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jeudi, 27 octobre 2005

Communiquer plus largement...

...sur vos événements, c'est possible et nous sommes certains que nos 25 000 visiteurs mensuels y trouveront eux aussi un intérêt !

Ecrivez-nous dès maintenant - et chaque mois - pour compléter notre agenda de Novembre (voir pour exemple l'agenda du mois d'Octobre) qui propose un condensé classé par ordre chronologique des rendez-vous culturels, festifs ou citoyens du 14e arrondissement.

Allez, c'est très simple. Il suffit de cliquer ici !

Pierre

Plus d'info :
+ Passé, présent, à venir, consultez notre agenda récapitulatif de l'année 2005...

Soirée exceptionnelle à la Fondation Cartier

Si l'exposition J'en rêve réunit de jeunes talents de 23 nationalités différentes, ce sont les artistes français ou vivant en France que la Fondation Cartier a choisi de mettre tout particulièrement à l'honneur samedi prochain, 29 octobre 2005, à travers des performances qui soulignent le croisement des domaines de la création à l'oeuvre dans les pratiques artistiques les plus actuelles.

De 18h à 20h, des interventions d'une quinzaine de minutes se succèderont donc dans les espaces d'exposition, reflétant l'énergie et la libertié qui caractérisent J'en rêve. Peintre "hyperrockaliste", Elodie Lesourd entre en scène avec son groupe rock. Thomas Lélu propose une lecture désopilante de son romain Je m'appelle Jeanne Mas. Félicia Atkinson, Romain Kremer, François Chaignaud et Gaspard Guilbert, qui s'étaient déjà produits dans le cadre des Soirées Nomades J'en rêve, reviennent avec de nouvelles performances. La vidéaste Roxane Borujerdi présente en live sa performance TV. La salle de cinéma accueille un programme spécialement concocté pour l'occasion, réunissant les vidéos de Félicia Atkinson, Camille Henrot et Angelika Markul.

...Nous ne saurions donc trop vous recommander de ne pas manquer cet événement avant la toute prochaine clôture de l'exposition.

Camille

Plus d'info :
+ Fondation Cartier pour l'art contemporain - 261, boulevard Raspail (voir le plan d'accès).
+ Exposition ouverte jusqu'au ...30 octobre - tarifs : 6,50 € (tarif réduit 4,50 €).

 

XIVe arrondissement : prenez de la hauteur !

Quelques chiffres amusants sur Paris et notre arrondissement. Question altitude, le XIVe arrondissement avec Montsouris est un des principaux sommets de la Capitale avec son 78 mètres au dessus du niveau de la mer !

Le point le plus bas de Paris est le niveau moyen de la Seine, au Point du Jour, à 26 mètres au-dessus du niveau de la mer ; sur la voie publique, il est à 30,5 mètres à l’angle des rues Leblanc et Saint Charles, dans le XVe arrondissement.

Le point le plus haut culmine à 148,48 mètres et se trouve au 40, rue du Télégraphe dans le XXe arrondissement.

Les principaux autres sommets en mètres :
• Montmartre : 130 mètres (cimetière de Montmartre, XVIIIe arrondissement)
• Belleville : 122 mètres (place des Fêtes, XIXe arrondissement)
• Buttes Chaumont : 101 mètres (rue des Alouettes, XIXe arrondissement)
• Père-Lachaise : 95 mètres (Columbarium, XXe arrondissement)
• Montsouris : 78 mètres (boulevard Jourdan, XIVe arrondissement)
• Passy : 70 mètres (cimetière de Passy, XVIe arrondissement)
• Charonne : 69 mètres (Place de la Réunion, XXe arrondissement)
• Montparnasse : 65 mètres (rues du Château et Raymond Losserand, XIVe arrondissement)
• Butte aux Cailles : 63 mètres (rue de la Butte aux Cailles, XIIIe arrondissement)
• Montagne Sainte-Geneviève : 61 mètres (place du Panthéon, Ve arrondissement)
• Place de l'Étoile (VIIIe arrondissement) : 58 mètres

Sylvain

lundi, 24 octobre 2005

C pour les jeunes et C 1 Festival

Cela commence après demain mercredi 26 octobre 2005... Cela dure jusqu'au 1er novembre dans 7 salles de cinéma Art et Essai parisiennes dont l’Entrepôt (voir le programme) et Le Denfert (voir le programme) dans notre arrondissement, un festival destiné aux jeunes spectateurs de 3 à 15 ans propose de découvrir ou de rédécouvrir des films à un tarif (avantageux) de 4 euros par séance.

