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samedi, 26 août 2006

Tramway : une randonnée pour (re-)découvrir les Maréchaux

Une idée de sortie pour ce weekend ? Demain, dimanche 27 août, de 14 h à 17 h , l'équipe de la Mission Tramway invite les amateurs de plein-air à redécouvrir les boulevards des Maréchaux et leurs environs, en partenariat avec le Comité de Paris de la Fédération Française de Randonnée Pédestre.

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Le rendez-vous est fixé sous le drapeau des Randos pour tous, à la sortie du Métro Porte de Vanves, au tout début de la rue Raymond Losserand. Le parcours représente 7,9 km, soit l’exacte distance de la ligne du tramway T3. Il serpente de part et d’autre des boulevards des Maréchaux, en passant d’un lieu insolite à une curiosité architecturale ou historique, d’un jardin à une ruelle… : rue des Arbustes, rue Didot, rue des Plantes, villa d’Alésia, Square du Serment de Koufra, Réservoirs de Montsouris, rue du Douanier Rousseau… et, pour terminer, une halte culturelle à la Cité Internationale Universitaire de Paris ! Alors, êtes-vous sûrs de ne pas vouloir prendre l'air ?

Pierre

Plus d'info :
+ Les photos de la première balade du 6 juillet dernier dans le XVe arrondissement.
+ Deux autres promenades seront organisées pour découvrir les aménagements : le 1er octobre dans le 13e arrondissement et le 22 octobre un parcours transversal vous permettra d’apprécier la totalité de l’itinéraire du tramway T3.
+ Notre rubrique "Tramway".
+ Une autre manière de découvrir les Maréchaux...

vendredi, 25 août 2006

Une interview de Pierre Castagnou (Part. VI)

C'est bientôt la rentrée. L'occasion pour Paris14.info de faire le point sur les dossiers en cours dans notre arrondissement avec Pierre Castagnou, Maire du XIVe...

Aujourd'hui, subventions aux associations, accès aux équipements et services municipaux, finances de la Ville...

Paris 14 (P14) : Sur quels critères objectifs nos élus fondent-ils leur décision d'accorder une subvention à une association ou à une entreprise ? Existe-t-il un document type, une "grille d'analyse", permettant en fonction d'éléments prédéfinis (exister depuis plus d'un an, être domiciliée dans le XIVe, avoir X dizaines d'adhérents, avoir des statuts démocratiques, etc.) de demander une aide ou une subvention ? En l'absence d'un tel document, opposable à toutes et à tous, où s'arrête la décision politique souveraine et responsable ? Où commence le clientélisme ?
 
Pierre Castagnou (PC) : Autrefois, les subventions étaient attribuées sur simple demande d’un élu. Il suffisait d’être bien avec tel adjoint pour obtenir une aide !

Les demandes de subventions font désormais l’objet d’une véritable procédure. Il faut remplir un dossier (que chacun peut trouver sur le site de la mairie) et fournir un certain nombre d’éléments administratifs et comptables. L’importance est donnée au projet pour lequel l’aide est sollicitée. Les demandes sont instruites par l’administration municipale. Le dossier est alors transmis à l’adjoint au maire de Paris concerné qui, en lien avec la mairie d’arrondissement, décide de la suite à donner. Les subventions sont votées, après avis du Conseil d’arrondissement, par le Conseil de Paris. Elles sont versées par le trésorier payeur général qui exerce un contrôle sourcilleux. Les contrôles ont été renforcés pour mettre fin aux anciennes pratiques : Cour des comptes, Inspection générale des services de la Ville.

Ce qui prime, c’est bien évidemment l’intérêt pour la collectivité et pour les Parisiens. C’est totalement transparent ! La liste et le montant des subventions attribuées par la mairie de Paris sont d’ailleurs consultables sur le site Paris.fr
On est à mille lieux des pratiques clientélistes et des abus des anciennes équipes municipales.

P14 : Pourquoi les bibliothèques du 14e sont-elles fermées le dimanche ?

PC : La question est en fait celle de l’amplitude d'ouverture des services municipaux et de l’adaptation des horaires aux nouveaux horaires de la Ville.

P14 : Et les piscines, en particulier l’été en période de forte chaleur, le dimanche ou le soir…

PC : C'est une vraie question. C’est le sens de la création du bureau des temps.  Les choses ont commencé à changer : ouverture de bibliothèques entre 12 heures et 14 heures, fermeture plus tardive des piscines… Mais ouvrir davantage les équipements a un coût, car on peut sans doute mieux organiser les équipes, mais il faudra aussi embaucher. L’équipe municipale s’est engagée à ne pas augmenter les impôts.

P14 : Le budget de la Ville ne figure pas dans le document « compte rendu de mandat de Bertrand Delanoë » de l’année en cours. Il n’est pas disponible non plus sur le site de la Ville de Paris… Mais il paraît que le déficit de la ville augmenterait ?

PC : Non, il n’y a pas de déficit !  Contrairement au gouvernement, la Ville doit voter son budget en équilibre, c'est-à-dire que les dépenses ne peuvent pas dépasser les recettes. Par contre la Ville emprunte. C’est vrai. Mais il n’y a rien d’anormal à emprunter pour financer des investissements, qui seront amortis sur plusieurs années.

