vendredi, 23 avril 2021
Exposition sur l'orange
François Lemaire peintre va à partir du 3 mai présenter une exposition sur la couleur orange. Cela se passe à la Fabrique contemporaine au 30 rue Vergniaud tous les jours de 14h à 18h. C’est un orange qu’il fabrique lui-même, soit au couteau, soit au pinceau avec différents rouges et différents jaunes assemblés les uns aux autres. Par exemple s’il met un petit peu plus de rouge, il va avoir un orangé assez fort, s’il met un peu plus de jaune il va avoir un orangé plus pâle, plus jaune. Il avait déja fait une exposition sur le bleu en utilisant la même technique.
Si vous voulez un rendez-vous en dehors des heures d’ouverture vous pouvez appeler François Lemaire au 0619533416.
Ou au galeriste au 0613080969
Agnès Figueras-Lenattier
13:33 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : exposition, peinture, orange
mardi, 15 décembre 2020
Les heures chaudes de Montparnasse 6CD
Doriane Films
Edgar Poe disait « Toute certitude est dans les rêves » , une phrase qui s’applique bien à ces deux coffrets englobant chacun 3 DVD et un petit livret résumant le tout. Sous la direction de Jean-Marie Drot écrivain, documentariste, ils évoquent un monde qui dans l’art n’ a son pareil nulle part ailleurs et qui nous font rêver. C’est le monde de la Belle Epoque , où tout était organisé pour les étrangers. Où les Américains débarquaient à Paris pour y trouver la liberté et où peintres et poètes étaient très amis . Une véritable solidarité existait entre les plus démunis. La concurrence semblait inexistante, et les cafés servaient de lien à toutes ces grands personnages . Ils pouvaient y rester des heures et des heures à échanger…
Interviews, témoignages, reportages filmés dans les rues, lectures de poèmes, reproductions d’oeuvres d’art ( dadaIsme, surréalisme, cubisme…) s’entremêlent joliment… La femme est alors la reine incontestée de Montparnasse avec dans les rues une agréable odeur de crottin remplacée de nos jours par celle de l’essence...
On se retrouve au moment de la Ruche, de la Cité Falguière et lorsque Paul Fort jette son dévolu sur La Closerie des Lilas en 1903. Apollinaire, Modigliani, Soutine, Derain, Giacometti, Man Ray, Paul Fargue et tant d’autres deviennent nos familiers. La rue de La Gaité qui a permis à Montparnasse de faire naître cet univers unique défile sous nos yeux.
Les diverses paroles des vrais connaisseurs de Bobino, et celles de Cocteau sont savoureuses. On assiste à la naissance de la librairie Shakespeare and Company fondée par Sylvia Beach avec comme premier client James Joyce. Celle-ci évoque sa rencontre chaleureuse avec Hemingway. Autre évènement de l’époque présent ici : Le bal Nègre découvert par Desnos. Evoquées avec poésie et authenticité, les rencontres entre Aragon et Elsa Triolet, entre Apollinaire et Picasso, la rivalité entre Yvonne Georges et Damia surnommée « La tragédienne de la chanson’. Parmi les inédits, l’interessant témoignage de Fernand Ledoux sur la différence de technique théâtrale entre Gaston Bati et Copeau. Asse stupéfiante la découverte après sa mort, de la maison stupéfiante de misère et de pauvreté d’Erik Satie. Avec plus de 100 parapluies et deux pianos sans corde appartenant à ce musicien créateur des gymnopédies.
C’était l’époque où les artistes de Montmartre du Bateau Lavoir (Picasso, Braque, Jacob… ) descendaient à Montparnasse. Un monde florissant où régnait un véritable bouillonnement d’idées, d’art, et de folle concentration.