En résumé, Mon 1er Festival, c'est :
3 séances par jour, dans 7 salles de cinéma,  pendant 7 jours…
...soit 147 séances de cinéma pour plus de 60 films
Je suis… je suis…
 « MON PREMIER FESTIVAL » organisé par la Mairie de Paris et l’A.F.C.A.E
Du 26 octobre au 1er novembre 2005, pour les jeunes de 3 à 15 ans !

Sylvain

Plus d’info :
+ ...Le site officiel de l'opération : www.mon-1er-festival-de-paris.paris.fr.
+ L'Entrepôt - 7/9, rue Francis de Pressensé - métro Pernety.
+ Le Denfert - 24, place Denfert-Rochereau - métro Denfert-Rochereau.

dimanche, 23 octobre 2005

Expo Bill Brandt à la Fondation Henri Cartier-Bresson

medium_halifax.jpgLa Fondation Henri Cartier-Bresson présente - en collaboration avec le Bill Brandt Archive de Londres - un ensemble très rare de tirages d’époque réalisés par le grand photographe britannique Bill Brandt. C’est la première fois que cet
ensemble est présenté en France.

Henri Cartier-Bresson disait de Brandt en novembre 1990 : « C’est quelqu’un que j’aimais beaucoup, avec une perception tellement sensible et très affirmée. Les portraits sont remplis de perspicacité avec un grand sens de la forme et des valeurs. » Exacts contemporains, ils ont tous deux vécu la période surréaliste, qui les a grandement influencés. Bill Brandt fut l’élève de Man Ray, comme Lee Miller ou Berenice Abbott : « J’ai eu l’immense chance de commencer ma carrière à Paris en 1929. Pour tout jeune photographe, Paris était le centre du monde. C’était la période exaltante où les poètes et les surréalistes reconnaissaient les possibilités qu’offrait la photographie. (…) Les travaux d’Atget étaient enfin publiés. Il était mort méconnu, deux ans auparavant. Brassaï, Kertész et Cartier-Bresson travaillaient également à Paris, comme Man Ray. »

medium_gouvernantes.jpgBill Brandt, d’origine allemande, s’identifia pleinement à l’Angleterre où il vécut la plus grande partie de sa vie. Son oeuvre souvent mélancolique mais extrêmement rigoureuse, s’écoule sur près de cinquante ans et résume à elle seule les quatre grands genres de la photographie - reportage, portraits, nus et paysages.

L’exposition rassemble une centaine de photographies noir et blanc tirées par Bill Brandt lui-même – accompagnées de publications, écrits et correspondances de l’époque - reprenant l’ensemble des phases de sa carrière :
· une première période - influencée par le surréalisme puis par le courant documentaire - rassemble des images de Paris, de l’Europe et de l’Angleterre dans les années 1930 et 1940 : photographies de rue, nuits urbaines inspirées par Brassaï, étude des contrastes sociaux dans l’Angleterre de l’entre deux guerres, les mineurs du nord de l’Angleterre, et Londres pendant le black out.
·  les portraits de personnalités : Ezra Pound, Francis Bacon, René Magritte, Peter Sellers, Henry Moore, Graham Greene,… réalisés notamment pour Harper’s Bazaar.
·  les nus, photographiés dans des intérieurs victoriens puis en extérieur, sur les plages de galets du sud de l’Angleterre ou de la France.
·  les paysages, inspirés par la scène littéraire britannique, comme les images emblématiques du West Country de Thomas Hardy et des Yorkshire Moors d’Emile Brontë.

Brandt considérait que le tirage était un stade fondamental pour l’achèvement d’une image et consacrait beaucoup de temps au laboratoire : « Seul l’agrandisseur me permet de terminer mon travail de composition. Je ne vois pas en quoi cela pourrait altérer la vérité de la photo. » Pour lui, être photographe, c’était « mettre en scène une apothéose ».

medium_east_london.jpgL’exposition de la Fondation tente de retracer ce parcours intense où, finalement, seule compte la détermination de l’auteur à exprimer son imaginaire. En effet, bien que profondément touché par la situation difficile des mineurs du nord de l’Angleterre ou par Londres pendant la guerre, Brandt n’hésitait pas à composer ses images en faisant poser des modèles : « J’ai souvent l’impression d’avoir déjà vécu une situation présente, et j’essaie de la reconstituer telle qu’elle était dans mon souvenir. » Puis, après la guerre, lassé par le genre documentaire, Brandt retrouve « l’approche poétique » qu’il avait abordée auprès des surréalistes et notamment de Man Ray dont il avait été l’élève à Paris : « Il me semblait qu’il y avait encore d’immenses champs non explorés. Je me suis mis à photographier des nus, des portraits et des paysages. » Son oeuvre est empreinte de mystère et d’étrangeté, de connotations symboliques, à l’image de ses deux films fétiches, Citizen Kane d’Orson Welles et Soupçons d’Alfred Hitchcock.

