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lundi, 28 juillet 2008

Travaux rue d'Alésia et avenue René Coty

En 2007, M. Castagnou avait promis qu'il n'y aurait plus de nouveaux travaux de voirie jusqu'aux municipales. Celles-ci gagnées, les travaux ont repris et notamment avec des travaux de voirie très importants rue d'Alésia et avenue René Coty.

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Voici les informations que donne le Conseil de Quartier Porte d'Orléans - Jean-Moulin (http://jmpo14.blogspot.com).

"La tranquillité de certaines petites rues du quartier risque d'être perturbée jusque début septembre par les déviations de circulation et la neutralisation du stationnement. A compter du 15 juillet et jusqu'au 15 septembre, la portion de la rue d'Alésia entre la place Victor Basch et l'avenue René Coty sera mise en sens unique en raison de travaux de réfection de la chaussée.  Impact prévu par les services de la voirie:

- Mise en sens unique de la rue d'Alésia avec déviation de la ligne de bus 62 et déviation de la circuation générale par l'avenue du Général Leclerc.

- Mise en impasse et en double sens de circulation de ces rues: Couche, du Loing, Marguerin, Montrbun, de la Saône.

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Du 21 juillet au 4 août, en raison de la réfection de la chaussée de l'avenue René Coty, neutralisation du stationnement et barrage de la circulation de l'avenue René Coty dans le sens Sud - Nord, avec déviation des lignes de bus 88, 216 et 283."

On ne pourra que se féliciter que ces travaux soient réalisés pendant la période d'été, la moins chargée en circulation. Concernant la rue d'Alésia, rappelons que des travaux avaient déjà été réalisés l'été 2006 pour transformer la ligne 62 en Mobilien. 2 ans plus tard, on recasse tout pour refaire la chaussée et selon d'autres sources, rétrécir un peu les trottoirs alors que ceux-ci avaient été élargis en 2006. Encore un exemple de planification réussie et certainement de gâchis d'argent public en ce qui concerne la rue d'Alésia. Espérons enfin que ces travaux d'été ne soient pas le prélude à des nouveaux aménagements surprise anti-automobile.

Laurent Duffault

mercredi, 09 mai 2007

Des stations vélib' dans le 14ème

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Paris se prépare à accueillir l'arrivée de 14.000 vélos cet été et permettre ainsi aux usagers d'emprunter un vélo en libre service 24h/24, 7j/7. Il y a quelques mois, en effet, l'entreprise JC Decaux avait remporté l'appel d'offre lancé par la mairie de Paris pour l'installation de 1000 stations de vélo (dans un premier temps) sur le modèle du système mis en place à Lyon (lire l'article "Roulez propre... roulez Decaux").

Voilà donc une mesure qui incitera chacun à rouler à vélo: plus de problème de parking, de vol et adieu la pollution. Bientôt, vous pourrez donc louer un vélo dans la station de votre choix et le ramener dans n'importe quelle station, sans limite de temps ou de kilométrage... L'abonnement annuel coûtera 29 € (et 150 € de dépôt de garantie non encaissé) et donnera droit à un nombre illimité de trajets pendant un an... sachant que les 30 premières minutes de chaque trajet sont gratuites (comptez ensuite 1 € par demi-heure).

Des abonnements temporaires seront également disponibles sous forme de tickets valables 1 jour et 7 jours. Notez cependant que les enfants de moins de 14 ans ne seront pas autorisés à utiliser le service Vélib’.