Jean-Marie Drot directeur de la Villa Médicis à Rome entre 1985 et 1994, explique que ces émissions réalisées dans les année 1950-60 grâce à l’historien Olivier Robert n’auraient plus lieu d’être actuellement car seulement 4, 5, à 6 % de ceux qui regardent la télé sont aujourd’hui susceptibles d’être intéressés . Il ajoute que le fric n’avait pas encore mis sa patte et qu’ à présent les responsables des chaînes télévisées n’ ont plus rien à faire de ce genre de reportages. Bien dommage en tout cas!…
C’était réellement un autre monde et bravo à Doriane Films d’avoir écarté cette réalité. Et d’avoir pour le plus grand plaisir de certains refait vivre une atmosphère pleine d’enchantement et de féérie…
Agnès Figueras-Lenattier
02:17 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : belle époque, reconstitution
lundi, 09 mars 2020
Exposition " Le surréalisme au féminin"
Du 7 au 11 mars 2020, aura lieu l'exposition consacrée à 8 femmes artistes du surréalisme des années 1930 aux années 1990, organisée par les Beaux Yeux dans l'atelier de la peintre Eugénie Dubreuil , 5 rue Barrault dans le 13ème arrondissement.
"Le but explique Eugénie Dubreuil est de montrer le processus de création du surréalisme à partir de collages comme le faisait Max Ernst… "
Ce sera l'occasion de découvrir les premières gravures de la peintre et illustratrice Valentine Hugo maîtresse de Paul Eluard et d'André Breton. De mieux se familiariser avec Marie-Laure de Noailles femme du fils d'Anna de Noailles. Tous deux ont financé les surréalistes en particulier " L'âge d'or" film de Dali et de Bunuel tourné aux Baléares… Ou encore d'admirer l'art de Dar Maar l'une des amantes et muses de Picasso...
Ce n'est pas tous les jours que la femme artiste est célébrée, et cette belle initiative d'Eugénie Dubreuil mérite qu'elle soit honorée…
Ouvert tous les jours de 15h à 19h
A.F.L
04:24 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : surréalisme, femmes, exposition
jeudi, 19 décembre 2019
Galerie la Véhémence
La Galerie La Véhémence ( 81 bd Longchamp à Marseille ) mène une réflexion sur des œuvres picturales par le biais de leurs activations et leurs résonnances dans l’espace d’exposition. Elle s’oriente vers une recherche curatoriale autour du corps sujet, du corps de l’image, du corps de l’artiste. Autour d’oeuvres d’artistes reconnus et émergents, la Véhémence présentera à travers une programmation annuelle d’expositions collectives, le fond du peintre Bernard Dufour par une ré-activation de l’oeuvre.
Pour sa première exposition, cette galerie, présente un corpus d’oeuvres modernes et contemporaines, où l’empreinte du réel passe par la surface du corps. Ici, il devient surface tangible d’un visible. Partant du postulat de Jean-Luc Nancy, «Le corps est un lieu. Je suis partout où est mon corps. Mon corps est dans mes écrits. Une écriture, une pensée, c’est un corps », La Véhémence propose une lecture du corps sujet, du corps de l’image, et du corps réactivé. À travers Faire corps , quatre artistes dialoguent et proposent des pièces allant de l’apparition, du relevé, de la présence du corps. Également présence du corps de l’artiste, où le geste intervient ici en tant que partie prenante du processus de création. Réactivant les clichés-verres de Bernard Dufour, La Véhémence accentue la mise en évidence des liens autour de l’appropriation des techniques du médium pictural par les artistes. Partant de la transparence de l’image, Mana Kikuta utilise le collodion humide afin d’en faire émerger une forme, par la superposition des images pour transcrire l’épaisseur de la mémoire, son activation et son oubli. À l’inverse, Tao Douay part du noir de l’image pour donner présence à la lumière des corps qui y apparaissent et font la matière de l’image. Au creux de la matière, Myriam Mechita dresse dans le charbon et dans la terre, des tracés, des sculptures, des corps fragmentés restitués de ses expériences et prélèvements du réel. Dans ces appropriations différentes des techniques picturales, les oeuvres se croisent pour révéler un dialogue où les techniques et les écritures traversent l’espace d’exposition afin de donner corps à l’empreinte, sa surface et sa profondeur.
