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dimanche, 20 septembre 2020

Rendez-vous théâtre

Le 25 septembre aura lieu à 20H45 au théâtre de l'Atrium à Chaville le spectacle intitulé " Un amour de Frida Kahlo", première pièce pour la scène de l'écrivain Gérard de Cortanze lauréat de nombreux prix littéraires.

Il raconte les amours passionnées et éphémères entre cette grande et courageuse artiste qu'est Frida Kahlo et Léon Trotski l'exilé pourchassé par la Guépéou. Cela se passe à Mexico en 1937 au moment où Trotski et Natalia Sedova sont hébergés chez Frida et son mari Diego Rivera.

C'est un portrait d'une femme de 29 ans qui malgré un terrible accident aime profondément la vie, notamment boire et chanter que dresse ici Gérard de Cortanze.

" On rit beaucoup dans cette pièce où l'amour n'est jamais présenté comme un ouragan destructeur explique t-il. Interrogée sur cette période de sa vie, Frida dira un jour à un journaliste qu'elle fut une des plus fécondes de son existence. Sa conclusion " Pourquoi voudrais-je des pieds puisque j'ai des ailes pour voler"?"

Gérard de Cortanze est un des grands spécialistes de cette artiste et il a récemment sorti aux éditions libretto un livre englobant 7 chapitres intitulé " Frida Kahlo, le petit cerf bléssé" . Il y montre notamment comment la peinture l'a sauvée du désarroi, et comment toute petite elle était déja prédestinée à souffrir. Et combien elle a aimé Diego Rivera malgré tout le mal qu'il lui a fait. Un joli petit livre qui donne envie d'aller voir sa pièce de théâtre, celle-ci  promettant d'être un beau spectacle par le biais d'un point de vue riche et détaillé...

Agnès Figueras-Lenattier

12:00 Publié dans Théâtre | Lien permanent | Commentaires (0)

jeudi, 10 septembre 2020

Le P'tit Cirk et son spectacle Les dodos

cirque, guitare, acrobatiescirque, guitare, acrobaties           La Compagnie " Le P'tit Cirk qui présente en ce moment un spectacle au Théâtre Montfort existe depuis 2004 sous la houlette de Danièle Le Pierrès et Christophe Le Large. Ceux-ci après 17 ans d'expériences diverses notamment aux Arts Sauts, au cirque Arkao, au cirque du soleil et j'en passe ont décidé d'acheter un chapiteau et de créer " Le P'tit Cirk".

Ayant tous deux fréquenté la même école celle des Arts du cirque de Châlons en Champagne qui forme à de nombreuses disciplines artistiques, et nantis d'une formation en trapèze, ils font partie de la mouvance du nouveau cirque apparu dans les années 80. Faire des castings n'est pas dans leur habitude, et ils préfèrent largement le coup de cœur relationnel et fonctionner au feeling.

" Les dodos" est le sixième spectacle dont ils s'occupent et pour la première fois ils ne sont pas sur la piste s'étant simplement occupés avec Sky de Sella de la mise en piste. Au cours des représentations précédentes, ils ont présenté notamment un duo de clowns sur le thème d'Adam et Eve, un travail sur la gémellité, et un spectacle avec leur fils.

" Les dodos" qui dure jusqu'au 20 septembre est la réunion de cinq jeunes artistes qui se sont connus par différents réseaux et qui ont eu envie de monter quelque chose ensemble. Ce cirque est inspiré du " dodo" oiseau disparu de l'île Maurice. Un peu comme un animal totem très maladroit qui ne savait pas voler, et si gentil qu'il se faisait manger par tout le monde. Une analogie en rapport avec la maladresse que l'on peut retrouver dans l'acrobatie mais que ces cinq amis maîtrisent très bien. L'idée de départ était d'apprendre la spécificité de chacun, de les mélanger et de travailler sur la survie. Mais elle s'est transformée en une recherche liée aux instruments de musique notamment les guitares.