Le recours à l’emprunt reste extrêmement raisonnable et maîtrisé, Paris a l’un des taux d'endettement le plus faible parmi les grandes villes de France. Il y a aussi une gestion très active de la dette et de la trésorerie, qui permet d’économiser 10 millions d’euros par an. L’agence d’évaluation indépendante Standard & Poors vient à nouveau d’accorder la note "3A" à la Ville de Paris pour la qualité de se gestion.

P14 : Vos prédécesseurs vous ont donc livré des finances saines…

PC : …Disons plutôt qu’ils n’ont pas beaucoup investi ! Et puis les finances de la Ville sont grevées par le désengagement de l’Etat. Tout le monde le dit, même les collectivités de droite. Le gouvernement a confié de nouvelles compétences (RMI…), mais il s’est gardé une partie des crédits qui allaient avec ! Cela représente 150 millions d’euros par an.

P14 : Il a pourtant été inscrit dans la Constitution que tout transfert de compétences doit s’accompagner des ressources afférentes ?

PC : Ce n’est pas respecté. Sont concernés le RMI, la prestation handicapé, etc.…

P14 : L’opposition réclame un audit des finances de la Ville à mi-mandat par une agence indépendante. Pourquoi ne pas lui accorder ?

PC : Ce n’est pas sérieux. On fait des audit en début de mandat pour mieux connaître les choses, pas à mis parcours. La transparence existe. Il y a des débats budgétaires, une commission des finances : tous les chiffres sont disponibles à l’ensemble des élus. Ce n’est pas un audit qui permettrait d’accroître la transparence, ce n’est pas le but d’un audit.

Propos recueillis par Dan Krajcman et Pierre Vallet - cette interview a été relue par Pierre Castagnou

Plus d'info :
+ Transports en commun & déplacements, accessibilité, bilan de la mandature... Lundi prochain, suite et fin de notre interview de Pierre Castagnou.
+ Interview de Pierre Castagnou Part. I / II / III / IV / V...
+ Toutes nos dernières interviews - y compris vidéo.

mardi, 22 août 2006

Mobiliser contre la pollution atmosphérique...

A la veille de l'été, nous vous avons proposé un petit "sondage express" relatif à la pollution atmosphérique... Bilan à 10 jours de la fin du parcours ? Réponse en image.

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...Pour le moment, 136 de nos lecteurs nous ont donné leur opinion en un clic. Comme Morg, vous souhaitez nous en dire plus ? Vous avez la parole (cliquez sur "commentaire" ci-dessous). Coup d'épée dans l'eau ? Peut-être... Mais la sensibilisation de nos concitoyens reste un travail de longue haleine et nous accepterons bien volontiers que vous ajoutiez votre pierre à l'édifice...

Ce débat - eh oui, cela fait encore débat - n'est en tout cas pas près d'être clos. Il devrait même reprendre le dessus à l'approche des échéances électorales de 2007 et 2008 qui nous l'espérons verrons enfin l'enjeu environnemental prendre la dimension qui devrait être la sienne. Le développement durable n'est pas qu'un phénomène médiatique...

D'ici là, nous en serons réduits à compter sur l'artillerie lourde américaine puisque Al Gore, dans un style très Michaël Moore (!) mais également très hollywoodien, se propose avec un certain succès de mobiliser les opinions publiques internationales avec un reportage choc intitulé : "An Inconvenient Truth" ("Une Vérité Embarrassante"). Nous vous en livrons ci-après les deux bandes-annonces.

Spot de 2mn30s

Spot de 30s.

Une méthode de marketing des idées sans doute plus aggressive mais certainement plus efficace. Alors, comme le suggère NetPolitique.net, et si Nicolas Hulot s'y mettait ?

Pierre Vallet

Plus d'info :
+  An Inconvenient Truth, sortie le 11 octobre 2006. Site officiel en cliquant ici...

dimanche, 20 août 2006

3 jours 3 € au cinéma, ca commence aujourd'hui !

Bien. Rappelons le principe de l'opération : 3 € pour tous et pendant 3 jours dans tous les cinémas parisiens... Après sa création en 2002 et le succès rencontré l’année dernière (275.000 spectateurs) la Mairie de Paris, en collaboration avec la Fédération Nationale des Cinémas Français, renouvelle l’opération 3 jours 3 € les 20, 21 et 22 août prochains, pour clore l’été et relancer la fréquentation cinématographique de la rentrée.
 
Pendant 3 jours, cette manifestation s’adresse à tous les publics et concerne toutes les salles de la capitale. Chacun pourra se rendre dans l’ensemble des 376 salles parisiennes, pour 3 € la place, à toutes les séances.

La simplicité de cette formule permet ainsi, à tous les spectateurs de satisfaire leur curiosité et à tous les films de rencontrer le public le plus large, pour découvrir en cette fin d’été, les films attendus de la rentrée, parmi lesquels : La Science des Rêves de Michel Gondry, Ca brûle de Claire Simon, J’invente Rien de Michel Leclerc, Miami Vice de Michael Mann, etc.

