Le Langage de la nature (de l'oiseau au végétal)
Samedi 8 avril à 14h30
Salle Lucie Aubrac
95160 Montmorency
Centre culturel de l'environnement Région Bourgogne Franche Comté et Sociétaire de la SPF.
A l'heure actuelle, sauver la Terre qui nous porte est une urgence Pour en défendre la beauté de l' univers qui nous porte, comment ne pas chercher à connaître son langage qui est celui de tout ce qui vit sur Terre. La biodiversité est une immense richesse à découvrir. Les moyens les plus inattendus de communication se sont développés sur notre planète. Avec l'oiseau. les végétaux, François Fournet, Grand Prix Victor Hugo et lauréat du Palais du Luxembourg vous propose d'enrichir votre regard sur l'étonnante poésie du langage de la nature. A partir des analyses de Charles Darwin, Stefano Mancuso, Francis Hallé, Edmond Selous et autres scientifiques vous connaîtrez les extraordinaires pouvoirs de communication des êtres vivants et leur intime complicité.
François Fournet
06 09 92 14 47François Fournet
06 09 92 14 47
mercredi, 22 novembre 2023
Le Mandapa
Lieu mythique et magique de la rue Wurtz dans le 13ème arrondissement parisien, le Mandapa offre des spectacles du monde avec danses, contes, théâtre, musique axés notamment sur la culture indienne mais pas que…
Ses fondateurs Roger Filipizzi et Milena Salvini pour le plan artistique l’ont fondé en 1975. On peut y découvrir le théâtre dansé Kathakali, l’art martial Kalarippayat, le théâtre sanscrit Kutiyattham.
Depuis 2018, se déroule un festival « Passeport pour tous » dédié à un pays. Pour 2023,2024 c’est l’Asie orientale qui est à l’honneur. Des ateliers sont également proposés ainsi qu’un enseignement sur les écoles de danse indienne.
Actuellement, c’est Isabelle Anna la fille de Milena Salvini qui a repris les rênes. Elle est elle-même artiste et spécialiste de Kathak, danse traditionnelle du Nord de l’Inde…
Longue vie à cet endroit qui nous réjouit toujours les yeux et les oreilles !...
Agnès Figueras-Lenattier
15:05 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 02 septembre 2023
Gloire à l'écrivain Hermann Hesse
Hermann Hesse extase du corps et de l’esprit, tu reluis en moi comme un aimant sublime. Tu magnifies mon cerveau et mon âme et je te sens tel le puissant messager de l’amour. Comme tes phrases sont belles, limpides et mirifiques. C’est fou l’effet que tu me fais, je t’aime comme tu es, pour moi tu es parfait, cher pâtre du divin. Avec toi, j’ai envie de m’envoler comme une pilote loin de la terre avec ses nuages et ses beautés maritimes et de rouler dans les sphères de la spiritualité et de rêver, de rêver. Tes pensées philosophiques m’élèvent vers les cieux et le parfum qu’émane ton style m’enivre au plus haut point. Avec toi, ma jouissance physique et psychique s’anime et j’ai envie de te prendre dans mes bras, de dessiner ton portrait sur la plage. Tu es mon lupanar de l’esprit, ma bougie, mon diadème. J’ai envie de t’encenser comme le Dieu de la littérature, comme le chantre de la beauté dans un univers pétri de romantisme et de douce sensualité. J’ai encore beaucoup à découvrir de toi, de tes romans, de tes nouvelles et cette perspective me fait tourner la tête, et j’ai envie d’apprendre par cœur des phrases de toi, de les humer, et de m’en gaver jusqu’à l’infini. A cher poète, je te remercie d’exister et de me donner un tel bonheur. J’aime tellement savourer l’atmosphère que tu laisses planer dans mon antre, savourer les limbes de ton psychisme et vivre