" Il y a dans ce groupe explique Christophe Le Large un musicien guitariste Charlie (qui d'ailleurs a appris l'acrobatie pour l'occasion) qui possède une très belle guitare de concert, ce qui a donné aux autres l'envie de s'amuser avec des guitares. Mais Charlie n'a pas voulu qu'on touche à la sienne, et ils ont tous essayé avec d'autres guitares. Or, à un moment donné, Louison a parlé de mettre plein de guitares sur la piste. Une suggestion qui a fait son chemin et qui a abouti à la présence en fin de spectacle de 56 guitares en passant par le violon et la contrebasse.… L'on peut assister entres autres à des lancers de guitares spectaculaires, à des portées acrobatiques, de belles cascades, des portiques coréens. Avec en plus de l'humour venu au fil des improvisations et d'un travail d'observation, et de regards complices. Quant à la musique au départ composée par Charlie et ensuite par la troupe, elle accompagne bien ce spectacle.

Bref, les émotions sont là et l'on sent un fort esprit de groupe et une joie de travailler ensemble. Saluons aussi Alice seule avec 4 gaillards, qui avoue que ce n'est pas toujours de tout repos. " Lorsque l'on est en forme c'est chouette, mais si on est fatigué c'est plus compliqué. Elle confesse d'ailleurs que parfois la douceur d'une présence féminine lui manque, mais philosophe elle conclut : " Je ne peux me plaindre car je l'ai choisie cette vie…"

Agnès Figueras-Lenattier

 

Plus d'infos

Théâtre Montfort rue Brancion

Métro : Porte de Vanves

 

lundi, 24 août 2020

La petite fille de Monsieur Linh

ph.claudel,roman,adaptation théâtraleph.claudel,roman,adaptation théâtraleSylvie Dorliat a été subjuguée lorsqu'elle a lu " La petite fille de Monsieur Linh", roman de Philippe Claudel. Très vite, l'idée de l'adapter pour la scène et de l'interpréter s'est imposée à elle. " Le travail présomptueux et déchirant de l'adaptation" explique t-elle " et des " satanées coupes", sans trahir, sans mutiler, tout en préservant la grâce et la pudeur de l'écriture de l'auteur"…

Cette histoire évoque l'arrivée de Monsieur Linh en Occident qui a fui son pays détruit par la guerre. Il porte dans ses bras sa petite fille nommée Sand Diu. Il va faire la connaissance de Monsieur Bark avec qui une amitié très forte va se nouer.

Pour qui n'a pas lu ce roman, cela donne vraiment envie de le lire. Pour celui qui l'a déjà lu, c'est sûrement un vrai plaisir de le voir interprété et mis en scène de cette aussi belle manière. En compagnie de jeux d'ombres et de lumières, parfois de silences et d'un fond musical, Sylvie Dorlat se donne à fond, et joue de manière subtile avec son corps et sa voix. On sent qu'elle a vraiment adoré ce livre, et elle se transforme en une conteuse puissante et attendrissante.

Grâce à sa collaboration avec Célia Nogues la metteur en scène, cette histoire d'exil se révèle très poétique, et les paroles imagées de Philippe Claudel font réfléchir sur le sort des réfugiés. Vraiment magnifique…

Agnès Figueras-Lenattier

Plus d'infos :

Reprise le 26 août avec version un peu différente

Le Lucernaire 53 rue Notre-Dame-Des-Champs

Métro : Vavin, Notre-Dame-Des-Champs

mercredi, 12 février 2020

Rendez-vous théâtre avec l'oeil éclairé d'Agnès notre critique du 14ème

Le K

Belle présence du comédien Grégori Baquet ( Molière 2014 de la " Révélation"et nommé comme meilleur comédien aux Molières 2018-2019) qui interprète ici 13 histoires du célèbre recueil de nouvelles " Le K" de l'écrivain et journaliste italien Dino Buzzati. Celles-ci sont adaptées et co-mises en scène par Xavier Jaillard (Molière 2008 de "L'adaptation" pour " La vie devant soi").