Camille

Plus d'info :
+ Une bande annonce de 49 secondes conçue et réalisée par Jean-Paul Goude assure la promotion de cette opération. Composée de saynètes de films célèbres et contemporains se répondant les unes aux autres, elle permet notamment de revoir des extraits de films comme : Ascenseur pour l’Echafaud, Les 400 coups, Mission Impossible 2, Palais Royal, Les Bronzés 3, Nos voisins les Hommes, Fauteuil d'orchestre...
+ Retrouvez la liste des salles et le film annonce sur le site www.cinema.paris.fr...
+ ...Et dans le XIVe arrondissement vous pourrez vous rendre dans les Cinémas suivants :
- le Denfert (1 écran) - 24, place Denfert - 01 43 21 41 01
- l'Entrepot (3 écrans) - 7/9, rue Francis de Pressense - 01 45 40 07 50
- le Gaumont Alésia (7 écrans) - 73, av. du Gal Leclerc - 0892 696 696
- le Gaumont Parnasse ( 12 écrans) - 3, rue d’Odessa - 0892 696 696
- les 7 Parnassiens (7 écrans) - 98, Bld du Montparnasse – 0892 68 81 07
- le Miramar (3 écrans) - 3, rue du Départ - 08 36 68 04 73
- le Mistral (5 écrans) - 70, av Gl Leclerc - 08 36 68 04 73
- les Montparnos (4 écrans) - 16, rue d’Odessa - 08 36 68 04 73.

jeudi, 13 juillet 2006

13 et 14 juillet : feux d'artifices, lampions, flons flons, etc.

La Fête Nationale approche. Comme chaque année, les petits malins en quête d'un beau feu d'artifice et qui souhaitent échapper à la multitude aux pieds de la tour Eiffel pourront se rendre demain soir place de Catalogne où se massent traditionnellement les habitants du quartier (la preuve !)... Attention : le feu d'artifice de la tour Eiffel débute aux alentours de 22h30 et nous vous conseillons de vous approcher de la place de Catalogne un peu avant car l'année dernière, la police à coupé l'accès à cette place dès 21h30.

...D'autres petits malins sortiront les vélos, traverseront les Maréchaux et le Périphérique pour assister dès ce soir aux différentes festivités montrougiennes ou malakoffiottes (ça s'invente pas...) :
- A Montrouge, tout commence sur la place Emile Cresp où, au milieu des fanions bleu, blanc, rouge, vous pourrez danser sur vos airs préférés dès 21h. Le spectacle musical accompagné par un feu d'artifice débutera, quant à lui aux alentours de 23h à partir des jardins de l'hôtel de ville.
- A Malakoff, un grand bal animé par l’orchestre Cristal aura lieu de 21 h 30 à 2h du mat', place du 11 Novembre... Le traditionnel feu d'artifice (sur le thème de Mozart) sera quant à lui tiré à partir de 22h30 depuis le stade Marcel Cerdan. Il sera suivi à partir de 23h d'une retraite aux flambeaux...
- Il y a généralement d'autres festivités à Gentilly - au complexe sportif Maurice Baquet, 76 avenue Raspail avec à 21 h un bal populaire puis à 22 h 30 avec un feu d'artifice - mais le site Internet de la Ville ne confirme ni l'horaire ni le lieu...

Vous souhaitez rester dans le XIVe et rêvez de vous la jouer Padam, Padam et les Flons Flons du bal ? Deux rendez-vous à vous signaler :
- ce soir, un repas de quartier et bal populaire au Moulin à café (9, place de la Garenne)... Plus d'infos au 01 40 44 87 55.
- demain soir dès 19h, place Jacques Demy (place du Marché de la Mairie du XIVe) où à l'initiative du Conseil de quartier Mouton-Duvernet, vous retrouverez une animation musicale avec DJ et tout et tout...

Allez, joyeuse fête nationale à toutes et à tous...

Pierre

Plus d'info :
+ Si vous souhaitez tout de même vous aprocher de la tour Eiffel, jetez un coup d'oeil ici...

 

lundi, 10 juillet 2006

Le cinéma (et les DVD) de Jive : juillet 2006

Chaque mois, Jive, notre cinéphile quatorzièmois, nous livre ses critiques de DVD, de ses bons plans... En juillet, nous poursuivons pour une petite chronique estivale avant de vous retrouver en Août. ...D’ici là, bonnes vacances à vous tous ... Jive

LONESOME JIM (MK2)
Réalisateur : Steve BUSCEMI - Acteurs : Liv TYLER…

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Résumé : Las de sa vie de promeneur de chiens à New York, Jim, 27 ans, regagne à contrecoeur l'Indiana rural où il est né. De retour dans sa chambre d'enfant, il retrouve vite les raisons de son départ : l'amour étouffant de sa mère, la présence effacée de son père, les frasques immatures de son oncle. Lorsque son frère est victime d'un accident de voiture, Jim prend sa place à l'usine de ses parents et accepte de s'occuper de ses deux nièces. Sa rencontre avec une infirmière et son jeune fils le déleste de ses propres angoisses et jette sur sa vie ordinaire une lueur d'espoir...


Critique : Un film touchant, bouleversant qui fait passer du rire aux larmes. Une réalisation très sobre, un film à petit budget tourné en quelques jours et à l’arrivée une petite merveille d’émotion voilà ce que vous réserve ce film d’un acteur épatant qu’on aime retrouver chez Quentin Tarantino, Roberto Rodriguez et chez les frères Coën :Steve Buscemi
Tourné en vidéo numérique, dans une esthétique grisâtre maîtrisée, le film met surtout en valeur ses comédiens
A commencer par le rôle de Jim, écrivain raté, incapable à la fois d'écrire et de se suicider comme Hemingway et la mère, masquant mal son désespoir sous une apparence résolument souriante et optimiste, qui impressionne le plus par le naturel déchirant de son jeu.