Bill Brandt va laisser totalement libre court à sa créativité : la théâtralité des paysages ou des portraits, les nus « devenant un paysage imaginaire » (son contemporain britannique Cecil Beaton disait de lui qu’il était « le Samuel Beckett de la photographie ») … Bill Brandt portraitiste demeure très silencieux avec ses modèles. Il repère minutieusement les décors, fidèles à l’idée qu’il se fait du personnage : « Je crois qu’un bon portrait se doit d’exprimer quelque chose qui concerne le passé du sujet et donner à entrevoir quelque chose de son avenir. » Son style va pleinement s’exercer dans les séries de « nus en extérieur », dont la singularité poétique et sculpturale vise à l’infini.

L’oeuvre de Bill Brandt figure aujourd’hui dans les collections les plus prestigieuses du monde, notamment au MoMA à New York, au Victoria and Albert Museum à Londres, ou à la Bibliothèque nationale de France.

Camille

Plus d'info :
+ Exposition Bill Brandt à la Fondation Henri Cartier-Bresson - jusqu'au 18 décembre 2005 - 2, impasse Lebouis - heures d'ouverture au public, tarifs et plan d'accès.
+ Le site officiel de la Fondation Henri Cartier-Bresson.
+ Exposition organisée par John-Paul Kernot, directeur du Bill Brandt Archive, gérée par Curatorial Assistance Traveling Exhibitions. Commissaire de la présentation parisienne : Agnès Sire.

samedi, 22 octobre 2005

Convention d’Utilisation des Locaux Scolaires : un communiqué aux associations

Nous recevons ce "communiqué aux associations du 14ème" de Dominique Benoiste, Président du Royal Rouvier Chess Club. Nous vous le retransmettons.

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Convention d’Utilisation des Locaux Scolaires 2005-2006 : Un scandale ?

Arguant sur une Commission Administrative Paritaire signée en juin 2005 avec les représentants syndicaux des gardiens et gardiennes d’écoles (CAP défendant le repos hebdomadaire de ces derniers), la Mairie de Paris, à travers la Direction des Affaires Scolaires, refuse leur renouvellement de Convention à de nombreuses associations, lesquelles sont priées du jour au lendemain de vider les lieux le samedi et le dimanche, ceci sans attribution de local de remplacement.

Aucune association n’a été prévenue directement en juin 2005. Les premiers documents datés du 28 septembre dernier ont été remis au « R2C2 » (Royal Rouvier Chess Club) le 4 octobre, alors que les animateurs et entraîneurs avaient déjà été engagés et que les 70 adhérents (40 jeunes et 30 adultes) avaient payés leur cotisation et débutés cours et compétitions.

La Convention d’Utilisation des Locaux Scolaires du « R2C2 » - unique club de jeu d’Échecs issu du périscolaire parisien – attribuée depuis 2002, sera examinée dans les 15 jours. Il ne fait aucun doute qu’elle sera revue à la baisse, notamment en ce qui concerne le samedi et le dimanche, journées importantes de notre activité puisqu’elles touchent les moments essentiels de notre vie échiquéenne : les cours sont dispensés à nos 40 enfants le samedi après-midi et les compétitions ont lieu le dimanche.

Cette décision est d’autant plus aberrante que la Mairie de Paris sacrifie sur l’autel administratif non seulement une activité pédagogique et valorisante, mais aussi des années d’engagement et de bénévolat, bénévolat dont elle s’est fait l’apôtre et le chantre lors de la préparation de Paris 2012. Et que, douce hypocrisie, le Maire de Paris, encourage par une distribution annuelle de médailles à l’Hôtel de Ville...

Échéphilement et cordialement

Dominique BENOISTE
Président R2C2

Plus d'info :
+ Le site officiel du Royal Rouvier Chess Club.

jeudi, 20 octobre 2005

Vous aimez votre boîte ?

...Vous êtes dans une entreprise formidable dont les locaux se trouvent dans le 14e arrondissement ? C'est le moment de le dire puisque c'est aujourd'hui la Fête des Entreprises !

Pierre

mardi, 18 octobre 2005

Au théâtre ce soir (gratos !)

Le comédien et metteur en scène Frédéric Almaviva, natif du XIVe, est l'animateur de l'émission Théâtre en Direct, seule émission de théâtre hebdomadaire du PAF.
 