Exposition du 31 Janvier au 19 Avril 2020 Du Jeudi au Dimanche - de 14h à 20h, et sur RDV Inauguration le 31 Janvier 2020 - 18h30 à 21h30
07:37 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 11 octobre 2019
Exposition à l'hôpital Saint-Anne :
Rien à voir
"Quand la création échappe au symptôme"
En ce moment et jusqu'au 22 décembre a lieu au Musée d'Art et d'Histoire de l'hôpital Saint-Anne (MAHHSA) une exposition réunissant les tableaux de 13 artistes des années 1960-70 intitulée " Rien à voir quand la création échappe au symptôme". La majorité des œuvres présentées ont été réalisées au sein des ateliers occupationnels et thérapeutiques de l'hôpital et la plupart n'ont encore jamais été exposées.
Cette exposition dont le titre est significatif prolonge le parcours des expositions ayant eu lieu depuis 2017. Il s'agit de contrecarrer la théorie des psychiatres des années 60 qui voyaient à travers ces œuvres des signes expliquant la " pathologie" de l'artiste. Or là, il s'agit justement de se débarrasser de cette interprétation, pour développer une vision plus neutre, faisant appel à ses propres émotions et à ses repères artistiques. Effectivement lorsque l'on regarde ces tableaux avec un œil vierge, l'on peut développer une approche totalement différente qui n'a plus "rien à voir" avec la maladie psychique…
Pour l'occasion est sorti un catalogue en vente notamment à la librairie du Musée sous la direction du docteur Anne-Marie Dubois conservateur du Musée d'Art et d'Histoire de l'hôpital Saint-Anne. Avec la participation de Margaux Pisteur chargée de collection et de Dominique Baliko photographe. Cet ouvrage englobe les œuvres exposées et quelques autres en plus avec un portrait de chaque peintre et une explication de sa technique.
Il explique l'histoire de l'art provenant des personnes ayant traversé un épisode d'ordre psychiatrique avec 3 appellations au cours du temps: art des fous, art brut et art psychopathologique.
C'est à partir de 1950 que les échanges entre psychiatres sur le sujet se sont multipliés avec le premier congrès mondial de psychiatrie à Saint-Anne. En même temps, toujours à Saint-Anne s'est tenue une première exposition internationale d'art psychopathologique rassemblant des œuvres provenant d'hôpitaux psychiatriques et de collections privées du monde entier. Ce sera le début de la collection Saint-Anne qui regroupe à présent près de 1800 œuvres. Grâce à un long travail, le MAHHSA est maintenant reconnu comme le premier musée hospitalier de France…
Agnès Figueras-Lenattier
01:34 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : saint-anne, art psycopathologique, nouveau regard
samedi, 23 février 2019
Le Musée Pouchkine
" Cinq cents ans de dessins de maîtres"
Une exposition pour tous les goûts, celle de la Fondation Custodia mettant en relief les œuvres graphiques des écoles européennes et russes du XVè au XXè siècle issues de la collection du Musée Pouchkine . Cette rétrospective s'étend sur deux niveaux, avec en bas les tableaux du XXè. (Matisse, Picasso, Dalaunay, Signac, Fernand Léger, Paul Klee, Kandinsky,,Modigliani) et en haut le reste. Il règne d'ailleurs un contraste assez frappant entre les deux étages, le moderne étant plus coloré, moins fin et délicat dans la représentation générale des sujets. C'est un autre style mais qui n'en vaut pas moins le détour, surtout pour les avant-gardistes..
Gouaches, sanguines, plumes et encre brune, pierre noire et craie blanche, lavis gris ou brin..., se succèdent laissant voir plus de 200 œuvres de grands maîtres aux noms illustres (Rembrandt, Fragonard, Rubens, Corot, Ingres, Poussin, Renoir, Delacroix…).
