Paris14.info

Avec le renouvellement des six Conseils de quartier du 14ème, se posait la question du devenir de l'observatoire de ces Conseils. A quoi servait cet observatoire, pour qui ou pour quoi fonctionnait-il ?

Certains y voyaient un KGB de proximité, d'autres une aide précieuse à la bonne tenue des Conseils de quartier et à la démocratie locale depuis six ans dans le 14ème. La Mairie centrale, elle, observe cette instance unique à Paris, et pourrait bien s'en inspirer pour les autres arrondissements.

Avec le récent renouvellement de la démocratie locale, le Président de l'observatoire Dominique Gentil, nommé par le Maire en 2002, vient d'annoncer son départ :

bonjour,
Contrairement à certains, je pense que c'est une bonne chose de relancer les conseils de quartier rapidement ; la plupart étaient en sommeil depuis décembre.

La Charte, telle qu'elle a été votée, avec les amendements in extremis de Frédéric Vuillod et de Marielle de Sarnez, est globalement satisfaisante, malgré certaines formulations inappropriées et le refus de modifier la composition de l'observatoire.

Malheureusement la procédure démarrée n'a pas été suivie jusqu'à son terme. Nous avons été consultés mais les élus ont décidé tout seuls, alors qu'il y avait une opportunité pour une réelle concertation. Cette confusion entre consultation et concertation, qui a marqué la vie des conseils de quartier depuis le départ, me semble une des causes essentielles de la baisse très importante des volontaires au tirage au sort :
plus de 1300 en 2002 ; 808 en 2004 ;   460 en 2008.

Par ailleurs, je reste persuadé que l'observatoire aurait eu un nouveau dynamisme s'il y avait 2 représentants par conseil et moins de "personnes qualifiées", nommées par le maire.

Pour ces différentes raisons et comme il est souhaitable d'avoir une rotation des responsabilités, j'ai remis au maire le 10 juin ma démission de membre et de président de l'observatoire.

Je tiens à remercier tous les membres actifs de notre petit groupe pour le travail effectué.
Cordialement.
Dominique Gentil

+ Le 14ème arrondissement est le seul à avoir créé un observatoire des Conseils de quartier, dont la plupart des membres sont nommés par le Maire d'arrondissement. Alors qu'en pensez-vous ? Est-ce une bonne chose pour aider la démocratie locale, ou bien une surveillance de proximité ?

Dan

...Il s'agissait donc de présenter un plan de prévention contre la drogue. La visite a donné lieu à des heurts entre la police et des adolescents. Pierre Castagnou, Maire du XIVe a dénoncé une "provocation du gouvernement". "L'opération du Premier ministre et des ministres de la Justice et de l'Education nationale (Xavier Darcos et Rachida Dati) a tourné au fiasco", a déclaré Pierre Castagnou dans un communiqué. Selon lui, "cette visite improvisée, inopportune et inconséquente, dont le maire du XIVe n'a pas été tenu informé par les autorités gouvernementales, ne pouvait que provoquer de tels incidents".

De son côté, Xavier Darcos estimait que "Nous sommes en République, nous sommes dans un établissement public. Le Premier ministre, la garde des Sceaux et le ministre de l'Education sont à leur place dans les établissements publics. Il n'y a aucune raison de trouver quelque chose de choquant".

Des commentaires ?

Pierre

Plus d'info :
+ Ici ou là.

Le cinéma « Le Denfert », situé au 24 place Denfert-Rochereau, est une des trois salles de cinéma indépendant du 14e arrondissement. Une vingtaine de films différents sont projetés chaque semaine sur son écran unique depuis 1930. Fréquenté par plus d’un millier de spectateurs par semaine, il a fidélisé un public diversifié, curieux et exigeant. La qualité de sa programmation, son ouverture sur le quartier avec l'accueil de nombreux scolaires ou de projections associatives, lui ont permis de s'imposer comme un pôle culturel essentiel du 14e arrondissement, rayonnant sur toute la capitale. La Ville de Paris, ainsi que le Centre Nationale du Cinéma, subventionnent ses activités. Ce cinéma est classé « Art et Essai ».