intensément dans la sensation et l’imaginaire. Désormais, si j’ai le cafard tu seras mon sauveur et avec toi dans mon coeur tout sera toujours beau et jamais noir. Merci de faire fonctionner mes sens à 100% et de les griser autant. En rêve, j’aimerais écrire une thèse sur toi, ta vie et tes œuvres pour encore mieux t’apprécier. Comme une drogue que j’ai envie d’instiller en moi à l’aide de plusieurs piqûres par jour. Je ne te lâcherai plus, et désormais tu m’accompagneras partout comme un frère chéri, comme un ami de toujours fidèle dans l’éternité. Même au ciel, morte, je penserai à toi. Jamais plus, je ne te perdrai de vue, tu me fais trop de bien pour que je te quitte. Grâce à toi, je ne serai plus jamais seule ; c’est beau et c’est beau comme un lien de filiation que jamais rien ne pourra détruire. Tu dépasses même Emile Zola, Tolstoï, Stefan Zweig et pourtant Dieu sait que je les aime. C’est peu dire. Merci d’être aussi génial…
Agnès Figueras-Lenattier
10:10 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : louange, écrivain, hermann hesse
jeudi, 27 avril 2023
Lithothérapie
Jade, pierre des Grands Chelems
Tu luis sur la terre battue
Et ta splendeur résonne indemne
Dans un éclat de balle perdue
A ton univers se joignent les saphirs
imbibés de folles joies tennistiques
Les coups droits se mêlent aux rires
Et les smashs intègrent ce clos magique
Les couleurs de la barytine
pierre de purification par excellence
Donnent une chaleur enfantine
Au service volée et à sa quintessence
L’héliotrope pierre contre la cystite
Rejoint la stratégie du tie-break
Et les joueurs de tennis dans leur rite
Te saluent à l’ombre de la Mecque
Swiatek rêve d’une émeraude
Et dans une flaque d’eau chaude
Laisse couler ses jolis pleurs
De l’avoir gagné après un dur labeur
Puissent la topaze et la magnésite
Règner sur le tournoi de Winbledon
Couronnant Alcaraz et son mythe
Et faisant de la lithothérapie la donne.
Agnès Figueras-Lenattier. Photos Didier Kaisserian diplômé en gemmologie et lapidaire 0661775545 quartier Lafayette 9ème arrondissement
08:20 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 01 avril 2023
Conférence animée par François Fournet,
14:41 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 20 février 2023
Académie de la Poésie
00:27 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 11 avril 2022
Lautrec/Valadon
Montmartre Belle Epoque
Editions de la Bisquine
Un livre bien écrit, très documenté où l’on voit distinctement la relation mouvementée entre Suzanne Valadon et Toulouse Lautrec, et l’atmosphère qui règne à cette époque. En particulier à Montmartre avec des renseignements détaillés sur les personnalités du moment et les dates importantes…
Valadon et Lautrec même s’ils partagent la même sensualité ne cessent de se disputer. Elle est jolie, infidèle et ne cesse de mentir. Lui, infirme, laid, amoureux des femmes s’auto-détruit dans l’alcool et le sexe. « Je creuse ma tombe avec ma queue » ironise t-il… Cela lui vaudra d’ailleurs de mourir de la syphilis à 37 ans… Elle a une haute opinion d’elle-même, lui a plutôt tendance à se dénigrer…
Suzanne Valadon dont le prénom est en fait Marie-Clémentine ( il semblerait que ce soit Lautrec qui l’ai appelée Suzanne… ), terriblement indisciplinée quitte l’école à 11 ans et commence très tôt le dessin : « Ca m’a pris jeune, à 8 ans ça y était. « Lui fait deux chutes en début de puberté avec comme conséquences des jambes qui ne grandiront plus alors qu’il est en pleine croissance.