Bonus : Lonesome Steve : interview exclusive avec le réalisateur 15') / Kirby's kong : court-métrage, inspiré par un des figurants du film. (6') / Bande-annonce (1'46)

Image : 16/9 compatible 4/3 – Format 1 :77 - Son : VO stéréo 5.1 - Durée: 110 minutes


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BACKSTAGE (TF1)
Réalisateur : Emmanuelle BERCOT - Acteurs : Emmanuelle SEIGNER, Isid LE BESCO

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Résumé : Lucie, 17 ans, est une adolescente "ordinaire". Sa mère, collectionneuse d'autographes, voue un véritable culte à un tas de vedettes et consacre tout son temps libre à ses activités de fan. Mais Lucie, elle, ne disperse pas ses sentiments. De star dans son coeur, dans sa tête, il n'y en a qu'une. Tout le monde le sait. Ses photos recouvrent les murs de sa chambre, les pages de son cahier de texte. Un jour, son destin va la conduire à pénétrer dans la vie de son idole.

Critique : Sélectionné à Venise en 2005, c’est la 3e fois que la réalisatrice retrouve sa comédienne fétiche Isid Le BESCO pour évoquer une nouvelle fois l’adolescence. Cette fois elle plonge son héroïne dans le monde factice du show business. Peu de films se sont intéressés au phénomène des fans si ce n’est le raté fan de Tony Scott. E. Bercot décortique les rapports entre stars et fans... mais aussi sur les dessous du show-business. La réalisatrice nous montre avec brio que la notoriété peut rendre fou, que ce soit l'artiste ou ses fans. Il y’a Beaucoup de clin d'oeil à la carrière d’une chanteuse rousse que je ne nommerai pas… dommage que le film vers la fin s’enlise et que le portrait ne soit pas plus agressif sur ces pseudos stars de la musique où tout est basé sur le marketing et l’image.

Bonus : les coulisses du film : le concert, l’enregistrement de l’émission…

Durée : 1h55 - Format ; 1 :85 DTS et 5 :1 dolby digital

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BULLITT et la HORDE SAUVAGE (Warner)
Réalisateur : Peter YATES et Sam PECKINPAH - Acteurs : Steve MCQUEEN, Jacqueline BISSET - Willaim HOLDEN, Ernest BORGNINE, Warren OATES

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Résumé : Bullitt, un lieutenant de police, est chargé par un politicien ambitieux de protéger Johnny Ross, un gangster dont le témoignage est capital dans un procès où est impliqué l'homme politique. Malgré les précautions prises par Bullitt et ses hommes, Ross est grièvement blessé, puis achevé sur son lit d'hôpital. Bullitt s'aperçoit alors que la victime n'était pas le vrai Ross...

Résumé :  La Horde Sauvage / Au sud du Texas, Pike Bishop et ses hommes s'apprêtent à attaquer les bureaux de la compagnie de chemin de fer. Mais Duke Thornton et ses chasseurs de primes les attendent au tournant. Un bain de sang se prépare

Critique BULLITT : Événement que les ressorties collector de ces deux monstres de cinéma qui ressortent dans des copies éclatantes et restaurées aux petits oignons et bourrés de suppléments.
Est il encore utile de présenter l’inspecteur Bullitt dans ce qui reste une des plus belles poursuites de voitures à ce jour jamais filmée car filmé en temps réel

Un scénario un rien complexe et assez tordu mais dont l’atout est le charisme de Mcqueen qui fait de ce film une référence du polar urbain. La cool attitude du héros sur la music indémodable de Lalo Schiffrin reste à jamais gravée dans la mémoire collective : c’est ce qui s ‘appelle un film Culte.


Critique LA HORDE SAUVAGE : Même si vous n’aimez pas le Western et si vous ne deviez en regarder qu’un seul dans votre vie c’est bien La Horde sauvage. Un opéra de violence dont la scène finale ferait rougir encore aujourd’hui bien des cinéastes. Une mise en scène exemplaire et une direction d’acteurs vénéneuse font de ce film une des référence du cinéma d’aujourd’hui.

Bonus Bullitt : commentaires du réalisateur Peter Yates - Steve MC QUEEN, cool par excellence : documentaire inédit mais un peu trop formaté à mon goût - Avant-garde : la magie du montage : intéressant pour comprendre se fabrique un film après l’avoir tourné.

Bonus Horde sauvage : commentaires audio Nick Redman Paul Seydor - Scènes inédites : pas très nombreuses ni passionnantes - L’ouest selon Sam Peckinpah : documentaire rare + 2 beaux documents d’archives sur le tournage : indispensable à visionner

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ATTENTION LES YEUX

INSEMINOID, L’ EVENTREUR DE NEW-YORK, L’ENFER DES ZOMBIES NEO PUBLISHING

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3 Joyaux de cinéma bis ressortent dans les bacs dans des masters presque impeccables. Le 1er s’inscrit dans la lignée des films qui ont surfé sur le film Alien mais qui a le mérite de s’en démarquer en y apportant son lot de scènes chocs, perverse, voire gore. Le pitch du réalisateur Norman J Warren est assez simple,  une femme se fait violer par un ver extraterrestre tue et dévore son équipage avant d’enfanter 2 horribles jumeaux… Génial. Bref on est dans le n’importe quoi mais ce qui fait la réussite de ce film comme des 2 autres joyaux c’est leur mise en scène et leurs trouvailles dans les soins apportés aux cadres et la lumière.