La construction de ces 1000 stations a donc déjà démarré. Dans le 14ème, le programme des chantiers est le suivant:
  • Raspail Quinet, face 2 bld Edgard Quinet, du 2 mai au 1er juin
  • Liard Amiral Mouchez, 1 rue Liard, du 2 mai au 1er juin
  • Porte de Montrouge, (à confirmer), du 2 mai au 1er juin
  • Didot Château, 11 rue Didot, du 9 mai au 8 juin
  • Rue de l'Ouest Château, 48 rue de l'Ouest, du 9 mai au 8 juin
  • Port Royal Cochin, 97 Bd. Port Royal, du 14 mai au 15 juin
  • Cité Universitaire, face 15  Bd. Jourdan, du 14 mai au 15 juin
  • Plantes Moulin Vert, 23 rue des Plantes, du 14 mai au 15 juin
  • Plaisance Alésia, 164 rue Alésia, du 14 mai au 15 juin

La réalisation de ces stations nécessite la neutralisation provisoire du stationnement pendant la durée des travaux.

Reste que sur les 1000 stations prévues, ces 9 chantiers ne pèsent pas bien lourds... or, JC Decaux se doit d'honorer son contrat sous peine d'amendes excessivement lourdes. Pour la petite histoire, l'appel d'offre remporté a connu quelques rebondissements, le concurrent de Decaux, Clear Channel, ayant obtenu de toucher des dédommagements en cas de non respect du planning annoncé par Decaux en un temps aussi record. Il faut bien reconnaitre que produire 14.000 vélos et implanter 1000 stations dans Paris en moins de 6 mois serait un tour de force... qui risque d'être honoré au détriment de l'intérêt des citoyens, notamment sur les choix de l'emplacement des stations...

Pour tout savoir sur la mise en place du dispositif, je vous invite à consultez le site officiel de Vélib'

 

Angélie 

mardi, 07 novembre 2006

Scoot toujours !

Passez devant la gare Montparnasse, coté boulevard de Vaugirard (15ème), pour aller contempler le parking géant sur le terre plein central avec le millier de scooters et motos attendant leur cavalier(e) le temps d’un voyage en train… Il faut constater l’augmentation massive des 2 roues motorisées dans Paris, commencée depuis quelques années, mais maintenant à un point tel que toute nouvelle aire de stationnement moto est vouée à la saturation dans les 6 mois qui suivent son installation, où que ce soit dans Paris. Y voit-on la nécessité de se déplacer plus efficacement, ou est-ce tout simplement une mode ? Serait-ce là une conséquence de la politique des transports menée spécifiquement dans la capitale ?

Le motobiliste est en voie d’apparition : quittant son automobile à 4 roues, large, lourde, polluante et ingérable en ville, il s’en va acheter un scooter de 125 cm3, utilisant comme la loi le lui autorise son permis B de plus de deux ans. Et la ville lui souhaite la bienvenue : plus aucun problème pour se garer, les bouchons se dépassent, le confort reste, le temps de trajet diminue, c’est l’indépendance avec une gestion confortable du temps, où le transport s’efface et donc devient efficace.

Pourtant, constat est fait que la municipalité a misé et continue de favoriser les transports dits doux, donc non polluants, avec pour porte-drapeau le vélo. Les investissements pour encourager les cyclistes sont nombreux, et continuent encore d’être programmés (piste Seine-Cité U). Il y a eu et il y a encore une augmentation régulière du nombre de cyclistes dans Paris depuis 2001. Cependant, pour les scooters, l’augmentation est exponentielle : donc vélos et motos ne ciblent pas la même catégorie de la population. Population active, ou ceux qui habitent loin de leur lieu de travail (transports en commun déficients), ou encore ceux qui rencontrent des problèmes pour se garer dans Paris, sont forcément attirés par ces fameuses petites motos.

La municipalité parisienne n’avait sans doute pas l’intention d’encourager ce phénomène ; il est, il faut l’avouer, commun à de nombreuses villes et capitales à travers le monde, comme toujours dans les villes où l’esprit latin prédomine (Rome, Barcelone, Madrid, Milan, etc…), mais également désormais dans des villes réputées pour leur « écologie » (Lausanne, Zurich, Berlin,…). Finalement, ce phénomène n’apparaît pas aussi gênant que celui de l’augmentation de l’automobile : plus étroits, légers, vifs, les 2 roues n’empiètent véritablement sur la voie publique que lorsqu’ils ne roulent pas ; plus de deux roues = moins de voitures ; et la création de zones de stationnement est un prétexte à la disparition progressive des places de stationnement de voitures en surface… Rappelons ici que garer un deux roues sur un trottoir est interdit par le code de la route, et passible d’une amende de seconde classe (35 €), voir enlèvement à la fourrière (110 €).