Récemment une promesse de vente a été signée sur les parcelles du 22-24 place Denfert-Rochereau. Le cinéma « Le Denfert », un restaurant et un hôtel de tourisme sont concernés. La signature de la vente pourrait intervenir vers la fin du mois de juin. Les volontés de l'acquéreur ne sont pas connues, mais on peut s'attendre au mieux à une importante augmentation du loyer du cinéma, rendant sa viabilité difficile, ou au pire à son éviction et la réalisation d'une opération de promotion immobilière. Malgré sa faible hauteur, ce site n'avait fait l'objet d'aucune protection particulière lors de l'adoption du Plan Local d'Urbanisme (PLU).

Une pétition a été lancée. Elle a déjà recueilli plus de 1700 signatures. Vous pouvez vous procurer son texte ci-dessous ou passer la signer sur place. La seule solution pour sauver « Le Denfert » est que la ville de Paris se porte acquéreur du cinéma en exerçant au plus vite son droit de préemption. Au conseil de Paris de lundi et mardi prochain, les groupes Socialiste et Vert ont déposé une demande de rachat du cinéma. Le Maire de Paris viendra t-il sauver des griffes du promoteur, notre cinéma de quartier ? Réponse mardi dans la journée. (vous pouvez suivre les débats du conseil de Paris sur http://www.paris.fr/.)

René

+ Pour signer la pétition, il suffit de cliquer sur soutien.doc, et de la renvoyer au CINEMA LE DENFERT : 24,  place Denfert Rochereau 75014 Paris .

Pierre Castagnou,maire du XIVe arrondissement, a été réélu à la tête de la RIVP, la plus grand société d'économie mixte immobilière locale de France.

Pierre Castagnou a confirmé "la poursuite de l'opération vérité engagée par la RIVP pour mettre fin aux situations illégales ou abusives constatées au sein de son parc de logements, opération conduite dans un triple souci de transparence, d'équité et de respect du droit". L'occasion pour le Maire du XIVe de faire un audit au sein de sa propre équipe ?

Pierre

Plus d'info :
+ La Ville de Paris est devenue en janvier 2007 actionnaire majoritaire de la RIVP, une des grandes sociétés HLM de Paris, qui gère 51.000 logements. Le conseil d'administration a été renouvelé à l'issue des dernières municipales.

Le Conseil d'arrondissement de ce soir proposera notamment à l’ordre du jour (téléchargeable au complet en cliquant ici) :

- l’attribution de subventions à des associations sportives, culturelles et sociales ;
- l'attribution à la SIEMP de la réalisation de 23 logements sociaux au 105 rue Raymond Losserand ;
- la création du jardin partagé de la rue Coulmiers ;
- un vœu concernant l’entretien du Foyer des Arbustes, qui accueille des travailleurs migrants ;
- un vœu en faveur du droit de vote des étrangers non communautaires aux élections municipales.

A noter ce soir une forte teneur sociale dans les délibérations et les voeux. On remarquera également une subvention bienvenue accordée au cinéma "Le Denfert", qui s'inquiète de son avenir : son immeuble changera de propriétaire en juin 2008, et il craint l'opération immobilière.

On ne peut également que se réjouir de la création du nouveau jardin partagé sur la rue de Coulmiers, dans une parcelle vouée depuis longtemps aux riverains, bloqué par la SNCF, jardin pour lequel les discussions n'ont pas été faciles bien qu'il fût longtemps un jardin pour cheminots (voir article ci-dessous). Une belle réussite pour le Conseil de quartier Jean Moulin*, cela augurerait-il de la réussite concernant la préservation de la petite gare de Montrouge comme de la future coulée verte qui passent au même endroit ?