Après le space opéra gore plongez vous dans la douce ville de NEWYORK ou un Serial Killer qui parle comme un canard s’en prend à de jolies femmes de jour comme de nuit. Les années 80 sont pleins de thrillers urbains comme les tout premiers Abel Ferrara. Lucio Fulci grand spécialiste de films de genres plonge sa caméra dans un NEW YORK rarement filmé de cette façon-là. On assiste presque à un documentaire et c’est ce qui fait la qualité première de ce film. C’est violent, gore, érotique, un vrai film subversif comme on ne sait plus les faire avec toujours des belles idées de cadrages et de mise en scène inventive.

Pour finir en beauté, voilà le fameux ZOMBIE du toujours Lucio FULCi qui se place lui comme la suite du film de Romero. Souvent rebaptisé ZOMBIE 2 Fulci revient ici aux sources du mythe du Zombie en plaçant son action aux Antilles dans l’univers sacré du Vaudou. Sur une île des Antilles, une épidémie transforme les habitants en zombies cannibales. La scène d’introduction est un pur moment d’angoisse ainsi que la scène finale que ne renierait pas le maître du genre Georges A Romero et sa fameuse trilogie des morts vivants. Ne pas rater cette séquence du requin et du Mort vivant, du jamais vu et ça fonctionne bien grâce là aussi à la maîtrise de la mise en scène et des superbes maquillages. L’affiche est bien plus sobre aujourd hui en DVD

Fans de film d’horreurs précipitez vous sur ces perles incontournables du cinéma bis. Vous pourrez enfin jeter vos vieilles VHS des années 80

Jive juillet 2006

Plus d'Infos :
+ Retrouvez toutes les chroniques et interviews de Jive - notre cinéphile quatorzièmois - dans notre rubrique Cinéma.
+ Un cinoche dans le XIVe ? Toutes les séances accessibles en clic dans notre colonne de gauche

samedi, 08 juillet 2006

TéléParis14 : ça marche !

...Vous souhaitez publier des vidéos sur Paris14.info. C'est facile et rapide. La preuve en image avec ces quelques vidéos de Nathan ou Deguy...

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Encore une bonne ambiance proche du bar "Au Métro" à Pernety. Toujours du bonheur ! Et un de plus. Un soir de folie en plus au carrefour Alesia après la demi finale.f

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...Alors TéléParis14, comment ça marche ? C'est très simple. Vous avez un téléphone portable 3G ou une caméra numérique ? Filmez, téléchargez vos vidéos sur http://www.dailymotion.com/, enregistrez-les dans le groupe "Paris14" (en un seul mot) et le tour est joué. Vos oeuvres apparaîtront dans notre vidéoroll (ci-contre colonne de droite) et les meilleures d'entre elles bénéficieront d'une mise en avant en colonne centrale de notre site.

OK, l'image n'est pas toujours diffusable sur votre dernier plasma 127 cm de diagonale... Mais le témoignage sur l'ambiance est là... Alors, interview de votre commerçant favori, reportage sur le Conseil d'arrondissement, chronique rageuse ou louanges sur une modification de voirie, p'tit restau à nous conseiller... Vidéastes en herbe, prenez-vous au jeu ! Utilisez notre nouveau service...

Camille

Plus d'info :
+ Retrouvez les meilleures vidéos du groupe Paris14 dans notre rubrique TéléParis14.
+ Commerçants du XIVe, vous souhaitez publier sur Paris14.info votre page de publicité vidéo : contactez-nous !

vendredi, 07 juillet 2006

Agnès Varda à la Fondation Cartier

Du 18 juin au 8 octobre 2006, la Fondation Cartier pour l’art contemporain invite Agnès Varda à envahir ses espaces d’exposition. L’ÎLE ET ELLE regroupe des installations pour la plupart créées pour l’occasion et ayant toutes pour point de départ l’Île de Noirmoutier, où l’artiste séjourne régulièrement. Cinéaste depuis 1954, Agnès Varda est notamment la réalisatrice de Cléo de 5 à 7 (1961), Sans toit ni loi (1985), Jacquot de Nantes (1990), Les Glaneurs et la Glaneuse (2000). Depuis 2003, elle remet en jeu sa pratique de cinéaste dans de nouveaux dispositifs.

Un livre accompagne l’exposition L’ÎLE ET ELLE. Carnet de notes ou catalogue en préparation, il fait voir les lieux et les gens de l’Île de Noirmoutier qui ont inspiré Agnès Varda. Plus que dans l’île, on circule dans l’esprit vagabond de l’artiste… entre mélancolie et bonne humeur.

À un entrelacs de textes, photographies, maquettes d’installation et images collectionnées s’ajoutent des dessins de son complice Christophe Vallaux qui a su la croquer en plein travail.

medium_agnes_varda_fondation_carti.jpgCinéaste inclassable, Agnès Varda bouleverse dès son premier film tous les codes établis du cinéma traditionnel. Née en 1928 d’un père grec et d’une mère française, elle passe son enfance à Bruxelles. Elle quitte, en 1940, la Belgique bombardée pour rejoindre Sète puis, plus tard, «monte» à Paris où elle étudie à la Sorbonne et à l’École du Louvre. Elle obtient un CAP de photographie et rejoint en 1949 le Festival d’Avignon de Jean Vilar, puis le Théâtre National Populaire, en tant que photographe.