Suzanne Valadon qui aura une histoire de 6 mois avec EriK Satie, aura sûrement choqué son fils Maurice Utrillo car elle se mariera avec un de ses amis à lui, André Utter de 25 ans son cadet, après avoir demandé le divorce à Paul Mousis en 1896… Son fils converti tardivement au catholicisme deviendra aussi pieux qu’alcoolique et sera interné plusieurs fois pour alcoolisme. D’ailleurs, elle ira souvent le récupérer ivre dans les cafés, commissariats, hôpitaux, et elle le forcera à peindre comme substitut à l’alcool. Contrairement à son fils, elle peindra beaucoup de portraits, et grâce à la protection de Degas jusqu’à la mort de celui-ci, elle sera la première femme à exposer à la Société des Beaux Arts en 1894. Elle peindra aussi beaucoup de natures mortes, de bouquets fleuris dans des vases, et n’aura pas peur de montrer des pubis féminins. En revanche, elle couvrira les sexes masculins d’une feuille de vigne… Possédant comme devise « "Donner, aimer, peindre », elle ralentira sa production à partir de 1930 minée par l’urémie et le diabète. Elle mourra d’une hémorragie cérébrale le 7 avril 1938.
Fervent admirateur de Manet, et possédant un penchant pour la femme rousse, Toulouse-Lautrec n’est jamais mieux que dans les bordels : « Nulle part, je me sens plus chez moi. » Gros travailleur, il est très cultivé et tous les sports l’intéressent. Mais c’est le sport hippique qui a sa préférence. Il possède même un appareil permettant de faire du galop en chambre. Il a comme professeur d’anglais Stéphane Mallarmé et attache beaucoup d’importance à l’amitié et à la famille. Quand il peint à l’intérieur, il garde son chapeau de feutre ou d’osier, et lors de fêtes entre amis, aime se déguiser. Il permet à ses modèles de bouger si elles en ont envie, et leur demande non pas de poser mais d’être naturelles.
Après sa rupture avec Suzanne, il connaîtra une descente aux enfers physique et mentale mais excellera dans la lithographie.
Valadon et Lautrec se sont sûrement beaucoup aimés malgré leur mésentente continuelle et se sont stimulés artistiquement, cela se ressent bien dans ce livre de Yonnick Flot enseignant, journaliste et auteur de plusieurs scénarii, de pièces et d’essais sur l’Education et l’Audiovisuel. C’est un précieux témoignage car apparemment, il n’existe pas la moindre trace d’une correspondance entre ces deux peintres…
Agnès Figueras-Lenattier
09:43 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lautrec, valadon, livre
mardi, 05 avril 2022
Les grands duels de l'art
Une belle série de cinq DVD sur les grands duels de l’art a été réalisée par les éditions Montparnasse ( Michel-Ange vs Léonard de Vinci, Vincent van Gogh vs Paul Gauguin, Emile Nolde vs Max Liebermann, Turner vs Constable et le Caravage vs Baglione)… Deux de ces DVD vont être évoqués ici :
Début XVIè siècle Michel Ange et Léonard de Vinci les deux meilleurs peintres italiens du moment sont engagés pour sublimer la salle du conseil du palais Vecchio. Il doivent peindre chacun une grande fresque ( 17m sur 7) représentant une scène de bataille. A Florence, la rivalité est considérée comme très positive pour que les artistes se dépassent ce qui n’empêchera pas les deux hommes d’échouer dans cette entreprise. Du reste, Léonard de Vinci est plus déprimé que vraiment motivé…
Ce qui ressort de ce film de Sylvie Kürsten c’est la grande différence de personnalités entre ces deux artistes. Michel Ange est introverti, subjectif, très solitaire, alors que Léonard de Vinci est très sociable, féru de science et d’objectivité. Dans ses œuvres, il fait ressortir l’enchevêtrement des corps, alors que Michel-Ange au contraire les détache les uns des autres. Chez Vinci, tout gravite autour de la nature tandis que chez Michel-Ange les paysages sont rares. Ce qui les unit cependant, c’est leur sexualité, ils sont tous les deux homosexuels et leur ambition très forte. Mais De Vinci affiche sans retenue son homosexualité, ce qui n’est pas le cas de Michel-Ange dont la foi le fait naviguer dans le déni.
Pendant 4 ans, ils vont s’affronter mais aucun des deux ne peindra finalement ce grand champ de bataille. Michel Ange préfère profiter des opportunités que lui offre le pape et de Vinci aurait finalement abandonné son travail en chemin et c’est Vasari qui a peint par-dessus. Ce n’est pas la thèse de Mauricio Seracini qui prétend que de Vinci aurait fini son tableau. Il a demandé à faire un trou dans l’œuvre de Vasari ce qui a été fait mais des voix se sont élevés contre cet agissement et finalement Seracini a été interdit de continuer et banni de tous les milieux.