Quel est alors l’effet sur la pollution à Paris ? Ces petits engins ont mauvaise presse en la matière : on se souvient des mobylettes à moteur 2 temps, roulant au mélange huile/essence et crachant une fumée bleue dans un bruit d’enfer… La communauté européenne a décidé il y a quelques années, de faire appliquer des normes anti-pollution aux moteurs de ces petites motos. Equipés d’un pot catalytique et d’un moteur à 4 temps, les deux roues vendus actuellement sur le marché ne polluent pas différemment des voitures (norme euro 2), sauf qu’ils consomment moins (pour les 125 : 4,5 litres aux 100 km en ville) et qu'ils ne tournent pas une demi heure pour se garer. Dans un proche avenir, la norme euro 3 sera généralisée et obligera les constructeurs à dépolluer encore plus, norme déjà respectée par une marque japonaise : Honda. Peugeot, quand à lui, propose depuis deux ans une version électrique, totalement silencieuse. Piaggio, leader sur le marché, travaille sur une motorisation hybride (125cm3 + électrique).

On ne sait si l’avenir retiendra le scooter urbain comme mode privilégié de locomotion, mais c’est maintenant et au présent une réponse de fait et constatée ; aucun homme politique parisien n'oserait le contredire, ni n'ose l'avouer d'ailleurs. Denis Baupin qui n'aime guère les scooters les préfère encore aux voitures, espace public libéré oblige. Alors que sera l'avenir pour la politique des transports : sera-t-elle influencée par ce phénomène qui prend une ampleur déroutante, ou continuera-t-on à écarter ce phénomène gênant des débats sur les déplacements, sauf bien sûr pour dénoncer "l'incivisme de certains qui se garent n'importe où sur les trottoirs" ?

 Dan

Plus d'info :
+ Une nouvelle boutique spécialisée Piaggio-Gilera-Vespa vient d'ouvrir 204 avenue du Maine (voir le plan du quartier et une photo aérienne) : la Clinique du scooter. Gabriel Krief, le jeune entrepreneur, outre un accueil très sympa - y assure service rapide, vente, entretien et pneu minute ! C'est ouvert du lundi au samedi de 9h à 20h non-stop... Les anciens clients d'Avenir scooter (porte d'Orléans) qui s'était trouvés fort dépourvus à la fermeture de la boutique savent désormais où se rendre en cas de problème ou tout simplement pour faire entretenir leur petite merveille...

jeudi, 21 septembre 2006

Circulation automobile (suite)

...Le débat sur la place de l'automobile dans une grande ville comme Paris continue à être très animé et de plus en plus documenté... Il faut dire que nous sommes en pleine actualité.

 Ainsi, une dépêche AFP nous apprenait que le weekend dernier la ville de Stockholm avait adopté un péage urbain pour limiter la circulation automobile. Cas isolé ? Londres a ouvert la voie. Depuis février 2003, une "taxe d'embouteillage" a été mise en place. D'un montant de 8 livres (près de 12 €), elle doit actuellement être payée par tous les Londoniens qui circulent dans le centre-ville, soit environ 20 km2 autour de la City et de Westminster. L'opération étant aujourd'hui considérée comme ayant fait ses preuves, à partir de février 2007, la zone sera plus que doublée. Elle englobera les quartiers chics de Knightsbridge, Kensington et Chelsea - malgré l'opposition des Londoniens à cette extension, manifestée lors d'une consultation publique. Selon des chiffres fournis en septembre 2005 par la mairie de Londres, la taxe d'embouteillages a permis de réduire de 15% la circulation dans le centre de la capitale, soit 70.000 véhicules en moins par jour. Et les conducteurs passeraient un tiers de leur temps en moins dans les bouchons.