En 1954, elle écrit et réalise son premier film, La Pointe Courte, annonçant par ses audaces formelles la révolution de la Nouvelle Vague. Elle alterne, au long de sa carrière, courts et longs métrages, fictions et documentaires. Depuis quelques années, avec la présentation de Patatutopia sur trois écrans à la Biennale de Venise en 2003, et une exposition à Paris en 2005 à la Galerie Martine Aboucaya, elle décline sa pratique de cinéaste dans des installations vidéo. Elle passe ainsi du domaine du cinéma à celui des arts plastiques.

Mais laissons la parole à la cinéaste...

"J’aime beaucoup la définition du mot île telle qu’apprise à l’école primaire : une étendue de terre entourée d’eau de tous côtés. À Noirmoutier, l’eau, c’est l’océan. J’ai travaillé sur place, comme les peintres sur le motif. Cette île, que Jacques Demy m’a fait découvrir dans les années 60, m’offre des paysages, des décors et des ciels qui m’inspirent autant que les situations locales et les personnes qui y vivent. Plaisirs des découvertes ou surprises amenées par les touristes et campeurs en été. Plaisirs aussi de la solitude et de la mélancolie.

Habitant depuis longtemps la rue Daguerre, à cinq minutes du boulevard Raspail, rien ne me fait plus plaisir que de venir à pied exposer dans mon quartier, à la Fondation Cartier."

Agnès Varda, 2006

Camille

Plus d'info :
+ La Fondation Cartier pour l’art contemporain est ouverte au public tous les jours, sauf le lundi, de 12h à 20h. Droit d’entrée : 6,50 €, tarif réduit* : 4,50 €
+ Fondation Cartier - 261, boulevard Raspail 75014 Paris - tél +33 (0)1 42 18 56 50 fax +33 (0)1 42 18 56 52
Métro Raspail ou Denfert-Rochereau – Bus 38, 68, 88, 91 – RER B: Denfert-Rochereau.

mercredi, 05 juillet 2006

Editions Montparnasse : interview de Renaud Delourme

Ce mois-ci notre invité ciné, c’est Renaud Delourme, directeur des Editions Montparnasse, située à deux pas de l'avenue du Général Leclerc... Interview (*) :

Jive (P14) : Comment devient-on producteur de DVD, et comment est né ce choix ?

Renaud Delourme (RD) : Par goût pour le documentaire et le cinéma évidement, mais aussi avec le sentiment, surtout pour le documentaire, qu’il fallait sortir les programmes de la banalisation des systèmes télévisés de « flux ». Le support VHS puis DVD crée le sentiment de « l’objet » unique. A nous d’en décrire les qualités puis par notre travail d’édition de le rendre visible et accessible.

P14 : Depuis combien de temps êtes-vous installé dans le XIVe arrondissement de Paris et pourquoi cet arrondissement ?

RD : Nous étions à l’origine en 1988 boulevard du Montparnasse côté 6e arrondissement... C’était devenu trop petit. Nous voulions rester dans le quartier. Nous avons cherché pendant un an et en 1998 nous avons  découvert ce lieu, Villa Coeur de Vey, une ancienne imprimerie. C’était tout ce que nous cherchions : un local ouvert sur deux étages, convivial, paisible dans un quartier commerçant et vivant. Agnès Varda m’a envoyé l’an dernier une vieille carte postale ou au début du siècle il y avait là une ferme avec des vaches laitières. On y achetait son lait tous les jours !

P14 : Sur quel film avez -vous travaillé en premier et quelle est votre ligne éditoriale ?

RD : Sur des grands classiques du cinéma français et américains, pour n’en citer que deux Citizen Kane et la Règle du Jeu, sur un grand documentaire aussi, De Nuremberg à Nuremberg de Frédéric Rossif et Philippe Meyer. Cela résume notre politique éditoriale « populaire et de qualité »

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P14 : Comment choisissez vous les films que vous éditez ?

RD : Par goût !

P14 : Combien de titres avez-vous déjà sortis ?

RD : Près de 1000, le catalogue actuel doit compter 600 titres en exploitation.

P14 : Concrètement comment travaillez vous ? Quels sont les titres dont vous êtes le plus fier ?

RD : De Nuremberg à de Nuremberg évidement, parce que personne ne croyait que cela pouvait devenir un best seller, et que le film est formidable, la collection sur l’art d’Alain Jaubert , Palettes. Nous en avons commencé l’édition en 1990. La série débutait, elle était inconnue. Les huit premiers titres passaient à minuit sur France 3 et le samedi dans la fenêtre de la Sept. C’est à partir d’un article dans Télérama d’Olivier Cena, que j’ai regardé les films, pris l’édition et lancé ce qui est devenu l’encyclopédie sur l’art incontournable, 50 films passionnants. Pour moi une manière étonnante en partant de l’histoire d’une œuvre de remonter jusqu’à l’essence du tableau, le replacer dans son contexte personnel, historique. Le contraire de l’indigestion, le regard personnalisé, vivant. Cela a changé ma façon d’aller au musée.

P14 : Quels sont vos regrets ? (je pense notamment la captive aux yeux clairs qui malgré la version longue inédite était une copie désastreuse) ?

RD : C’est un film merveilleux, une ambiance d’aventure. Le dvd restitue cela. Nous n’avions pas les mêmes durées entre la copie restaurée et la version longue. On a mis les deux versions, une version totalement restaurée et l’originale dans son état actuel. Je comprends que certains le regrettent. L’économie de cette édition demeure déficitaire, on a voulu offrir le choix au spectateur.