Les pièces sont jouées en public au Mac-Mahon, célèbre cinéma d'art et d'essais des années 1930, transformé en théâtre pour l'occasion. Elles sont retransmises en direct le mercredi soir à 21 heures sur Direct8, nouvelle chaîne de TNT. Attention, bon plan : vous pouvez assistez gratuitement au spectacle et à l'émission !

La programmation alterne pièces classiques et auteurs vivants que nous voulons faire connaître. Toutes ces pièces, accessibles au plus grand nombre, portent un regard sur le monde et interrogent notre époque. C’est pourquoi les représentations sont en général suivies d’un débat avec des invités : gens de théâtre, bien sûr, mais aussi des témoins et des acteurs de notre époque (journalistes, responsables politiques, historiens, etc.)

A noter, Frédéric Almaviva signera la mise en scène des Justes d'Albert Camus, le 26 octobre prochain...

Pierre

Plus d'info :
+ Cinéma Mac-Mahon, 5 avenue Mac-Mahon Paris XVII, métro Etoile - Arrivez à partir de 20h30 pour retirer vos places...
+ A classer (prochainement) dans vos favoris : www.theatreendirect.org  [ndlr : en ligne dans quelques jours]
 + Programmation :
> 19 octobre - Aux Survivants de Nicole Gros
Mise en scène : Nicole Gros, costumes Frédéric Morel
Avec : Anne Barthel, Johann Corbeau, Monique Darpy, Nicole Dubois, Janine Souchon, Michel Wyn
Regards sur l’Occupation : 50 ans ont passé et les bouches se délient.
> 26 octobre - Les Justes d’Albert Camus
Mise en scène : Frédéric Almaviva
Avec : Anatole de Bodinat, Benoît Dugas, Nicole Gros, Philippe Sivy, Florence Tosi
Un groupe armé prépare un attentat contre un pouvoir autoritaire. La violence peut-elle servir la justice ? La réflexion de Camus sur le terrorisme est plus que jamais d’actualité.
> 2 novembre - La Dispute de Marivaux
Metteur en scène : Nicole Gros
Costumes, décor : Frédéric Morel, conseiller musical : Marc Laurette
Avec : Arnaud Denis (Azor), Marine Grandibleu (Hermiane), Jonathan Max Bernard (Mesrin), Paul M’belel (Mesrou), Sabine Pakora (Carise), Elise Rouby (Adine), Thibaud Valérian (le Prince), Elisabeth Ventura (Eglé)
« C’est la nature elle-même que nous allons interroger… Le monde et ses premières amours vont réapparaître à nos yeux tels qu’ils étaient ou du moins tels qu’ils ont dû être … »
> 9 novembre - Concessions de Thierry Samitier
Mise en scène : Marie-Sohna Condé
Avec : Ian Delépine, Thierry Samitier, Sara Viot
Un jeune auteur trouve enfin un producteur pour sa pièce, lequel s’empresse de lui imposer sa femme dans le rôle principale. Une comédie drôle et grinçante.
> 16 novembre - L’Histoire d’un merle blanc d’Alfred de Musset
Mise en scène : Anne Bourgeois
Avec : Stéphanie Tesson
Fable animalière auto-biographique qui dépeint les amours malheureuses de Musset avec Sand et ses déboires d’auteur incompris. Cette épopée miniature fait surgir une galerie très réjouissante de volatiles.
> 23 novembre - Les émigrés de Slavomir Mrozek
Mise en scène de Jean-Luc Jeener
Avec : Florent Guyot et Bernard Mallek
Deux émigrés, un intellectuel et un ouvrier, partagent misère et solitude et se déchirent. Cette pièce,la plus connue du grand dramaturge polonais, nous entraîne dans une inexorable mise à nu.
> 30 novembre 2005 - Le triomphe de l’amour de Marivaux
Mise en scène de Jean-Luc Jeener, assistante : Céline Caretti, Costumes : Catherine Lainard
Avec : Marc Courivaux, Véronique Dargance, Pauline de Meurville, Laure Maturier, Antoine Mory, Alexandre Mousset, Philippe Seurin
Une des comédies de mœurs les plus profondes du XVIIIème siècle
> 7 décembre - La séparation de Jean-Paul Zennacker
Mise en scène et interprétation : Jean-Paul Zennacker, assistante Valérie Salé
La querelle entre Pierre Bayle et Pierre Jurieu, deux théologiens protestants qui ont fuit la France de Louis XIV, fait naître une idée moderne : la séparation du civil et du religieux.
> 14 décembre - Théâtre de Jean-Luc Jeener
Mise en scène : Carlotta Clerici
Avec : Anne Coutureau, Jean-Luc Jeener, Laurence Hétier, Marine Mandrila, Christine Melcer, Sonia Nadeau.
Un jeune comédien est entre la vie et la mort après une tentative de suicide. Une réflexion sur le théâtre et sur le sens de l’engagement du comédien.