Dan

+ d'info : * Ce Conseil de quartier avait porté la demande et suivi les négociations pour l'ouverture du jardin partagé Coulmiers depuis 2005, négociations menées à l'époque par René Dutrey et Célia Blauel face à la SNCF et à RFF. On se souviendra aussi d'une "invasion" menée par les riverains à l'été 2007 pour aller planter sur cette parcelle, et encourager une issue favorable au dialogue "difficile".

+ Portez-vous bénévoles pour rentrer dans les Conseils de quartier, le tirage au sort est prévu le 6 juin dans la salle des mariages à 19h.

+ Malheureusement sur le site de la Mairie du 14ème, l'inscription en ligne pour se porter candidat n'a pas l'air valorisante pour celui-ci - en voici une copie d'écran :

Elle a fait l’unanimité au dernier conseil d’arrondissement le 14 avril dernier, puis au conseil de Paris la semaine suivante. L’unanimité pour dénoncer ses vices et ses travers, son engorgement désormais quotidiennement inéluctable, son record de pollution parisienne, son bruit et sa dangerosité. L’unanimité pour demander au préfet de police de lever le veto de ses prédécesseurs pour étudier son réaménagement, ce qu’il a accepté.

Elle, c’est l’Avenue du Général Leclerc, qu’on souhaite transformer d’ici à 2010-2012. Mais cette belle unanimité pourrait ne pas durer car cette future avenue va être soumise à de nombreux enjeux.

D’abord, l’œil du préfet, qui après la fin du chantier du tramway, veut bien discuter mais devrait être attentif à la « fluidité » de l’axe, puisqu’il sert notamment aux convois officiels vers Orly et aux convois de détenus vers Fresnes.

Ensuite des contraintes techniques fortes, un réaménagement ne pouvant se concevoir sans envisager dans le même temps la place d’Alésia et la porte d’Orléans, sans envisager non plus la ligne 4 qui se trouve à fleur de bitume et empêche toute solution souterraine.

Enfin, une concertation avec un nombre impressionnant d’acteurs :

- Les riverains directs qui souhaitent naturellement voir s’atténuer les nuisances mais voir aussi prendre en compte des soucis de propreté et d’esthétisme ainsi que de menus aménagements suspendus de longues années en attente de la refonte globale.

- Les autres habitants du 14ème, qu’une modification en profondeur pourrait affecter (les modifications sur l’avenue du Maine, la rue de la Tombe Issoire ou la rue du Professeur Hyacinthe Vincent et les reports de trafic correspondants avaient contribué lors de la précédente mandature à l’engorgement de l’avenue).

- Les commerçants qu’une attractivité renouvelée pourrait intéresser mais qui seront attentifs à l’accessibilité de leurs enseignes.

- La RATP puisque le prolongement de la ligne 4 et les éventuelles améliorations de passage des bus pourraient contribuer au sujet.

- Les communes environnantes, notamment Montrouge impliqué au premier plan avec le début de la RN20 en prolongement de l’avenue, suite à la prise de conscience politique de la nécessité d’une meilleure collaboration avec nos voisins d’au-delà du périphérique.

Bref du travail et des débats en perspective pour tous, élus, conseils de quartier, commerçants, riverains, associations et services techniques divers.

Nicolas Mansier

La journée de la démocratie locale, de la vie associative et de la Citoyenneté, sera organisée par la municipalité du 14ème le samedi 24 mai de 10h à 18h00. Nous vous transmettons le programme officiel :

10h : Accueil et café en Mairie annexe (salle des fêtes)
10h30 : Ouverture des Etats généraux en Mairie annexe. Introduction par Pierre Castagnou, maire du 14e arrondissement, et par Frédéric Vuillod, conseiller délégué à la Démocratie locale, à la Vie associative et à l’Economie sociale et solidaire.