P14 : Cette année on a vu 3 belles éditions « la règle du Jeu » et le chien Andalou et King Kong pensez vous sortir encore des choses prestigieuses en 2006 ?

RD : Oui, La Chose d’un autre Monde « The Thing » dont on crédite son prestigieux producteur Howard Hawks d’en être aussi le réalisateur. Un grand classique du cinéma français, Drôle de drame de Marcel Carmé avec Louis Jouvet , et une intégrale Flaherty.

P14 : Pour en revenir à la Règle du jeu pourquoi ne trouve -t’on pas d’interview de Paulette Dubost qui  est la dernière grande dame du cinéma toujours en activité à près de 90 ans ? 

RD : Je ne sais pas. Le collector est incroyablement riche néanmoins, avec des analyses fortes d’Olivier Curchod, de Jean Douchet, des documents d’archives rares où Jean Renoir revient 27 ans plus tard au Château de la Colinière et y confronte ses souvenirs de tournage avec Marcel Dalio (film réalisé par Jacques Rivette), un livret d’accompagnement, des montages d’entretiens avec Claude Chabrol, Noémie Lvovsky. La presse a salué l’édition et nous avons été élu meilleur dvd collector de l’année par le Syndicat de la Critique. On ne peut pas imaginer les compléments comme une « masse », ou il faudrait tout avoir ce qui serait à la fois impossible et ridicule. Je  suis contre l’idée de faire du « marketing remplissage » , de submerger le spectateur. On choisit, on sélectionne, on met en lumière en fonction des matériaux dont on dispose et d’une cohérence globale. Olivier Curchod, spécialiste de La Règle du jeu  est formidable, à lui tout seul il apporte presque le nécessaire de compréhension du film…

P14 : Quels sont les projets, les futurs grands titres ?

RD : The Staircase  (Soupçons) de Jean-Xavier de Lestrade (Oscar du meilleur documentaire en 2002 pour Un coupable idéal), une sidérante série documentaire sur le procès d’un riche écrivain accusé du meurtre de sa femme en Caroline du nord aux Etats-Unis. Construit comme un thriller palpitant, The Staircase n’est pas un e fiction mais la réalité : 18 mois d’enquête folle fractionnés en 8 épisodes de 45 minutes mais avec un vrai verdict à l’arrivée. L’intégralité de la série (avec 1h30 de compléments) sort en coffret  dvd et vod le 5 juillet. A voir absolument.

P14 : Comment est née l’idée de réaliser le projet « La terre vue du Ciel » d’après le livre de Yann Arthus Bertrand ?

RD : La force des photos, la passion des regards, l’idée que ces photos nous amenaient à reconsidérer la terre et son avenir.

P14 : Pensez vous renouveler l’expérience de réalisateur ?

RD : Oui, si j’ai le temps un jour

P14 : Votre prise de conscience de l’état de la planète est- elle née de la découverte du livre de Yann Arthus Bertrand ? Avez vous quelques conseils écologiques de base à donner à nos lecteurs ?

RD : Ceux du bon sens et de la responsabilité. On n’échappera pas à la prise de conscience individuelle. On se réfugie trop souvent derrière l’idée que c’est aux autres de se charger de résoudre le problème de nos vies quotidiennes. C’est faux. La Terre est à nous, nous sommes responsables de son devenir, pour nous et les générations futures.

P14 : Comment jugez vous la politique des verts à Paris et plus précisément dans le 14ème ?

RD : Je trouve que l’on doit se concentrer sur les problèmes d’environnement exclusivement, cela touche tous les monde, rassemblera plus facilement l’ensemble des français à l’avenir. Sinon il y a des idées très positives sur l’automobile, la pollution, le tri sélectif…

P14 : Pourriez-vous expliquer en quelques mots la VOD et pourquoi vous y croyez autant ?

RD : C’est internet qui me paraît passionnant. Un outil qui révolutionne la communication, nos habitudes de consommation, nos modes de fonctionnement  pour le meilleur et pour le pire… nous chercherons à trouver le meilleur … la VOD (video on demand, soit le téléchargement payant à la vente de films, documentaires via internet) permet de télécharger un film de manière quasi spontanée et instantanée. L’internet permet en même temps d’avoir accès à une somme d’informations non négligeables, documentation conséquente, extraits, bande annonce. On peut même créer des mini site VOD par exemple, mettre à la disposition du public des documents inédits autour d’une oeuvre, faire découvrir des extraits d’un programme, permettre de n’acheter (pour 3 ou 5 euros) que le premier épisode d’une série par exemple.

P14 : Enfin pour finir quels sont vos endroits favoris dans le XIVe arrondissement ?

RD : La place devant la mairie, et les rues autour, la villa Adrienne hélas maintenant inaccessible, les petites rues entre l’avenue du général Leclerc et l’avenue René Coty, plein d’autres endroits…


Propos recueillis par Jive Juillet 2006
pour Paris14info

Plus d'info :
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samedi, 01 juillet 2006

L'agenda du XIVe : juillet 2006

...Il est complété avec le concours des Internautes qui nous adressent leurs infos.

Voici donc l'agenda du XIVe arrondissement pour le mois en cours et au-delà...