Quoi qu’il en soit, cette rivalité a alimenté les débats et tout au long de cette période la question était de savoir qui était le meilleur. Quant à Léonard de Vinci, a-t-il fini sa toile ? Un doute subsiste… Tel est entre autre ce que l’on peut retenir de ce film qui a le mérite de l’avoir bien fait ressortir…
Le DVD sur Vincent Van Gogh et Paul Gauguin, film d’Andreas Gräfenstein retrace en grande partie la cohabitation entre ces deux peintres lorsque Van Gogh loue en hiver 88 « la maison jaune « où il espère y fonder sa communauté d’artistes. C’est Théo le frère de Vincent qui convainc Gauguin dont il a vendu trois tableaux de rejoindre son frère. Au début, même si Gauguin est effaré par le désordre qui règne au sein de la maison, et que les deux artistes ont une vision bien différente de la peinture, la cohabitation se passe à peu près bien. Van Gogh aime peindre sur le vif, Gauguin n’est pas fan de la peinture en extérieur. En dehors de la peinture, ils passent beaucoup de temps au bordel, moments qu’ils surnomment « leurs promenades hygiéniques »…
En tout cas, c’est une des périodes les plus prolifiques de la création picturale : En 2 mois, Gauguin peint 16 tableaux, et Van Gogh le double… Van Gogh redoute le départ de Gauguin, ce qui va se produire en hiver. Le froid les empêche de sortir et étant constamment l’un sur l’autre, ils vont se quereller à longueur de temps. Leur différent artistique prend le dessus et le 23 décembre c’est le drame. Gauguin s’en va laissant toutes ses affaires et il semblerait que Van Gogh se soit coupé l’oreille. Mais il existe plusieurs hypothèses à ce sujet, et certains n’excluent pas l’idée que ce soit Gauguin l’auteur de cette blessure. Par la suite, Van Gogh sera chassé de la maison jaune et trouvera refuge à la clinique Saint-Paul. Il est probable qu’il se soit ensuite suicidé en se tirant une balle. On retrouvera Gauguin à Tahiti qui écrira ses mémoires et affirmera que penser à la souffrance de Vincent l’aidera dans ses périodes de mal-être… Il mourra de la syphilis…
Agnès Figueras-Lenattier
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lundi, 07 mars 2022
Exposition à l'occasion de la journée des femmes
Du 9 au 13 mars, exposition de 12 artistes autour de 2 oeuvres originales de Rosa Bonheur dont c'est le bicentenaire de la naissance. Atelier Eugénie Dubreuil, 5 rue Barrault, métro Corvisart. Ouvert de 15 a 18 heures. Cette expo a lieu à l'occasion de la journée Inter nationale des femmes et sera signalée dans le programme de la Mairie du 13 eme. A.F.L
14:45 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 24 février 2022
Gabriele Münter peintre
Née en 1877 à Berlin, dont elle aime l’atmosphère, Gabriele Münter peintre fut également la compagne de Kandinsky. Bien évidemment comme beaucoup de ces femmes qui croisent le chemin d’artistes masculins très célèbres, elle n’est pas très connue. C’est très bien qu’un DVD lui soit consacrée car elle ne manque pas de talent et en a autant que son amant… D’ailleurs dans son almanach concocté avec plusieurs autres artistes, Kandinsky ne la mentionne même pas… C’est tout dire…
En revanche, ayant très bien compris son travail, il n’essaiera jamais de l’influencer. Artiste plus libre que Kandinsky, tous deux peignent côté à côte les mêmes motifs. Ils veulent se libérer du carcan de la société et de l’académisme et n’ont pas d’atelier. Toutes leurs œuvres voient le jour en plein air et ils emportent tout leur matériel sur le dos. Le vélo est leur moyen de locomotion ce qui à l’époque est presque scandaleux pour une femme. S’inspirant mutuellement tout au long de leur relation, ils renoncent à la perspective utilisant de grands aplats de couleurs pour d’une part augmenter l’expression de la composition et d’autre part dépasser la réalité. Kandiinsky étant marié, ils voyagent afin d’échapper à la notion de couple illégitime et pour vivre leur union en toute tranquiillité.