samedi, 15 octobre 2005

Plurielles 3 à la Galerie du Montparnasse

Du 21 septembre au 30 octobre 2005, l’exposition PLURIELLES 3 organisée à  partir des collections du Fonds municipal d’art contemporain de la ville de Paris est proposée à la Galerie du Montparnasse ainsi qu’à la Cité Internationale des Arts et la Fiac. Elle a pour objectif de proposer aux visiteurs des œuvres de création contemporaine.

Le dossier de presse souligne que l’accrochage à la Galerie du Montparnasse proclame délibérément la fin de l’autonomie de l’œuvre d’art, qui ne peut plus faire abstraction du contexte dans lequel elle s’expose. Les œuvres présentées ne contiennent plus leurs modalités d’existence dans les limites de leur cadre, elles s’en échappent pour venir questionner le « champ élargi de la peinture ». Ainsi les cadres (Curlet), la porte (Doléac) et les miroirs (Joumard) s’apparentent à des allégories distanciées de la peinture, tout en dialoguant avec l’espace d’exposition. Jouant de la transparence, du réfléchissement, de l’illumination ou de la déconstruction, ces œuvres engendrent une relation ambiguë au lieu qui est tout à la fois le white cube nécessaire à leur avènement et un espace soumis aux variations lumineuses et à la déambulation du spectateur.

A découvrir les yeux grands ouverts.

Sylvain

Plus d’info :
+ Galerie du Montparnasse du 5 octobre au 30 octobre 2005 - Galerie du Montparnasse, 55 rue du Montparnasse (voir le plan du quartier) - Métro E. Quinet - Tous les jours de 14h à 19h - Entrée libre.
+ Consultez le dossier de presse de la Mairie de Paris...


vendredi, 14 octobre 2005

Bibliothèques du 14ème : mode d'emploi

Plus de 55 bibliothèques réparties sur tous les arrondissements de la capitale vous permettent d’emprunter des livres gratuitement pendant plusieurs semaines.

Pour l'inscription, c'est très simple : il suffit de présenter une pièce d’identité et une attestation de domicile (voici un modèle à télécharger).

La carte est valable une année pour toutes les bibliothèques municipales.

Dans notre arrondissement, il existe plusieurs bibliothèques. Voici leurs adresses et horaires d'ouverture :

Bibliothèque Vandamme
80, avenue du Maine (voir le plan du quartier) - 75014 Paris
Tél. 01 43 22 42 18
Métro : Gaîté-Montparnasse
Bus : 28-58-91-92-94-95-96
Horaires:
mardi  12h - 19h
mercredi 11h - 19h
jeudi 12h - 19h
vendredi 12h -  19h
samedi  11h - 18h

Bibliothèque Plaisance
5, rue de Ridder (voir le plan du quartier) - 75014 Paris
Tél. 01 45 41 24 74
Métro : Plaisance
Bus : 62
Horaires :
> Adultes, discothèque
 mardi  12h - 19h
mercredi 10h - 19h
jeudi 12h - 19h
vendredi 12h - 19h
samedi  10h - 17h 
> Jeunesse
mardi  14h - 19h
mercredi 10h - 19h
jeudi 14h - 19h
vendredi 14h - 19h
samedi  10h - 17h


Bibliothèque Georges Brassens (uniquement des livres)
38, rue Gassendi (voir le plan du quartier) - 75014 Paris 
Tél. 01 53 90 30 30
Métro : Denfert-Rochereau - Mouton-Duvernet
Bus : 28 - 38 - 58 - 68 – 88
Horaires :
> Adultes
mardi  10h - 19h
mercredi 10h - 19h
jeudi 13h - 19h
vendredi 13h - 19h
samedi  10h - 18h 
> Jeunesse
mardi  16h - 19h
mercredi 10h - 19h
jeudi 16h - 19h
vendredi 16h - 19h
samedi  10h - 18h
 
Si vous cherchez un livre en particulier, vous pourrez consulter le catalogue des bibliothèques directement sur internet. Il vous sera indiqué si le livre est disponible et dans quelle bibliothèque il se trouve. Lien direct en cliquant ici !

Sylvain

Plus d’info :
+ Sur la page "bibliothèque" du site de la Mairie de Paris...