Juillet

01 / Atelier populaire d'urbanisme avec le Collectif Redessinons Broussais - Centre Social Didot-Broussais (96 bis, rue Didot) - 10h.
02 / A l'initiative de l'association la Ronde des Bébés, PicNic au Parc Montsouris - plus d'info sur http://rondedesbebes.free.fr/
03 / Petit-déjeuner de quartier au Moulin à Café - 7h à 9h.
04 / Jardin partagé rue des Thermopyles - réunion au 64, rue de Gergovie - 20h.
05 / Tous en scène de Vincente Minelli, LE chef d'oeuvre de la Comédie musicale - Ciné Club du XIVe avec les Conseils de quartier Didot - Porte de Vanves et Pernety - L'Entrepôt - 7 rue Francis de Pressensé - 20h - 4€.
07 / ...Et 8 juillet, Sandra et Alex - composition blues-rock à l'Express 14 - 73, rue Daguerre - entrée libre - 22h. 08 / A l'initiative du Conseil de quartier Didot-Porte de Vanves, Fête républicaine - square AUguste Renoir - 16h.
09 / Vide-grenier - rue de la Tombe-Issoire.
12 / Avec Aventure du Bout du Monde, les Projections du Mercredi spécial "Népal" - FIAP, salle Bruxelles, niveau inférieur, 30 rue Cabanis, 75014 Paris (Métro : St Jacques ou RER : Denfert-Rochereau) - Tarifs adhérents 3 € & non-adhérents 6 € - 20h30.13 / Repas de quartier et bal populaire au Moulin à café - 9, place de la Garenne - 01.40.44.87.55.
14 / Fête Nationale...
26 / A l'initiative de l'association la Ronde des Bébés,"les parents ont la parole" - réunion ouverte à outs et gratuite - 14, rue du Moulin des Lapins (entrée 140, rue du Château) - 18h30.

Septembre

02 / Atelier populaire d'urbanisme avec le Collectif Redessinons Broussais - Centre Social Didot-Broussais (96 bis, rue Didot) - 10h.
15 / ...Et 16, Le Gaulois & Nanouchka - chanson française à l'Express 14 - 73, rue Daguerre - entrée libre - 22h.
19 / Les éclaireuses et éclaireurs unionistes de France fêtent les 100 du scoutisme tout au long de l'année 2006-2007 - Rendez-vous d'information et d'inscription - temple de Plaisance, 95 rue de l'Ouest - 19h.
21 / ...Et jusqu'au 22 décembre, le "Scrapbook d'Henri Cartier-Bresson" - Une sélection exceptionnelle d'épreuves tirées par Cartier-Bresson lui-même en 1946 pour la préparation de son exposition au Museum of Modern Art de New York - Plus d'info sur www.henricartierbresson.org
23 / ...Et 24, Jeunes Talents du Cirque - Théâtre de la Cité Universitaire Internationale -  17 boulevard Jourdan - 15h.

Octobre

04 / "La soif du mal" d'Orson Welles avec Ciné Club du XIVe avec les Conseils de quartier Didot - Porte de Vanves et Pernety - L'Entrepôt - 7/9 rue Francis de Pressensé - 20h - 4€.
08 / Ciné-ma différence...
09 / ...JUsqu'au 5 novembre, le Révizor de Nikolai Gogol - tarif : de 8,5 à 21 € - Théâtre de la Cité Universitaire Internationale -  17 boulevard Jourdan.
11 / Ciné-ma différence...
11 / Conseil de quartier Pernety - Plaisance - lieu à préciser - 20h.
12 / ...Et jusqu'au 17 octobre, Disperse de Alban Richard - tarif : de 8,5 à 21 € - Théâtre de la Cité Universitaire Internationale - 20h30.
21 / ...Et 22, week-end de découverte du scoutisme - ouvert à tous les enfants sans engagement de leur part : couchage sous tente, veillée autour du feu, grands jeux en forêt... - départ à 14h30 le samedi, retour à 17h le dimanche - Renseignements et inscriptions auprès de Meera Chakraverty (conseillère du Groupe Local de Paris-Plaisance) au 01 43 27 59 89.

Novembre

08 / "En attendant le bonheur" de Abederrame Sissako, un grand réalisateur Malien - Ciné Club du XIVe avec les Conseils de quartier Didot - Porte de Vanves et Pernety - L'Entrepôt - 7/9 rue Francis de Pressensé - 20h - 4€.
13 / ...Et jusqu'au 3 décembre, Atteintes à sa vie de Martin Crimp - Théâtre de la Cité Universitaire Internationale -  17 boulevard Jourdan - Plus d'info : http://www.theatredelacite.com/
20 / ...Et jusqu'au 19 décembre, Oxygène de Ivan Viripaev - Théâtre de la Cité Universitaire Internationale -  17 boulevard Jourdan - Plus d'info : http://www.theatredelacite.com/
25 / ...ET 26 novembre, les Journées d'amitié de la paroisse Notre-Dame du Rosaire - plus d'info : http://ndrosaire.online.fr/

Décembre

06 / "5 heures de l'après midi" de Samira Makmalbaf - Ciné Club du XIVe avec les Conseils de quartier Didot - Porte de Vanves et Pernety - L'Entrepôt - 7/9 rue Francis de Pressensé - 20h - 4€.
13 / Conseil de quartier Pernety - Plaisance - lieu à préciser - 20h.

Pierre

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+ C'était en Juin 2006...
+ ...Et pensez à filmer vos événements afin de les diffuser sur TéléParis14 !