collectivités de moins de 1000 habitants que des grandes villes de France. C'est ce qui rend le travail si riche car les problématiques et les enjeux sont radicalement différents. Donc, désolée, mais vos commentaires sur les parisiens reflètent une méconnaissance profonde qui n'a sans doute égal que votre fermeture d'esprit...

"Allez habiter un an en banlieue, ou à la campagne, ou dans une autre ville, et on en reparle", dites vous.

OK, j'ai vécu à Paris, à Montpellier et dans une petite bourgade en Provence, 1 an en plein milieu de la campagne anglaise, 2 ans à Londres et 7 mois à Aix-la-Chapelle en Allemagne et j'ai passé une grande partie de mon enfance en Asie. Ca vous ira comme expérience dans le genre "je-suis-sortie-de-ma-grande-ville"???

Et vous alors, quelle est votre expérience pour justifier de tels préjugés?

Écrit par : Angelie | jeudi, 16 novembre 2006

En fait, j'ai jamais vécu ailleurs qu'en banlieue proche, à Montrouge exactement...

Pas d'attaques personnelles, juste je voulais savoir en quoi :

- les baupinades font-elles baisser la pollution atmosphérique ?

- le pdg et les actionnaires de Total sont-ils menacés dans leur bizness par les propositions des Verts ou d'Hulot (et je ne parle même pas des autres politiques) ?

Vraiment désolé si vous l'avez pris pour vous.

Pour ce qui est des petits gestes, je ne nie pas qu'ils soient importants, comme l'éducation l'est en général. Je dis juste qu'il ne faudrait peut-être pas oublier les grands gestes.

Qu'ont fait au juste Baupin et Voynet contre les lobbys pollueurs lorsqu'ils étaient aux affaires ?

Pourquoi, en matière de déplacement individuel, l'aternative au moteur à explosion doit-il être la bicyclette ?

En quoi l'élargissment du trottoir devant le tabac du Parc Montsouris réduit-il l'émission de GES ?

Je n'ai pas de voiture, ni de scooter, je roule en métro ou en vélo, et je ne suis pas de droite, mais je ne comprends sincèrement pas la politique Baupin-Delanoë, expliquez moi SVP !

Écrit par : Nico | vendredi, 17 novembre 2006

"les petits gestes pour l'environnement" : j'adore ce concept.

Comment Al Gore est venu présenter son film sur l'effet de serre à PAris? Il est venu en pédalo de NY City?

Bien sûr que non, il a pris l'avion, qui est extrememet polluant... et peut-être bien plus que nos petits allers-et-retours en voiture... Il connait pas la vidéo-conférence?

Bref, une pléthore de gens (je n'inclus pas les contributeurs à ce blog!) nous demande de faire des efforts pour l'environnement et continuent à rouler en grosse cylindrée et à prendre l'avion.

Sans parler de l'Etat qui fait marcher des avions de chasse et des tanks, réputés pour leur caractère écologique et sobre, et qui annonce une fiscalité écologique, en pressant les citoyens de ne pas prendre leur voiture...

Écrit par : Solal | vendredi, 17 novembre 2006

Je remarque depuis qq semaines des embouteillages hénaurmes avenue du Gal Leclercl, le soir (18-21h30), direction Porte d'Orléans. La congestion s'étend du Bvd Raspail jusqu'à Porte d'Orléans (au moins).

Ainsi, hier soir mercredi 06/12, et pour la première fois, j'ai entendu des pompiers (ambulances? policiers?) demander le passage avec un porte-voix ! Hier soir, le 38 ne passait plus par Alésia et va directement à Porte d'Orléans...

Ces embouteillages sont-ils dus au tramway? Sont-ils transitoires? Vont-ils augmenter dès que le tram sera en fonction?

Écrit par : Solal | jeudi, 07 décembre 2006

Je ne sais pas à quoi ils sont dus, mais je suis bien content qu'il y en ait aussi sur Paris, parce qu'à Montrouge, ça deborde !

En banlieue, on a vraiment l'impression de devenir la poubelle des parisiens qui se la coulent douce dans leur quartiers verts pendant que nous on sest obligé de marcher à COTE DES BOUCHONS !

C'est dég.., voilà tout ce qu'il y a à dire.

J'espère qu'un jour les banlieusards vont venir vous faire manger vos vélos citoyens, vos conseils de quartiers, et vos appartements à 7000 €/ m² bande de sales égoïstes écolos, de gauchistes caviardés, de sarkozystes trouillards, et lepénistes embourgeoisés de parisiens de m... !

Écrit par : Nico | vendredi, 08 décembre 2006