Autre exemple avec la ville-Etat de Singapour (4,3 millions d'habitants) : les automobilistes, taxis compris, y paient avec une carte rechargeable à chaque entrée dans des zones restreintes ou à chaque fois qu'ils empruntent les voies rapides. En période de pointe, l'accès au financial district revient dès lors à $1.6, soit plus que le métro.

Citons également le modèle romain, envisagé un temps à Paris... Ainsi, le centre historique de Rome est divisé en plusieurs zones interdites aux véhicules particuliers dépourvus d'un permis spécial. Ces permis sont valables soit pour une zone (A,B,C,D,E,F,G) soit pour tout le centre (X,T). Ils sont délivrés, en règle générale, soit aux habitants de ces zones, soit aux personnes y travaillant. Le prix maximum d'un permis spécial (X) permettant également de se garer, est d'environ 350€ par an.

D'autres métropoles réfléchissent à des solutions similaires. Milan souhaite instaurer à partir de 2007 un péage pour les voitures des non-résidents afin de diminuer la pollution. Outre Atlantique, la ville de San-Francisco (California - USA), étudie la faisabilité d'un péage urbain aux heures de pointe, comparable à celui de Londres. Cette étude ne devrait pas aboutir avant 2008.

Autant de solutions qui ne font bien entendu pas l'unanimité. A Paris, la diminution de l'espace dévolu à l'automobile se heurte en outre à l'absence de mesures d'accompagnement et d'une offre alternative crédible de transports en commun supplémentaires - notamment à l'échelle francilienne. Toute fermeture de voirie est donc l'occasion d'une nouvelle levée de boucliers comme en témoigne l'appel (*) du Collectif contre la fermeture de la Porte de Vanves - collectif dont on peut légitimement penser qu'il milite pour le droit le plus ouvert en matière de circulation automobile bien qu'il soit favorable à la couverture du périphérique...

L'occasion pour Paris14.info de consulter ses lecteurs en leur proposant un nouveau sondage express directement inspiré de celui qui l'a précédé et dont nous vous livrons pour mémoire les derniers résultats...

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Les 220 lecteurs ayant répondu à ce sondage express jugeant très largement inefficaces les mesures anti-pollution mises en oeuvre, et l'usage de l'automobile étant l'un des facteurs reconnu de pollution atmosphérique, abordons la question suivante : quelles solutions pour limiter l'utilisation de la voiture ? Faut-il contraindre, éduquer, inciter, laisse-faire, taxer... Vous souhaitez vous exprimer, commencez par un petit clic dans notre colonne de gauche... Et si vous souhaitez expliciter votre choix, vous avez la parole via notre lien "commentaires" ci-après.

Pierre

(*) Les habitants du 14ème et 15ème arrondissement de Paris ainsi que les habitants de Vanves membres du collectif contre la fermeture définitive de la porte de Vanves appellent à une grande manifestation le mercredi 27 Septembre 2006 à partir de 19H00 contre la fermeture définitive de la porte de Vanves et contre la politique dogmatique de la Mairie de Paris et du Conseil Régional. RDV Angle de l'Avenue de la Porte Brancion et le Boulevard Lefebvre (devant la station service) pour une marche jusqu'à la porte de Vanves.

Plus d'info :
+ Nos rubriques Circulation & Transports en commun.

lundi, 18 septembre 2006

Vérités et mensonges circulatoires... by Morgand

Nous recevons ce message - très remonté - de Morgand relatif à nos amis automobilistes... Alors, minorité libertaire et inconscientes ou habitants piégés par leur travail ou mode de vie ? Le débat se poursuit...

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Vérités et mensonges circulatoires...