Deux gouaches de Jean-Baptiste Mallet " La rencontre", " La réconciliation" et une gouache de Pierre-Antoine Baudouin Rose et Colas" sont particulièrement à remarquer. Ce dernier est d'ailleurs considéré comme l'un des plus grands gouachistes du XVIIIè siècle. Parmi les sanguines, celle de Watteau ou de Renoir. Ou encore " Tête d'un jeune saint" en pierre noire et craie blanche de Giovanni Antonio Sogliani.. Et que dire de la pose gracieuse de " La jeune femme endormie" de François Boucher.
La liste des " beautés" est longue, et il ne faut pas louper cette exposition. C'est en effet la première fois qu'autant d'œuvres du Musée Pouchkine sont présentées….
Agnès Figueras-Lenattier
Plus d'infos
Fondation Custodia 121 rue Lille
Métro : Assemblée Nationale
09:50 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musée pouchkine, collection, exposition
dimanche, 13 janvier 2019
Tcha Limberger Trio with Mozes Rosenberg ( CD live)
Editions Frémeaux et Associés
Tcha Limberger est un violoniste de talent aveugle, également chanteur et possédant un goût prononcé pour la musique hongroise. Petit fils de Piotto Limberger grande figure de l'histoire du swing manouche, il a avant de se mettre au violon à 17 ans appris la guitare flamenca et la clarinette. Dans ce DVD, des maîtres du swing Dave Kelbie et Sébastien Girardot l'accompagnent.. Un invité s'ajoute en plus ; il s'agit de Mozes Rosenberg guitariste de jazz.
L'ensemble donne une musique tantôt très rythmée, tantôt plus romantique. Certains airs donnent envie de danser, d'autres au contraire comme " Flamingo" ou " Clair de Lune" font davantage rêver. Le timbre de voix de Tcha Limberger est assez doux , et le toucher des instrumentistes est agréable, et entraînant. Pour qui veut avoir la pêche, c'est assez stimulant!...
Carmen Flamenco (DVD)
Compagnie Coïncidences Vocales et Compagnie Influenscènes. .
Dans un tout autre genre, le DVD " Carmen Flamenco" en souvenir du spectacle qui a eu lieu notamment à Avignon en 2017 et au Théâtre 13 fin 2018. Ou tout simplement à découvrir sans avoir vu la représentation sur scène. Il s'agit d'une adaptation de l'oeuvre de Bizet et de l'écrivain français Prosper Mérimée mise en scène par Jean-Luc Paliès, mêlant chant lyrique, cante , danse flamenco et théâtre. Don José en compagnie du son de la guitare et du piano raconte avec lyrisme et gravité son amour pour Carmen et tout ce qu'il a fait pour elle. Les artistes sont tous excellents, et ce mélange des deux univers est totalement convaincant. Magistral...
Agnès Figueras-Lenattier
11:42 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : swingjazz, flamenco, cd et dvd
jeudi, 22 novembre 2018
Poésie érotique
Anthologie en 110 poèmes
DVD Frémeaux et Associés
110 poèmes érotiques, trois DVD et surtout des poètes. Peu de poétesses font partie de la liste ce qui est un peu dommage car il en existe d'autres que celles présentes ici.