11h à 12h30 : Table ronde en Mairie annexe (salle des fêtes)

(1) Les Conseils de quartier 7 ans plus tard :
- Ciné-club, jardins partagés, aménagements de voirie, communication…
- Bilan des actions réalisées par les six Conseils du 14e.
- Témoignage des anciens membres et anciens présidents des Conseils.

12h30 à 14h : Pique-nique participatif, en musique sur le parvis et parc de la Mairie. Apportez de quoi pique-niquer, tout le monde partage !

14h à 15h30 : Tables rondes à la Maison des associations

(2) La vie associative : quelle place dans la démocratie locale ?
- Les associations actrices et animatrices de la vie locale.
- Comment se faire entendre, valoriser l’implication des bénévoles, travailler en réseau ?
- Impulser une nouvelle dynamique pour le CICA.

(3) Comment améliorer le fonctionnement des Conseils de quartier ?
- Elargir la participation des habitants et l’audience des Conseils.
- Renouveler les membres, transmettre les acquis.
- Redéfinir la place des élus et des acteurs socio-économiques.
- Rénover la charte des Conseils de quartier ; témoignages de l’Observatoire.
- Redéfinir l’utilisation du budget des Conseils de quartier

(4) La place et la parole des jeunes et des enfants dans le 14ème
- Dessine-moi un Conseil des enfants.
- Un Conseil de la jeunesse, pour quoi faire ?
- Les Antennes Jeunes et les centres d’animation dans la démocratie locale.

15h30 à 17h00 : Table ronde en Mairie, salle des mariages

(5) La démocratie participative : de nouveaux outils en 2008
- Les outils d’expression directe : référendum local, droit de pétition, suivi des vœux des Conseils de quartier, diagnostic des besoins des habitants
- Les nouvelles instances de participation : le Conseil local d’animation, les comités de concertation des usagers, Conseils de quartier et autres.

17h00 à 17h30 : Clôture des Etats généraux en Mairie, salle des mariages, par Frédéric Vuillod, conseiller délégué, Pierre Castagnou, maire du 14e, et Hamou Bouakkaz, adjoint au maire de Paris à la Démocratie locale et à la Vie associative.

17h30 : Cocktail de clôture

La Mairie du 14ème proposera de modifier la charte des Conseils de quartier, instances citoyennes de débats et de consultations, lors de "la journée de la démocratie locale" le samedi 24 mai.

On résumera ici les principes qui ancrent ces instances dans la démocratie participative, inscrits dans la charte établie en 2002 puis révisée en 2005 pour ce qui concerne le 14ème arrondissement :
• La majorité des membres sont des habitants tirés au sort (au nombre de 16).
• Le Président est un habitant - et non pas un élu comme dans 17 arrondissements parisiens sur 20. L’ordre du jour n'y est pas dicté.
• Les Conseillers de quartier sont installés pour trois ans, avec un renouvellement de 50% tous les trois ans pour y assurer une bonne continuité, et un maximum de 2 mandats successifs.
• Il est possible d'y faire voter un vœu par trimestre, en direction du Maire.

Après des débuts délicats, les vœux ont proliféré à partir de 2005, les actions se sont multipliées un peu partout (citoyennes et concertées), et des délégations comme la voirie, les transports, la propreté, les espaces verts, le logement, l'action sociale, la prévention, ou la culture se sont vues investies de demandes, de sollicitations, de débats et de projets en provenance des habitants, par l'entremise des Conseils de quartier. Les habitants sont-ils devenus trop influents pour la démocratie représentative (celle des élus) ou bien utiles ? Les débats publics sont-ils embarassants ou à l'inverse appréciés par la municipalité ? Les voeux des Conseils de quartier vont-ils ou non se concrétiser ?