Bref, un duo de choc et ce n'est donc pas étonnant si l'on se régale à l'écoute et à la vue de ce spectacle. Dino Buzzati qui a également écrit le roman très connu " Le désert des tartares" aime recourir au fantastique et à l'humour. Dans la nouvelle la plus connue "Le K", il imagine l'histoire d'un petit garçon Stefano poursuivi par un monstre marin qu'il fuira toute sa vie. Jusqu'au moment où ce squale lui annoncera qu'il ne voulait pas le dévorer mais lui remettre une petite " Perle de la Mer" procurant à son propriétaire fortune, puissance, amour et paix de l'âme. Mais trop tard, c'est le destin… Cette fatalité présente dans la condition de l'humain fait partie des thèmes chers à Buzzati. Parmi les autres sujets de prédilection de cet auteur mis ici en avant : la création et son amie la solitude..

L'imagination fertile et drôle de Buzzati résonne ici avec brio grâce au beau travail de Grégori Baquet et Xavier Jaillard. Grégori Baquet semble totalement en accord avec les personnages de Buzzati et la joie qu'il ressent à les jouer fait plaisir à voir. Il a d'ailleurs avoué un jour à Xavier Jaillard qu'il avait l'impression de ne pas jouer mais de vivre Buzzati,." Cette confession a fait dire au metteur en scène qu'ils pouvaient peut-être présenter la pièce au public"…

Et c'est vraiment une réussite. Grégori Baquet dont la diction est excellente, est agile, et vraiment à l'aise quant à la maîtrise de ses mimiques, de ses mouvements et déplacements. Son regard est très expressif, et sa mine joviale et ses rictus correspondent bien à la verve humoristique de l'auteur. Le décor consistant en une grosse lettre le K est fort bien exploité par le comédien qui l'utilise à bon escient en fonction des histoires.

Bravo à ce duo qui nous enchante pendant une heure et dont la belle complicité sous-jacente retentit à merveille sur scène….

Plus d'infos :

Théâtre Rive Gauche 6 rue de la Gaité

Métro: Edgar Quinet, Gaité, Montparnasse Bienvenüe

 

Autre spectacle dans la même rue qui m'a laissée sans voix tellement c'est magnifique " Marie des Poules" spectacle sur la gouvernante de Georges Sand. C'est au Petit Montparnasse et tout est splendide : texte, mise en scène, interprétation... 

Agnès Figueras-Lenattier

 

 

01:00 Publié dans Théâtre | Lien permanent | Commentaires (0)

mardi, 28 janvier 2020

Rendez-vous théâtre avec l'oeil éclairé d'Agnès notre critique du 14ème

" Toulouse Lautrec chez Maxim's", et " Jacqueline Kennedy, la Dame en rose"

Au théâtre Maxim's, un endroit enchanteur où l'on ressent une certaine griserie, se jouent en ce moment deux spectacles très différents mais tout aussi attractifs. L'un "Toulouse-Lautrec chez Maxim's" , l'autre "Jacqueline Kennedy, la dame en rose" ont été écrits et mis en scène par le dynamique et jovial Gérard Chambre.

Le décor du 1er étage comprenant un magnifique bar anglais, est réservé aux spectateurs de Toulouse-Lautrec, tandis que que ceux de Jacqueline Kennedy ont le plaisir de goûter le charme du rez-de-chaussée. L'idéal puisque les deux spectacles se jouent à la suite, est d'assister aux deux. C'est un vrai plaisir pour les yeux et l'ouïe avec une équipe harmonieuse , gaie et entraînante.