J'en ai absolument marre d'entendre les plaintes d'une minorité d'automobilistes - de cette minorité d’usagers, que sont déjà les automobilistes. Car 70 % des Parisiens et habitants de proche banlieue utilisent les transports en commun. Donc ce n'est pas de gauche ou de droite, mais depuis quand fait-on une politique pour moins de 15 % des gens ?

Les travaux, oui, c'est chiant c'est une évidence. Une grosse lapalissade. Mais certains ont la mémoire courte, par exemple rue Raymond Losserand. Rappelons nous  la demande incessante des vieux, des jeunes, des mères avec poussettes ou sans et des commerçants, pour avoir des trottoirs un peu plus larges.
<< Avant on ne passait pas. C'était la foire. Le bordel ! >>
Certains ont oublié que la majorité des parisiens veut respirer. Au propre et au figuré.
<< Les nouvelles installations de voirie cassent le bizness ! >>
Comme si la consommation baissait juste à cause de gens qui ne viendrait plus chercher leur baguette en voiture ?!
(Ce qui au passage fait un prix de revient excessif pour cette baguette )
La crise économique et morale des français ça n'existe pas ?
Je travaille dans les clubs de musique, les bars:
Tout le monde constate une frilosité des consommateurs depuis longtemps.
Et il est vrai qu’il faut du temps pour que les gens reviennent.
Enfin ces travaux ne sont pas tombés de l’hyper espace. Ils ont été demandés par des habitants de Paris.

Il y aussi la rumeur que les pompiers ne passent plus dans certaines rues refaites, quand finalement ce sont des cars de touriste irresponsables qui ont bloqué ces rues.

Je pousse un coup de gueule contre cette minorité de xxxxx qui sont fiers de vouloir faire tomber la mairie, juste par ce qu'ils ne roulent pas en toute liberté. Qu’elle soit de gauche ou de droite cette mairie... pour moi ne change rien...dans la stupidité de ce prétendu combat. C'est vraiment minable de réduire l'activité et la gestion d'une des plus grandes villes du monde, à ce caprice. Toutes les mairies européennes doivent alors tomber. Et celle de Bordeaux aussi.

Quand je prends la voiture de mes parents, de temps en temps, avec mes parents qui ne marchent plus, là, c'est effectivement le cauchemar. Quand je vois le nombre de véhicules imposants occupés par une seule personne.
Je me dis que c'est pas Delanoe ou Sarko qui m’emmerdent, mais ces gens égoïstes et masos à la fois.
Alors là, on va sortir la fameuse phrase 
 << Je suis obligé de prendre la voiture ?! >>
Oui, il y a des gens qui doivent travailler en voiture et qui mériteraient effectivement d'avoir un statut. Des facilités. Une vignette. Mais ils sont très très peu nombreux.

Il y a aussi l’idée que tout ça c’est contre les pauvres... Le coût moyen mensuel d’une voiture est de plus de 500€ (chiffres de l’ INSEE ou du CNC ) quand le coût annuel d’une carte orange annuelle étant de 500€. Faites le calcul.
Moi je n’ai pas les moyens de toute façons d’avoir, d’entretenir, et d’assurer un véhicule. Et je ne prétends pas être pauvre. Je suis étonné que des journalistes reprennent cet angle.

Voilà, j'en ai marre de ce tissu de bêtises disproportionnées sur la circulation, de ces faux messages de liberté.
La liberté de tous ces véhicules climatisés de faire respirer leur gaz, devant les restaurants ou les écoles ? Parce que c'est cool de dormir, ou de téléphoner, ou de lire, plein gaz à l'arrêt ?! Surtout les jours de canicule. La liberté de bloquer les rues ? De foutre la trouille aux vélos ou même de taper les gens au pare choc (des vieux comme dans le 75015 - deux morts l’été dernier)...

Allez, je m'emballe, car il y une majorité d'automobilistes qui sont raisonnables et raisonnants. Alors est-ce une manipulation ou juste une colère existentielle qui se cristallise sur le bitume ? Je vous pose la question.

Morgand