Mais en dehors de cette réalité, c'est une belle initiative de la part des éditions Frémeaux et Associés que d'avoir réuni 50 auteurs autour de la poésie. Parmi eux La Fontaine, Victor Hugo, Verlaine, Corneille, Georges Sand, Sapho. Certains sont moins connus et c'est un vrai plaisir de les découvrir comme François Béroalde de Verville (1556-1626) Pietro Aretino dit l'Arétin (1492-1556) , Théodore Hannon (1851-1916) ou Marie Nizet (1859-1922). Un langage vraiment cru est parfois de mise et la voix expressive de Daniel Mesguish entres autres comédien, metteur en scène, directeur du Conservatoire national supérieur d'art dramatique… et de l'actrice et metteur en scène Sterren Guirriec ne font qu'accentuer cet aspect là. Lui a le ton coquin, suave, rythmée, lyrique, et il semble prendre un tel plaisir à dire ces poèmes qu'il nous le communique. Parfois l'on rit à l'entendre et l'on ne peut que jouer le jeu devant parfois cette totale lubricité. Elle, possède une voix au premier abord plus innocente car légèrement enfantine. Mais c'est trompeur car elle sait aussi transmettre le message joyeux de l'érotisme présent ici.
Ecoutons par exemple l'humeur badine, " Lamentation d'un poil de cul de femme " de Jules Verne ou amusons-nous avec Théodore Hannon rêvant de se faire sucer par une ventriloque… Bref c'est tout sauf fade, et même les plus prudes devraient y trouver leur compte…
Agnès Figueras-Lenattier
08:48 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lecture, poèmes, érotisme
samedi, 13 octobre 2018
Vagues de renouveau
Estampes japonaises modernes 1900-1960
La Fondation Custodia a toujours l'art de réaliser des expositions avec goût et raffinement. Cette fois-ci, ce sont les estampes japonaises de 1900 à 1960 qui sont présentées ici afin de fêter l'année du Japon en France. Les deux principaux courants artistiques mis en valeur sont le shin hanga inspiré par Watanabe et le sosaku hanga dont Onchi Kashiro est une figure de proue.
L'on peut admirer une cinquantaine d'artistes et plus de deux cents œuvres assez différentes de l'art japonais en général. C'est surtout la femme qui est à l'honneur à travers cette exposition où l'esthétisme et la beauté féminine dominent. Notamment au début et dans la salle intitulé " Beautés d'aujourd'hui" avec les belles danseuses de Kosayakawa Kiyoshi et les femmes de Itô Shinsui se coupant les ongles, se noircissant les sourcils ou se regardant dans le miroir. Plus loin, dix types de nus féminins de Toraji d'Isikawa sont à voir également.
Les quelques portraits d'hommes montrent la symbolique du kabuki, forme épique du théâtre japonais traditionnel, avec en particulier des visages d'acteurs en pleine interprétation théâtrale. Défilent aussi des vues citadines, et des gravures de Tokyo. Les salles du sous-sol comprennent tout d'abord un petit film bien fait sur la technique de l'estampe japonaise traditionnelle. Suivent entres autres des dialogues post-impressionnistes, des artistes voyageurs, des spectacles de la vie moderne (troisième et quatrième acte de l'opéra Carmen, cirque, acrobaties), quelques visages masculins.…
C'est une collection très variée, et cela donne un véritable aperçu de l'estampe japonaise qui après avoir connu une crise sans précédent fin XIXè, connaîtra un grand essor après l'ouverture du Japon au monde occidental en 1853.
Quant au catalogue de cette rétrospective, c'est un véritable enchantement pour les yeux. Il complète de manière riche et rigoureuse l'histoire de la gravure japonaise au début du XXè siècle. La maison d'édition Watanabe fondée en 1909 qui continue de publier et de commercialiser des estampes se détache avec une longue interview de Watanabe Shoichiro expliquant son travail d'éditeur. Des textes retraçant la biographie des artistes, complètent le tout. Sans compter les superbes images d'estampes qui comme dit précédemment régalent notre sens visuel et l'aiguisent . On voyage dans l'univers japonais avec délice…
Agnès Figueras-Lenattier
Plus d'infos :
Fondation Custodia 121 rue de Lille
A 100 m du métro Assemblée Nationale
03:03 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : japo, estampes, xxè siècle
jeudi, 09 août 2018
Artistes en Normandie
08:45 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : normandie, paysage, peintures