Pour "Toulouse-Lautrec chez Maxim's", Véronique Fourcaud et Gérard Chambre chantent avec une certaine sensualité et coquinerie des chansons amusantes et veloutées accompagnés par un artiste de renom Toulouse Lautrec( Fabrice Coccito) " la star" du Moulin Rouge qui parle notamment de son ami Erik Satie et de son pouvoir auprès des femmes… Sa complicité avec "La Goulue"n'a pas été oubliée…

Quant à "Jacqueline Kennedy la dame en rose", Gérard Chambre a repris des musiques de différentes époques et y a mêlé de jolies paroles, en référence à l'époque de Jacqueline Kennedy, dont le mari disait d'elle qu'elle "apportait de l'élégance à sa présidence". Cette comédie musicale ponctuée de quelques danses permet de mieux se familiariser avec certains épisodes de la vie de cette femme, qui a perdu deux enfants et qui prenait des cours de sirtaki.

Bref, on passe plus de deux heures à observer avec une certaine volupté, cette troupe de qualité qui sait avec un certain brio exploiter la beauté du cadre de chez Maxim's où sont venus Proust, Guitry, Cocteau, Diagilev… . Il serait donc dommage de passer à côté de ces deux soirées que l'on peut aussi goûter en deux fois…

Agnès Figueras-Lenattier

 

Plus d'infos

Théâtre chez Maxim's  3rue Royale

Tous les lundis à 19h et 20h30

Métro : Concorde

 

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vendredi, 17 janvier 2020

Biennale d'art flamenco

Du 26 janvier au 13 février 2020, aura lieu au Théâtre National de Chaillot la 4ème biennale d'art flamenco proposée également conjointement à la Biennale de Séville. Proposant un panorama le plus diversifié possible des flamencos ( huit spectacles endiablés) , elle réunit des artistes d'univers et de cultures en apparence très éloignés.

Parmi ces artistes : Anna Moralès ex-soliste du ballet flamenco d'Andalousie et détentrice du prix Geraldillo de la meilleure danseuse 2018 avec à ses côtés un trio de musiciens et le danseur José Manuel Alvarez. Olga Pericet allongée à même une table qui manie castagnettes aussi bien que la bata de Cola… Ou encore le duo Marie-Agnès Gillot et Andres Marin aidés du batteur Didier Ambact et du contrebassiste Bruno Chevillon.

`Bref, un superbe panel mettant à l'honneur cette magnifique et sensuelle danse qu'est le flamenco...

mercredi, 15 janvier 2020

Hair, The Musical

En ce moment dans le 6ème arrondissement parisien, se joue la célèbre comédie musicale " Hair" composée en 1967 par Galt Mac Dermot qui a notamment lancé la carrière de Julien Clerc. Sont mis en scène de jeunes hippies vivant à New York en pleine guerre du Vietnam. Leur souhait est de vivre au sein d'un monde sans consumérisme, sans racisme et sans militantisme...

Cette histoire où se profile l'image de la contestation des années 60 a fait scandale à un moment donné à cause entre autre de son irrévérence. Adaptée au cinéma par Milos Forman, cette pièce a fait le tour de L'Europe et est présente au MPAA Saint-Germain jusqu'au samedi 18 janvier. En anglais avec sous titres en français…

4 rue Félibien Métro : Mabillon

 

22:41 Publié dans Théâtre | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 05 janvier 2020

Rendez-vous théâtre avec l'oeil éclairé d'Agnès notre critique du 14ème

Léonard de Vinci

Un petit bijou cette pièce de Brigitte Kernel et Sylvia Roux réalisée d'après le roman de Brigitte Kernel sélectionné par la librairie du Louvre et le Clos-Lucé dans le cadre de la granbde rétrospective Léonard de Vinci.

Tout y est : un texte intéressant, une belle interprétation avec une diction quasiment parfaite et des émotions en pagaille, un décor artistique et créatif, un éclairage bien adapté à la mise en scène elle-même pleine de joliesse…

Tout commence lorsque Léonard à 9 ans et qu'il est élevé par un père tyrannique et violent. Puis c'est le grand-père qui prend le relais. Celui-ci est cultivé, amène et va inciter son petit fils à s'élever spirituellement et à exploiter ses nombreuses qualités.