Le Maire, Pierre Castagnou, instigateur de la charte

Tous ces voeux, Pierre Castagnou s’en est pour le moins fortement inspiré dans son programme établi pour les élections municipales (Avenue du Gal Leclerc, petite gare de Montrouge, etc...) : chaque habitant un tantinet engagé y a retrouvé certaines des demandes ou revendications votées publiquement dans son Conseil de quartier. Le Maire a donc récolté les fruits de la démocratie locale, semée libre et indépendante, ce qui est osé et risqué politiquement, mais cela a bien fonctionné, la preuve en est sa forte réélection avec 57% des voix.

Souhaite-t-il continuer cet exercice durant sa seconde mandature ? Pourquoi l'élu en charge de la démocratie locale n'est-il plus un Adjoint au Maire, mais un simple Conseiller municipal ? Pourquoi une journée de "la démocratie locale" pour une ré-installation solennelle des six Conseils alors que ceux-ci fonctionnaient, et avaient acquis leur six différentes vitesses de croisière, avec des thématiques spécifiques à chaque quartier (signifiant la juste mesure trouvée) ? Est-ce un changement de politique municipale (9 à 12 mois sans Conseils de quartier tout de même...), ou une simple modification de quelques détails dans la charte des Conseils ? La question peut se poser, elle se posera donc dans les débats du samedi 24 mai. Il sera bon d'y impliquer le plus grand nombre d'habitants, justement parce qu'ils sont devenus influents... et indispensables.

Dan

Le 24 mai, aura lieu à la Mairie du 14ème la journée de la démocratie locale. Des présentations, des expositions, des ateliers, une incitation à investir les bonnes volontés dans l’action associative, citoyenne, bref dans la vie de l’arrondissement. Les six Conseils de quartier, par exemple, vont être renouvelés.

Que sont devenus les Conseils de quartier du 14ème ? Eteints à la fin du dernier trimestre 2007, ils ont disparu du fait des élections municipales. Pourtant, ces lieux de consultation, instances issues certes du Conseil d’arrondissement par la charte qui les gouverne, sont apolitiques. Menés par des habitants tirés au sort et des membres d’associations locales, les six Conseils ne demandaient pourtant pas mieux que de continuer leur travail, commencé laborieusement en 2002, puis qui avait pris un certain élan depuis deux - trois ans.

Les Conseils de quartier attendront donc la fameuse "journée de la démocratie locale" pour renaître : tirage au sort des habitants en juin, installation en septembre, premiers débats sur les enjeux réels en… décembre 2008. Un an de calme ! La journée de la démocratie locale sera ainsi le moment de la refonte de leur charte. Là se situe l’enjeu de cette journée : quelle influence laisser aux six Conseils de quartier pour le temps de la prochaine mandature municipale ? Ont-ils été trop pesants sur l’exécutif précédent ? Sont-ils menaçants pour l’avenir ? Une question... politique.

Dan

C'est une constatation sur plusieurs écoles de l'arrondissement : à l'heure de la cantine, il y a un problème de surveillance. Et pour cause : certains animateurs ne viennent plus.

Vérification faite sur le site de la Ville de Paris : on recrute ! Une vacation de 2 heures est rémunérée 20,32 euros en brut (40% de moins en moyenne qu'une aide ménagère). Heureusement, il en reste encore un peu - mais une directrice d'établissement de l'arrondissement aurait menacé, selon nos informations, de fermer la cantine si la surveillance n'y était pas assurée... Est-ce la bonne solution ?

Environ 85 % des enfants scolarisés dans le 14ème déjeunent chaque jour à la cantine - déjeuner de bonne qualité, dont les efforts sur ce plan (qualité des produits, augmentation du bio, repas adaptés aux enfants,...) ont été constatés. Alors pourquoi gâcher un beau travail - local - par de la médiocrité - départementale ?

L'Adjoint de Bertrand Delanoë aux affaires scolaires, Pascal Cherki, élu du 14ème, devrait nous répondre prochainement sur ce sujet précis, réponse que nous ne manqueront pas de vous transmettre. En attendant, vous êtes sur un blog, vous pouvez vous exprimer.

Dan