En 1909 le couple emménage à Murnau au sud de la Bavière et chacun arrangent la maison à sa manière. Un potager prend place. Le couple collectionne les objets d’art populaire, des dessins d’enfants avec l’idée que les enfants comme les artisans d’art populaire créent d’une manière naturelle, sans avoir subi d’influence. . Une création authentique s’effectuant à partir de soi qu’ils veulent essayer de refaire. Kandinsky après avoir divorcé et malgré ses promesses de mariage épousera une autre femme. Il enseignera en Allemagne mais ne donnera plus aucune nouvelle à Gabrielle si ce n’est pour récupérer ses tableaux…
A 20ans, Gabriele Münter commence le dessin et part aux Etats-Unis avec sa sœur. Elle a beaucoup photographié avant de peindre et cela va l’influencer dans toute son œuvre. Présente l’idée de l’instantané que l’on retrouve dans ses portraits où la personne porte son regard en dehors du cadre. La pureté de la couleur lui importe beaucoup.
A 29 ans, elle arrive à Paris, loue un atelier rue Madame, et loge dans le même immeuble que les Stein, grands collectionneurs. Elle s’intéresse à la critique d’art et notamment à Huysmans dont elle parle dans ses carnets. De 1917 à 1919 elle expose avec succès à Stockolm et Copenhague ((estampes et peintures sur verre). . Elle retrouve Berlin en 1925 et expose dans toute l’Allemagne et à New York. Ce qui l’attire le plus, ce sont les êtres humains qu’elle peindra de plus en plus avec le temps. «Mon truc c’est de peindre, voir, dessiner, pas de parler. Elle dessine sans arrêt, découvre le fauvisme et pratique la gravure à l’Académie des dames…
Revenue à Paris, elle va beaucoup au cinéma voir les films de Germaine Aulac. A partir des années 30, des motifs de fleurs seront bien plus présentes dans ses œuvres avec aussi le temps s’écoulant, moins de couleurs et des formats plus grands. L’’abstraction ne l’a jamais vraiment séduite préférant l’expression et la forme. La manière dont elle a traversé la période nazie n’est pas très claire. Elle influencera Paul Klee dans la manière d’agencer les couleurs.
A 72 ans, on la photographie comme le témoin de l’époque du mouvement du Blaue Reiter réhabilité après la guerre.
Décédée à 85 ans, elle est fascinante sur le plan esthétique et quelle harmonie dans la manière d’assembler les couleurs et les motifs. Ce DVD est un régal pour les yeux… Félicitations à la réalisatrice Florence Moraud
Agnès Figueras-Lenattier
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dimanche, 03 octobre 2021
"Jazz Ace"
Toutes les semaines, Agnès Figueras-Lenattier ex joueuse de tennis professionnelle (n°8 française) anime une émission intitulée " Jazz Ace" sur la radio Web " Jazz Box Radio International" qui passe tous les jours à 15h. Elle interroge soit une personnalité du tennis, soit un musicien qui joue au tennis et fait un parallèle entre ces deux disciplines. Avec entre les questions, des morceaux de jazz choisis spécialement pour l'occasion par le directeur de la radio Jacques Thévenet. Celui-ci possède une grande culture dans ce domaine et présente d'ailleurs une émission sur cette radio web dédiée au jazz "Jazz box" diffusée tous les jours à 17h. Cette même émission est diffusée sur la bande FM à Radio Aligre depuis Paris tous les samedis à 17h. Et c'est suite à cette aventure sur Radio Aligre que Jacques Thévenet passionné dès sa tendre enfance de radio et de jazz a décidé de prolonger l'aventure en créant cette radio web qui existe depuis 2015. Abyale très connue dans les années 90 dans le disco-funk et d'autres animateurs (trices) de talent y collaborent également….
www.jazzbox-radio.fr
09:15 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tennis, musique, émission