Léonard va donc s'épanouir intellectuellement et trouver une certaine tranquillité d'esprit en observant la nature et en débutant dans ses inventions. Très curieux des chauve-souris, des animaux fantastiques, il va se confier à son ami intime : un grand cahier noir. Il va y dépeindre ses pensées, ses observations, et parler de sa grande attirance pour le dessin et l'anatomie. On le verra même évoquer sa technique quant à la fabrication de sa palette. C'est instructif, poétique, et la douce et agréable musique qui accompagne le tout apporte encore plus de féérie. Vraiment un régal!...Le dimanche à 17h jusqu'au 25 janvier
Agnès Figueras-Lenattier

 

Plus d'infos :

Studio Hebertot 78 bis bd des Batignolles

Métro : Rome, Villiers

 

 

 

 

14:18 Publié dans Théâtre | Lien permanent | Commentaires (0)

lundi, 02 décembre 2019

Rendez-vous théâtre avec l'oeil éclairé d'Agnès notre critique du 14ème

Je m'appelle Erik Satie comme tout le monde

En ce moment et encore tout le mois de décembre, a lieu au théâtre de la Contrescarpe une fiction originale et surprenante sur Erik Satie dont on connaît la relation amoureuse avec la peintre Suzanne Valadon. Celui qui l'incarne est un ancien pensionnaire de la Comédie Française Elliot Jenicot qui fait preuve d'aisance et d'agilité, et le représente bien avec sa singularité, sa folle fantaisie. On le voit, toujours en quête de son parapluie, évoquer ses moments passés au " Chat noir", sa relation avec Debussy, Ravel, Picasso et son duo avec la jeune Anaïs Yazit, infirmière, est convaincant. En fond sonore, quelques airs du compositeur, et durant la pièce, sur écran, des illustrations amusantes de Suki. Un mélange intéressant, où expression corporelle, nostalgie et affectivité s'entremêlent laissant découvrir quelques aspects peu connus de la vie du musicien. Le texte de Laetitia Gonzalbes également metteur en scène de ce spectacle a de l'attrait et la mise en scène bien que laissant planer sur le plateau une histoire pas toujours très gaie, emporte le spectateur vers une certaine légèreté… Habile et singulier!...

Agnès Figueras-Lenattier

Théâtre de la Contrescarpe 5 rue Blainville

Métro : Cardinal Lemoine, Monge

mercredi, 27 novembre 2019

Rendez-vous théâtre avec l'oeil éclairé d'Agnès notre critique du 14ème

Deux spectacles musicaux, l'un " Looking for Beethoven", l'autre " Wilde Chopin" se jouent actuellement au Ranelagh, coquet théâtre situé dans le 16ème arrondissement. Les deux valent le détour, mais sont un peu gâchés par la présence d'un ennemi juré du théâtre : le micro…

C'est bien dommage et que ce soit Pascal Amoyel, interprète de Beethoven, ou Michel Voletti qui lit " De Profundis" la très belle lettre d'amour d'Oscar Wilde écrite en 1897 à son ami Lord Alfred Douglas , aucun des deux artistes n'aurait du y recourir.

Pascal Amoyel notamment Chevalier de l'ordre des Arts et des Lettres qui évoque avec passion et lyrisme Beethoven, est un excellent pianiste et écouter des extraits des 32 sonates est un vrai plaisir. Qu'aurait donné sa voix si elle n'avait pas été sonorisée, il aurait été intéressant de le découvrir!...

Quant à Michel Voletti, sa voix apparemment assez puissante aurait sûrement laissé place à un résultat moins artificiel et plus agréable à entendre sans ce fameux micro… Il est accompagné par Mickaël Lipari-Mayer également très bon pianiste, qui nous régale avec Chopin et quelques autres musiciens comme Schubert, Schuman, Ravel, Bach…

Bref sans cet "objet de malheur", on aurait pu parler d'un véritable enchantement…

Agnès Figueras-Lenattier

Plus d'infos

Théâtre du Ranelagh 5 rue des Vignes

Métro : Passy, La Muette

 

 

02:14 Publié dans Théâtre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : beethoven, wilde, chopin